Trump est sûrement un roi du bluff. Au début ça surprend puis le réel réapparaît.
Il se faisait fort de régler en très peu de temps des dossiers que son prédécesseur
n'avait pas réglés comme Gaza (mais là, il y a un mur qui s?appelle Nétanyahou),
et la guerre en Ukraine (mais là, il y a l’impérialiste Poutine à la manœuvre).
Trump est face à deux des murs de la dure réalité. Alors pour lui, la pente facile
est de s’en prendre aux plus faibles. Mais l’opinion américaine a été longtemps
favorable aux Ukrainiens ce qui nourrit forcément du désarroi devant le cours nouveau…
:mrgreen:
Dans les quatre titres d’articles de Libé, quelle est cette réalité qui réagit ?
— C’est ici le réveil de militants pro-palestiniens vandales d’un golf de Trump.
— Et jour après jour, ce sont les bombes et drones que Poutine fait pleuvoir
et fait reculer la « paix rapide » de Trump.
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Quant à l'intérieur des USA, l’on voit à travers quelques événements, des conséquences
des actions trumpiennes, un retour du réel. Ã savoir :
— Des scientifiques indignés contre la destruction de pans de la science se révoltent,
et contre les licenciements à la « hache ». On pétitionne, on manifeste dans la rue.
— Et comme prévu, ça gueule aussîà l'intérieur du groupe exécutif, entre les conséquences des
actions du DOGE de Heilon Muskle et les ministres défendant leur pré carré. Ça empiète,
ça se marche sur les pieds.
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Voilà, dans ma présentation, ÈGE, il y a qq points de vue. :mrgreen:
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Que dire de plus ?
Que la bollorésphēre, littéralement désinhibée par la révélation publique de la nature extrême-droitière de l’équipe Trump, reprend les fables du Donald et celles du vice-président.i
De la sorte, le cours de l’histoire est inversé. Ces médias brodent sur le thème que l’Ukraine envahie était un agresseur ! Et que les Européens inquiets des prétentions poutiniennes deviennent des bellicistes. Etc…