Claude a écrit : ↑09 mai 2025, 13:41Avec une connaissance on s’échange des outils. Je me suis fait prêter un karcher.
J’ai sévi autour de la maison et décapé les escaliers et des bas de façades de notre maison tachés par une croûte verte.
Frappée par le jet d’eau, la chose verte disparaît mais pas toujours comme si elle s’était incorporée et reste des taches noires.
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Sur le terrain de Claude, jardiniais et casaniais.
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Claude
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Re: Sur le terrain de Claude, jardiniais et casaniais.
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Re: Sur le terrain de Claude, jardiniais et casaniais.
En cours, creusement d’un troisième grand trou dans le sous-bois pour un nouveau châtaignier.
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MàJ.
Et un peu de maçonnerie genre bordure de plate-bande.
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MàJ.
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Re: Sur le terrain de Claude, jardiniais et casaniais.
Dimanche 11.05. Un figuier de plus .
Madame Claude désherbe dans une allée. Elle me voit passer avec le seul figuier en pot qui avait produit pas mal de feuillage en attendant que je l’installe qq part. L’installation est pour aujourd'hui. Pour ce faire, je devais acheminer le fardeau du bas du jardin vers le haut. Soit une vingtaine de kilos, un bon mètre de hauteur à mener sur 100 mètres de chemin sinueux et raide.
On échange.
Le transport dure, les chenillettes peinent. Arrivée tout en haut, tranquille ! ma brouette prend le sentier des châtaigniers dans le sous-bois où j’ai préparé un creux pour le figuier. Il est haut d’une grande pente mais il se trouve en contrebas du sentier, et je dois utiliser une corde pour faire descendre le figuier vers son trou.
Quand la corde casse, malheur ! je vois mon figuier rouler le long de la pente de plus en plus vite pour s’arrêter beaucoup de mètres plus bas …
Quand dix minutes plus tard, madame toujours occupée au bas de mon trajet me voit redescendre au volant de la brouette, sournois, je tais la mésaventure.
Et quand elle me voit remonter un peu plus tard le même figuier dans son pot —j’avais tout récupéré et pas de casse— madame l’arracheuse d’herbes s’étonne de le voir, on se parle … mais elle a bien du mal à expliquer la situation ! Et son sentiment de « déjà vu ».
C’est là que je découvre que mon épouse et mère de nos enfants n’a jamais vu le film « Un jour sans fin » !
Madame Claude désherbe dans une allée. Elle me voit passer avec le seul figuier en pot qui avait produit pas mal de feuillage en attendant que je l’installe qq part. L’installation est pour aujourd'hui. Pour ce faire, je devais acheminer le fardeau du bas du jardin vers le haut. Soit une vingtaine de kilos, un bon mètre de hauteur à mener sur 100 mètres de chemin sinueux et raide.
On échange.
Le transport dure, les chenillettes peinent. Arrivée tout en haut, tranquille ! ma brouette prend le sentier des châtaigniers dans le sous-bois où j’ai préparé un creux pour le figuier. Il est haut d’une grande pente mais il se trouve en contrebas du sentier, et je dois utiliser une corde pour faire descendre le figuier vers son trou.
Quand la corde casse, malheur ! je vois mon figuier rouler le long de la pente de plus en plus vite pour s’arrêter beaucoup de mètres plus bas …
Quand dix minutes plus tard, madame toujours occupée au bas de mon trajet me voit redescendre au volant de la brouette, sournois, je tais la mésaventure.
Et quand elle me voit remonter un peu plus tard le même figuier dans son pot —j’avais tout récupéré et pas de casse— madame l’arracheuse d’herbes s’étonne de le voir, on se parle … mais elle a bien du mal à expliquer la situation ! Et son sentiment de « déjà vu ».
C’est là que je découvre que mon épouse et mère de nos enfants n’a jamais vu le film « Un jour sans fin » !