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je ne vois pas comment l’on peut casser cette belle mécanique.
Une grosse météorite et SCHPOUM ! Feu la terre. :mrgreen:
On ne cassera rien du tout. La grande loi du vivant c'est que tout nait, se développe et meurt.
On s'est "bien" développé… Je ne crois pas au sauvetage de l'humanité, quoiqu'on fasse.
Il y a qq chose dans l’ADN de l’homme qui le pousse à choisir de mauvaises comportements,
à se tirer des balles dans les deux pieds à la fois, puis une dernière balle dans la main qui ne tient pas le revolver.
Pour la dernière main, on doit pouvoir trouver un truc.
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La Terre survivra, et qq organismes hériteront de vastes territoires. Ils seront enfin tranquilles.
Il y a qq chose dans l’ADN de l’homme qui le pousse à choisir de mauvaises comportements,
à se tirer des balles dans les deux pieds à la fois, puis une dernière balle dans la main qui ne tient pas le revolver.
Pour la dernière main, on doit pouvoir trouver un truc.
Surtout dans son regard, c'est la délivrance que cela représente...suite à la mort de son mari....J'ai connu des femmes vivre enfin !!! vivre en fin aussi, la libération de la femme....
Il y a des films que l'on peut ne pas voir, comme écrit le Canard...et il y a ceux que l'on doit voir et revoir, incontournable, les Penn Sardines, histoire vraie qui date d'un siècle :
Revoir La vie est belle, film de Benito Begnini, ce soir, sur France5, me fut difficile. J’avais oublié la première partie, la rencontre entre les parents du petit enfant dans l'Italie fasciste où l’imagination volcanique du héros remplissait l’ecran. Elle se termine par l’arrestation du père juif, Guido Orefice, et de son fils Giosué et la décision de la mère de monter dans le même train fatal.
La seconde moitié est celle de l’internement dans un camp de la mort (non localisé). Le père arrêté avec son petit garçon Giosué entreprend de dissimuler à son enfant les horreurs commises par les nazis en travestissant la réalité de la vie dans le camp. Ses efforts sont une longue partie comique dans un contexte horrible, et j’ai eu du mal à supporter ce hiatus et la bonne humeur inchangée du père.
Après les cérémonies de mémoire du 80° anniversaire de la libération des camps d’extermination, et le contexte mondial actuel, j’ai eu du mal à avaler cette potion bizarre.
Le contexte mondial joue en effet un rôle dans mon malaise car c’en est un. Aujourd’hui encore, après l’arrivée au pouvoir d’une ploutocratie, après une longue liste de mesures revanchardes et d’accrocs démocratiques, je lis les dernières élucubrations de Trump (en dehors de toute enquête) sur des Américains « déficients » puisque promus par Biden (son explication des causes de la catastrophe aérienne) . Ses propos, j’avais jusqu’à maintenant envie de m’en moquer. Mais Adolf H. faisait rire partout en Europe avant qu’il ne se mette à appliquer ses plans et envahir pour de bon d?autres pays. Sauf en Allemagne, on ne voyait en lui qu’un clown.
Revoir La vie est belle, film de Benito Begnini, ce soir, sur France5, me fut difficile. J’avais oublié la première partie, la rencontre entre les parents du petit enfant dans l'Italie fasciste où l’imagination volcanique du héros remplissait l’ecran. Elle se termine par l’arrestation du père juif, Guido Orefice, et de son fils Giosué et la décision de la mère de monter dans le même train fatal.
La seconde moitié est celle de l’internement dans un camp de la mort (non localisé). Le père arrêté avec son petit garçon Giosué entreprend de dissimuler à son enfant les horreurs commises par les nazis en travestissant la réalité de la vie dans le camp. Ses efforts sont une longue partie comique dans un contexte horrible, et j’ai eu du mal à supporter ce hiatus et la bonne humeur inchangée du père.
Après les cérémonies de mémoire du 80° anniversaire de la libération des camps d’extermination, et le contexte mondial actuel, j’ai eu du mal à avaler cette potion bizarre.
Le contexte mondial joue en effet un rôle dans mon malaise car c’en est un. Aujourd’hui encore, après l’arrivée au pouvoir d’une ploutocratie, après une longue liste de mesures revanchardes et d’accrocs démocratiques, je lis les dernières élucubrations de Trump (en dehors de toute enquête) sur des Américains « déficients » puisque promus par Biden (son explication des causes de la catastrophe aérienne) . Ses propos, j’avais jusqu’à maintenant envie de m’en moquer. Mais Adolf H. faisait rire partout en Europe avant qu’il ne se mette à appliquer ses plans et envahir pour de bon d?autres pays. Sauf en Allemagne, on ne voyait en lui qu’un clown.