Sur le terrain de Claude, jardiniais et casaniais.

[Claude]

il y a des films, tu pourrais plus les sortir maintenant!

j'ai comme un sentiment de régression!

Hum !
Si on parle du film de M. Ferreri, il a été très mal reçu par de grands secteurs de l’opinion.
Il,me semble avoir déjà entendu cette phrase sur d’autres sujets.
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:?:

[Claude]

Voilà une nouvelle qui mériterait d"être à la une des journaux et pas qu’un seul jour :
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[plumee]

Si on parle du film de M. Ferreri, il a été très mal reçu par de grands secteurs de l’opinion.
Il,me semble avoir déjà entendu cette phrase sur d’autres sujets.

De l'imprégnation des habitudes procédurières américaine?

[Claude]

Sur La Grande Bouffe, ce fut un beau scandale au Festival de Cannes.
Et « levée de boucliers » dont voici un exemple :

« On ne pète pas impunément dans la France de 1973. «  (Nourrissier)

« Honte pour les producteurs, honte pour les comédiens, honte pour mon pays, la France » (Paris-Match)

:mrgreen:

Mais. Devinez qui a écrit la critique suivante ?
« Pour le Grand Prix de l’abjection, il est le grand favori.
Il bat Pasolini sur la pétomanie. »

[plumee]

Moi pas cultivée, donc, moi pas savoir. Moi avoir vu le film. Pas gardé un souvenir impérissable.

[Marc]

La taxe carbone !!!! la plus grosse arnaque qui permet de polluer à l'aise !!!!!

[Claude]

Juste en effet. Il est exact que la version première de taxe carbone permettait de polluer d’une certaine façon en permettant de racheter des droits à polluer ……… Il n’empêche qu’il faudra bien que la planète et pas seulement les 36 000 communes françaises trouve le moyen de limiter la production de CO2. Et surtout de faire qq ch ENSEMBLE.

Toute solution strictement française ne sera que du vent. Ce sont les continents et c’est la planète qui doivent devenir acteurs.
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:mrgreen:

[Marc]

Il faut commencer là où nous le devons, les 36000 communes en France sont polluantes de manière très inégale.....

[ege]

comme on dit en scandinavie: casse thor et pollue!

[Marc]

et le thor tue....

[Claude]

Marc. Il existe une forme de communauté internationale qui est l’expression des pays de la planète. Ne pas rechercher à agir avec d’ autres acteurs de la planète, à trouver des accords, à construire des consensus pour une action cncertée, est illogique comme de pi•••• dans la mer. Ce qui n’empêche pas les initiatives « unilatérales » et « exemplaires » mais la portėe de celles-ci sont limitėes. Par définition.

Il me semble qu’en restant coincé dans l’hexagone aux 36 000 communes, Marc, tu te places dans cette dynamique assez peu logique. Et limitée. Or on s’en sortira seulement si l’on agit ensemble et pas chacun de son côté !

Croire que des iniatives unilatérales puissent avoir un effet rėel est inefficace. Pour l’efficacité, il vaut mieux avancer en groupe. Les actions concertées de tous les copropriétaires est la seule garantie de faire avancer le schmilblic de notre propriété, la Terre.

[plumee]

comme de pi•••• dans la mer

Piquer dans la mer?
Pinailler dans la mer?
Pitrouiller dans la mer?
Piqueter dans la mer?

J'ai pas compris…
:lol:

[Claude]

@PLUME :

Tu n’as pas compris. Les histoires de tuyauterie voire de petit robinet, pour toi bien chère dame couverte de goudron et de plumes, c’est que tu es encore un peu trop jeune et naïve. En ce moment, tu prends toujours les vessies pour des lanternes. Tu comprendras plus tard.
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:mrgreen:

[Claude]

La maxime du jour :

T’es rien Terrien.

[Claude]

Un peu tôt pour faire le bilan des cadavres laissés par la canicule. Mais voici la vigne ancienne qui ombrageait une terrasse et qui est desséchée, feuilles et grappes.
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[Claude]

Sans parler de mon plus beau, plus gros chêne !

[Marc]

Claude, tu montres le haut de l'échelle sans regarder que les échelons du bas sont aussi importants que les suivants, importants et indispensables si nous voulons les gravir correctement.

La forme de communauté dont tu parles n'est pas dans la conscience de tous, depuis des siècles, l'histoire nous a montré des évolutions pas toujours -que dis-je- rarement dans le sens que nous désirons....nous ? qui est ce nous ? chacun ramènera une définition personnelle, limitée dans l'espace et le temps et c'est bien normal.

Aujourd'hui, la vue d'ensemble est permise parce que nous avons changé, parce que nous sommes plus ou moins interdépendants -pour le meilleur et le pire- chacun tire la corde là où il croit être juste. Les nouvelles technologies contribuent à développer cet espace de conscience, tant mieux. Mais nous ne pouvons voir tout en même temps. La conscience planétaire est balbutiante. elle évoluera, malgré les différences et les oppositions. Pour l'instant elle est aux prises avec des conceptions qui s'opposent pas seulement au niveau des cultures. On n'a pas le cul sorti des ronces ! (comment dire ça en pakistanais ?)

La vision au niveau de la commune ou nous évoluons est aussi limitée dans ce qu'elle a à résoudre au quotidien (ex.: Ecole, Santé, voirie.....), liée à d'autres, c'est une communauté à plusieurs étages à l'intérieur de laquelle nous sommes. Regarder les deux aspects n'empêche rien. Les deux coexistent en se nourrissant l'une et l'autre, sans fusionner parce qu'il n'y a aucun intérêt à cela.

Tu évoques les 36000 communes de France, mais un petit village de montagne comme Essert-Romand en Haute-Savoie ou Saint-Jean Trolimon dans le Finistère ne peuvent pas répondre à leurs besoins de la même façon que des grandes villes comme Lille ou Marseille et cependant tous savent qu'il existe des communautés à Valparaiso et à Pretoria, tous ont des intérêts communs...mais pas seulement....bon je n'en rajoute pas. Il faut mettre ensemble ce qui est possible. Mais inventer une communauté d'ensemble uniformisée....ce n'est pas possible.

Ton premier paragraphe évoque bien tout ceci : "Marc. Il existe une forme de communauté internationale qui est l’expression des pays de la planète. Ne pas rechercher à agir avec d’ autres acteurs de la planète, à trouver des accords, à construire des consensus pour une action cncertée, est illogique comme de pi•••• dans la mer. Ce qui n’empêche pas les initiatives « unilatérales » et « exemplaires » mais la portėe de celles-ci sont limitėes. Par définition.

Donc oui, il y a nécessairement une conscience planétaire qui se développe, mais ses racines sont là où nous vivons, ce n'est pas antinomique.

[Claude]

Dans le temps, des révolutionnaires qui n’avaient pas la technologie ouvrant une foule de fenêtres sur tous les coins de la terre comme nous pouvons avoir, pensaient en termes globaux, ils chantaient un chant qui s’appelait … L’Internationale, et ils s’inscrivaient dans des stratégies qui rehetaient les frontières, ils avaient des perspectives non nationalistes et globales. Ils avaient raison. Leur lutte était d’emblée mondiale puisque le capitalisme se développait mondialement.

Et LFI, aujourd’hui, croit pouvoir en faire l’économie d’une vision internationale. Ton leader, Marc, explique que la géopolitique fonde sa pensée mais son action ne manifeste pas une conscience très aiguë de la nécessité d’une approche ad hoc.

Le réchauffement climatique (pour en revenir au début de cet échange) n’est pas un phénomène localisé et français. C’est une réalité mondiale ! J’en ai assez dit.

Je ne compte pas faire long comme toi.
Akoibon. Voilà. ;)

[Marc]

Pour donner un sens à l'internationalisme, il faut partir de sa propre problématique puis faire le lien entre tous les points communs pays par pays, construire des solutions économiques et sociales communes.

Les insoumis construisent cette approche et font des propositions concrètes, les Amfis2023 met en avant toute cette dimension mais pas seulement. Pour limiter la discussion, je peux choisir plein de réponses économiques et faire le lien avec les même difficultés dans bien d'autres pays, c'est de la géopolitique.

Tu aimes bien les affirmations gratuites ! Je ne me sens pas du tout propriétaire d'un leader, même si j'ai compris qu'il en faut un, ne serait-ce que pour être critiqué. S'il y a un politique qui construit et explique cette liaison internationaliste, c'est bien lui, même s'il est loin d'être le seul. Si Mélenchon n'exprimait pas de telles idées, je le désapprouverais complètement.

Le dérèglement climatique commence quelque part et s'étend dans tous les aspects de la vie politique et sociale. Là où nous sommes pour lutter sera le plus efficace. Et le début pour chacun c'est l’économie locale. Lorsque insoumis et écolos manifestent contre les mégabassines par exemple, cela s'inscrit bien dans un cadre spécifique et rejoint une vision internationaliste*. Lorsque le pouvoir organise des procès ou les matraque c'est pour faire taire cette vision.

Comme d'habitude Claude, je ne sais pas ce que tu penses et quelles propositions tu exprimes ??? à ce stade il ne faut pas se réfugier dans des arguties de comptoir !

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* ce sont les mêmes qui luttent contre la déforestation, contre l'exploitation de terres agricoles qui vire des millions d'agriculteurs en Afrique, etc. etc......

[Claude]

Il n’y a pas d’internationale pour LFI.

[Claude]

Je continue de creuser dans le substrat trop sableux d’une plate-bande pour preparer la place à un avocatier.

[plumee]

il sera content?

à un emplacement au soleil ou mi-ombre, abrité des vents, derrière une haie assez haute ou le long d'un mur d'enceinte,
dans un sol léger , bien drainé, neutre à acide mais pas calcaire.

T'as vu? Faut pas que la température passe en dessous de 4°.
Mais chez toi, ça n'existe peut-être pas…

[Claude]

Si ça peut encore arriver.

Mon citronnier s.en souvient, une partie des branches en est morte.

[plumee]

Et donc, ton avocatier, tu vas le planter quand même… réchauffement climatique oblige?

[Claude]

Ben oui. C’est pour compléter la collection faite deux autres avocatiers et avoir une chance de constater les effets d’une pollinisation vu que les calendriers de chacun de ces arbres sont délicats à combiner. Si ça ne marche pas, ce sera qd même de beaux arbres ! Trois c?est le début d?une forêt, non ?