Volubilis a écrit :Ca va ? vous êtes adaptés à la pluie, la neige et autres vents tempétueux ?
C'est pas prêt de s'arrêter...
Je ne sais pas si on peut qualifier ça d'adaptée mais je ne suis plus opérationnelle depuis une semaine avant Noël.
J'ai l'impression que ça fait un mois qu'on est dans les entrées maritimes et ce qui devait arriver arriva, finie la trêve physique due à la sécheresse du climat d'ici. Des deux pieds jusqu'à la taille ça refuse de fonctionner sans de pénibles douleurs. Je ne peux faire plus de 50 m sans avoir un besoin urgent de m'asseoir ou au moins m'appuyer 30 secondes quelque part tellement j'ai mal.
J’ai hérité pour la jambe droite, du mal dont souffrait ma Môman et ma Grand-mère avant elle et dont personne n’a jamais pu les soulager, sauf que ça les avait prises à un âge plus avancé. Là en plus, la gauche s'y est mise et ça, ça me met ronchon
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Mardi, comme l’hygrométrie avait diminué de 40 % à cause du vent et comme il n’y a qu’assise que je tiens, j’ai pris mon p’tit banc à roulettes et j’ai désherbé les parties gravillonnées qui se trouvent, pour l’une devant la maison, pour l’autre en contrebas de la plate bande de la terrasse, entre l’enrochement et la « pelouse ».
Tant qu’à faire d’avoir mal, autant que ce soit pour quelque chose mais je ne suis pas sûre que ça ait été intelligent d’en rajouter une couche :?
Le truc c’est que l’hiver et le début du printemps sont les seuls moments où il est facile de jardiner (
quand il n’y a pas ce vent d’enfer qui empêche de se tenir vertical ). Le sol est dangereusement sec en profondeur mais avec les quelques mm qui sont tombés, la fine couche de surface permet quelques gratouillages.
Ensuite, soit il y a trop de vent en permanence, soit il fait trop chaud, soit le sol est devenu trop béton armé alors il faut en profiter avant si on veut préparer quelques zones à cultiver.
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