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Re: radio/télé
Ardéchois ! Je me régale.
À l’instant, je me promène dans votre joli département
bravant le confinement (en canoë) grâce à :
https://www.arte.tv/fr/videos/047285-00 ... -ailleurs/
Après des châtaigneraies, les terrasses en pierres sèches, la vigne ……
À l’instant, je me promène dans votre joli département
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Re: radio/télé
J'aimerais mieux entendre parler Claude que les milliardaires américains, sur ce forum.
Personne n'a dit que la révolte suffit, sauf Claude qui s'est dressé bien des fois ici-même contre cette idée. Que je sache, il y a maints exemples où les opprimés ont sû "transcender la révolte en quelque chose de construit" - le transnational étant peut-être beaucoup demander.
Mais si je comprends bien, selon toi, puisque le totalitarisme stalinien a écrasé toute opposition à son époque, mieux vaut ne plus même réfléchir sur ce qui fait la classe ouvrière - s'écraser en quelque sorte....
Personne n'a dit que la révolte suffit, sauf Claude qui s'est dressé bien des fois ici-même contre cette idée. Que je sache, il y a maints exemples où les opprimés ont sû "transcender la révolte en quelque chose de construit" - le transnational étant peut-être beaucoup demander.
Mais si je comprends bien, selon toi, puisque le totalitarisme stalinien a écrasé toute opposition à son époque, mieux vaut ne plus même réfléchir sur ce qui fait la classe ouvrière - s'écraser en quelque sorte....
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Re: radio/télé
Claude, MM en est à parler de transnational, mais quand tu montres un truc sur l'Ardèche, gaffe aux susceptibilités loco-locales!
Entre la Cévenne, le Tanargue, le Bas et le Haut Vivarais, la Montagne, le Piémont, la vallée (septentrionale ou méridionale), les Gras, faut pas mélanger!
Des fois, l'étranger, c'est le village d'à côté!! :lol:
ceci dit, quand on entend parler le miss machin, porte parole de la macronie, comme ce midi sur inter, on se fait du souci pour les libertés individuelles
Entre la Cévenne, le Tanargue, le Bas et le Haut Vivarais, la Montagne, le Piémont, la vallée (septentrionale ou méridionale), les Gras, faut pas mélanger!
Des fois, l'étranger, c'est le village d'à côté!! :lol:
ceci dit, quand on entend parler le miss machin, porte parole de la macronie, comme ce midi sur inter, on se fait du souci pour les libertés individuelles
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Re: radio/télé
Regardé - que dis-je- plongé ... dans "La Traviata" donnée à l'Opéra de Paris en 2019, version moderne et magnifique d'invention , avec cette jeune chanteuse américaine Pretty Yende - sur la 5 ... Incroyable soirée pour moi (je connais cet opéra par coeur) , vraiment émouvante, et magique ...
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Re: radio/télé
Hier soir, j'ai eu grand plaisir à regarder Science grand format sur la 5: docu sur le génie des arbres.
Très bien fait, attrayant, j'ai compris assez facilement ce que j'avais abordé laborieusement dans le bouquin de Peter Wohlleben "La vie secrète des arbres. Décidément, nous avons beaucoup à apprendre de la nature, en particulier concernant les échanges bénéfiques entre les différentes espèces! Merci Mathieu Vidard :P
Très bien fait, attrayant, j'ai compris assez facilement ce que j'avais abordé laborieusement dans le bouquin de Peter Wohlleben "La vie secrète des arbres. Décidément, nous avons beaucoup à apprendre de la nature, en particulier concernant les échanges bénéfiques entre les différentes espèces! Merci Mathieu Vidard :P
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Re: radio/télé
Merci du conseil PlumiX.
L'émission existe en replay sur France•tv.
.
Un article du Monde en parle.
L'émission existe en replay sur France•tv.
.
Un article du Monde en parle.
CULTURE
TÉLÉVISIONS & RADIO
« Le Génie des arbres » : des végétaux aux facultés étonnantes
Un documentaire inédit diffusé dans la cas Science grand formatpénètre les laboratoires les plus en pointe sur le sujet.
Par Catherine Pacary Publié hier à 19h30
Temps de Lecture 2 min.
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Un ficus vieux de plusieurs centaines d’années, dans le sud des Philippines. HAUTEVILLE PRODUCTIONS/FRANCE 5
FRANCE 5 - JEUDI 14 MAI À 20 H 50 - DOCUMENTAIRE
L’intelligence des arbres titille les chercheurs depuis quelques années, portée par la crise environnementale et relayée par l’engouement populaire, palpable depuis le succès de La vie secrète des arbres, de Peter Wohlleben (Les Arènes, 2017, plus d’un million d’exemplaires vendus en France). De nombreux documentaires s’en sont d’ailleurs fait l’écho depuis. Le Génie des arbres se veut un cran au-dessus, de par sa construction sur trois niveaux : pédagogique, biomimétique (qui s’inspire de la nature) et scientifique – le documentaire n’appartient pas à la case Science grand format pour rien. Il y parvient, malgré sa durée (quatre-vingt-quinze minutes), lorsqu’il nous permet de visiter les laboratoires les plus en pointe et de découvrir, parfois avec émerveillement, leurs dernières avancées.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi « La Vie secrète des arbres », best-seller et leçon de bonheur
Bruno Moulia, agronome physicien, nous ouvre les portes de l’unité de recherche qu’il dirige sur la physique et physiologie intégratives de l’arbre en environnement fluctuant (PIAF), un des rares laboratoires dévolu à l’arbre au monde, et situé en Auvergne. Un titre aussi complexe que ses explications sont limpides, tant ce chercheur sait transmettre son émerveillement devant les facultés du règne végétal.
Il est vrai qu’elles sont nombreuses. Les arbres, capables de pousser sur les terres les plus hostiles, grandissent toute leur vie ; ils fabriquent un matériau unique, le bois ; ils transportent des quantités d’eau phénoménales – jusqu’à 3 000 litres par jour pour le séquoia géant de Californie – sans empiéter sur les besoins vitaux de leurs voisins.
Un système d’échange
Devant de telles prouesses, la tentation est forte… « Et si on [l’humain] s’en inspirait ? » C’est ce que l’on appelle le « biomimétisme », porté, entre autres, par Janine Benyus, qui a popularisé le terme dans un livre, Biomimétisme. Quand la nature inspire des innovations durables (Harmonia Mundi, 2011). Elle prône une société valorisant la mutualisation plutôt que le rapport de force. Pour convaincre, elle dégaine des arguments mercantiles. « Des arbres plantés près de votre maison font baisser votre facture de climatisation, et ce gratuitement. »
L’arbre est-il pour autant doté d’une conscience voire d’intelligence ? Même si ses racines sont capables de se frayer un chemin pour trouver leur nourriture dans un labyrinthe – lors du test du même nom –, les études réalisées par l’Italien Stefano Mancuso, inventeur du concept de neurobiologie végétale, sont controversées.
Lire aussi Arte donne la parole aux arbres, avec Yann Arthus-Bertrand
Le débat est relancé depuis que les chercheurs ont mis au jour un système d’échange entre les racines et leur environnement beaucoup plus complexe qu’observé jusqu’alors. Au point de parler d’« Internet végétal », terme utilisé dans Le Murmure de la forêt (2019), documentaire de Freddie Röckenhaus et Petra Höfer.
Ces questionnements, passionnants, ne doivent pas masquer l’interrogation vitale : entre déforestation intensive, incendies et dérèglement climatique, les arbres vont-ils survivre à l’anthropocène ? A l’image, un dragonnier de 800 ans, aux Canaries, un pin ponderosa centenaire, et un mathusalem, le doyen planétaire (5 000 ans), pin Bristlecone de White Mountain, en Californie… Comme pour mieux rappeler l’urgence à préserver cette quasi-éternité.
Science grand format. Le Génie des arbres, d’Emmanuelle Nobécourt (Fr., 2020, 95 min).
Catherine Pacary
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Re: radio/télé
Est-ce que quelqu'un a regardé la série danoiseAu nom du père - titre bateau moins bon que le titre original Ride upon the Storm qui signifie Chevaucher l'orage) ?
La seconde saison vient de se terminer et je l'ai vue jusqu'au bout (moi, l'indécrottable athée...) de même que la première saison, et de même que Borgen que le réalisateur Adam Price avait également commis.
Si quelqu'un d'autre l'a regardée, j'aimerais savoir ce que vous en pensez avant de donner mon opinion.
La seconde saison vient de se terminer et je l'ai vue jusqu'au bout (moi, l'indécrottable athée...) de même que la première saison, et de même que Borgen que le réalisateur Adam Price avait également commis.
Si quelqu'un d'autre l'a regardée, j'aimerais savoir ce que vous en pensez avant de donner mon opinion.
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Re: radio/télé
Ben non. Je n'ai pas regardé.
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Re: radio/télé
le titre me rappelle une fameuse chanson des doors!
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Re: radio/télé
Ben non.
Alors ?
Tu as trouvé la foi ?
Alors ?
Tu as trouvé la foi ?
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Re: radio/télé
Pas cherché...
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Re: radio/télé
Je n'ai pas regardé. Ce que je sais: une fois, je suis tombée sur un épisode de Borgen que j'ai trouvé super bien fait.Est-ce que quelqu'un a regardé la série danoise Au nom du père - titre bateau moins bon que le titre original Ride upon the Storm qui signifie Chevaucher l'orage) ?
La seconde saison vient de se terminer et je l'ai vue jusqu'au bout (moi, l'indécrottable athée...) de même que la première saison, et de même que Borgen que le réalisateur Adam Price avait également commis.
Si quelqu'un d'autre l'a regardée, j'aimerais savoir ce que vous en pensez avant de donner mon opinion.
Faut croire que les Danois, hein?
Mio, n'écoute pas, sinon tu vas t'en croire, comme on disait dans mon village.
Le hic, c'est que pour Plumix, le mot "série" est répulsif!
Pas demandé si ça lui évoquait Dallas ou Dynastie… :lol:
On avait testé 10% mais chais plus pourquoi on en était resté à l'épisode 1 ou 1 et 2?
Et moi, j'ai souvent la flemme de filer chez moi pour en tester une.
Il est vrai que le genre série policière me fait fuir mais bon sang, yapake ça, hein?
Brèfle, tu me donnes bien envie de faire d'autres essais.
Ah si! On avait regardé tous les épisodes d'une série qui se passait dans un couvent d'hommes.
C'était super bien fait et bien joué.
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Re: radio/télé
Alors, si tu as résisté à cette série-là que j'ai regardé aussi, tu aurais aimé Au nom du père...
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Re: radio/télé
Adam Price, le réalisateur de la série Borgen et Au nom du père (Le titre danois Ride upon the storm, est en anglais, ça fait tout de suite plus dans le vent... et c'est le cas de le dire) Adam Price donc, a la faculté de commettre des séries qui plaisent à tous. Y compris à nous autres mécréants et vieux rebelles.
Pour que je regarde 20 épisodes d’une série sur la foi, faut tout de même qu’il ait du talent !
J’admets que les jeunes d’aujourd’hui - surtout ceux qui sont nés dans les pays riches - soient intéressés par la religion ou la spiritualité, sans doute parce que les idéologies donnent des boutons, et qu’ils n’ont plus de croyance en un idéal réaliste, humain, un espoir de changement politique qui leur permette de croire en quelque chose de plus tangible, comme la justice, l’égalité, la paix - des mots qu’on ose même plus prononcer tant ils ont été balancés comme cache-mensonges. Alors on se tourne vers la bonne vieille rengaine religieuse où on parle d’amour (du prochain). Ça me fait sourire et ça m'étonne. A chaud, ça m’agace… Que voulez-vous, je n’ai jamais goûté au vin de messe, ma mère y a veillé.
Mais Price a su arranger tout ça avec une sauce moderne en diable, mélanger l’indépendance féminine, les relations parents-enfants et l’homosexualité, les dilemmes de la garde alternée pour les parents divorcés, ceux d’un pasteur envoyé en mission dans une zone de guerre - et j’en passe - ajouter quelques notions de largesse d’esprit en donnant quelques vagues idées des autres religions pour éloigner toute suspicion de sectarisme. Bref, il a fait un cocktail en ajoutant des sujets d'actualité à l'intérêt spirituel qu’il sait intéresser la génération des quinquagénaires qui suit la nôtre.
Surtout, il a appris son boulot et il a fait un mélange digne d’un restaurant cinq étoiles (faut pas oublier qu'Adam Price est à la fois réalisateur de série et restaurateur) : Acteurs convaincants, histoire bien bâtie, décors naturels et chiadés (l’église où se déroule de nombreuses scènes n’est pas n’importe laquelle, par exemple, c'est un petit bijou du 17è siècle) et il a pimenté tout ça avec des répliques qui font mouche.
Et puis le personnage principal, le pasteur, est sympathique en diable, justement parce qu’il a des défauts gros comme la lune, il boit, il trompe sa femme, il gueule et s'impose à tous les membres de sa famille et à son conseil paroissial; mais une conviction indéboulonnable. Et c’est ce qui manque aux gens d’aujourd’hui, la conviction. Lui, il ignore le doute qui taraude ses deux fils. Il est aussi sympathique parce qu’il se bat contre la froideur de sa hiérarchie et fustige l’establishment religieux, qu'il n'hésite pas à la braver en invitant des SDF dans son église. Et cerise sur le gâteau, il est capable de reconnaître ses torts et d’admettre (finalement) les opinions des autres… Comment ne pas aimer ce bonhomme ! Et cette série.
Moi en tout cas, je me suis laissé faire jusqu’au bout. Mio, c’est autre chose, mais il a tout de même acheté et regarder la première saison. Mais d’abord, il ne regarde pas beaucoup de télé, ça va toujours un peu trop vite, même dans sa langue. Et puis, il rejette presque instinctivement les sujets qui seraient les plus proches de lui mais qu’on a traité sans vraie profondeur ou sans humour ou sans réel sens artistique, juste avec l'idée de plaire au public. Quand Bunuel traite les problèmes religieux et leur effet sur les hommes - et les femmes - Mio regarde. Adam Price n’est pas Bunuel. Adam Price, c’est un type qui sait que pour avoir du succès, il ne faut plus emmerder les gens d’aujourd'hui qui vont au ciné ou regarde des séries. Il a appris la technique. Et il donne à voir ce qu’on a envie de regarder, une série avec des répliques intelligentes, des situations à la fois actuelles, réalistes et prenantes, des conflits difficiles mais dont les personnages se tirent plutôt bien. On a envie de voir la suite et ça nous permet aussi de dormir ensuite sur nos deux oreilles.
Pour que je regarde 20 épisodes d’une série sur la foi, faut tout de même qu’il ait du talent !
J’admets que les jeunes d’aujourd’hui - surtout ceux qui sont nés dans les pays riches - soient intéressés par la religion ou la spiritualité, sans doute parce que les idéologies donnent des boutons, et qu’ils n’ont plus de croyance en un idéal réaliste, humain, un espoir de changement politique qui leur permette de croire en quelque chose de plus tangible, comme la justice, l’égalité, la paix - des mots qu’on ose même plus prononcer tant ils ont été balancés comme cache-mensonges. Alors on se tourne vers la bonne vieille rengaine religieuse où on parle d’amour (du prochain). Ça me fait sourire et ça m'étonne. A chaud, ça m’agace… Que voulez-vous, je n’ai jamais goûté au vin de messe, ma mère y a veillé.
Mais Price a su arranger tout ça avec une sauce moderne en diable, mélanger l’indépendance féminine, les relations parents-enfants et l’homosexualité, les dilemmes de la garde alternée pour les parents divorcés, ceux d’un pasteur envoyé en mission dans une zone de guerre - et j’en passe - ajouter quelques notions de largesse d’esprit en donnant quelques vagues idées des autres religions pour éloigner toute suspicion de sectarisme. Bref, il a fait un cocktail en ajoutant des sujets d'actualité à l'intérêt spirituel qu’il sait intéresser la génération des quinquagénaires qui suit la nôtre.
Surtout, il a appris son boulot et il a fait un mélange digne d’un restaurant cinq étoiles (faut pas oublier qu'Adam Price est à la fois réalisateur de série et restaurateur) : Acteurs convaincants, histoire bien bâtie, décors naturels et chiadés (l’église où se déroule de nombreuses scènes n’est pas n’importe laquelle, par exemple, c'est un petit bijou du 17è siècle) et il a pimenté tout ça avec des répliques qui font mouche.
Et puis le personnage principal, le pasteur, est sympathique en diable, justement parce qu’il a des défauts gros comme la lune, il boit, il trompe sa femme, il gueule et s'impose à tous les membres de sa famille et à son conseil paroissial; mais une conviction indéboulonnable. Et c’est ce qui manque aux gens d’aujourd’hui, la conviction. Lui, il ignore le doute qui taraude ses deux fils. Il est aussi sympathique parce qu’il se bat contre la froideur de sa hiérarchie et fustige l’establishment religieux, qu'il n'hésite pas à la braver en invitant des SDF dans son église. Et cerise sur le gâteau, il est capable de reconnaître ses torts et d’admettre (finalement) les opinions des autres… Comment ne pas aimer ce bonhomme ! Et cette série.
Moi en tout cas, je me suis laissé faire jusqu’au bout. Mio, c’est autre chose, mais il a tout de même acheté et regarder la première saison. Mais d’abord, il ne regarde pas beaucoup de télé, ça va toujours un peu trop vite, même dans sa langue. Et puis, il rejette presque instinctivement les sujets qui seraient les plus proches de lui mais qu’on a traité sans vraie profondeur ou sans humour ou sans réel sens artistique, juste avec l'idée de plaire au public. Quand Bunuel traite les problèmes religieux et leur effet sur les hommes - et les femmes - Mio regarde. Adam Price n’est pas Bunuel. Adam Price, c’est un type qui sait que pour avoir du succès, il ne faut plus emmerder les gens d’aujourd'hui qui vont au ciné ou regarde des séries. Il a appris la technique. Et il donne à voir ce qu’on a envie de regarder, une série avec des répliques intelligentes, des situations à la fois actuelles, réalistes et prenantes, des conflits difficiles mais dont les personnages se tirent plutôt bien. On a envie de voir la suite et ça nous permet aussi de dormir ensuite sur nos deux oreilles.
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Re: radio/télé
Purée !
Quel beau texte tu nous offres-là, je regretterais presque ( Quel manque de conviction chez ce familier du conditionnel ) d’avoir boudé cette saison de la série. J’ai boudé a priori. J’avais pourtant suivi Borgen avec intérêt.
Quel beau texte tu nous offres-là, je regretterais presque ( Quel manque de conviction chez ce familier du conditionnel ) d’avoir boudé cette saison de la série. J’ai boudé a priori. J’avais pourtant suivi Borgen avec intérêt.
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Re: radio/télé
Je reste baba devant l'analyse complète et convaincante de notre Marie-May.
Chapeau l'artiste! 👍
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Re: radio/télé
Hier soir, j'ai eu grand plaisir à regarder Science grand format sur la 5: docu sur le génie des arbres.
Très bien fait, attrayant, j'ai compris assez facilement ce que j'avais abordé laborieusement dans le bouquin de Peter Wohlleben "La vie secrète des arbres. Décidément, nous avons beaucoup à apprendre de la nature, en particulier concernant les échanges bénéfiques entre les différentes espèces! Merci Mathieu Vidard
Le documentaire Le génie des arbres repasse sur France 4 Mardi 9 Juin à 21h 05.
Avis aux amateurs!
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Re: radio/télé
au chapitre des séries, je suis aussi un peu méfiant, le style de l'épisode qui dure x mn, bâti sur le même modèle d'un épisode à l'autre, ça me lasse!
l'avant dernier c'était la première "saison" de "games of thrones" qu'un copain m'avait vantée. ouais, pas mal fait mais j'ai tenu 5 ou 6 épisodes et encore dans le désordre.
la dernière, la seule que j'ai vraiment aimée, avec le "starship enterprise" (sais pas comment ça s'appelle en français, avec Mr Spock) de mon enfance naturellement, c'est "Trepalium" (= torture en latin, a donné "travail" en français), une mini série française passée rapidement sur arte et vite déprogrammée, si vous tombez dessus, je vous conseille.
l'avant dernier c'était la première "saison" de "games of thrones" qu'un copain m'avait vantée. ouais, pas mal fait mais j'ai tenu 5 ou 6 épisodes et encore dans le désordre.
la dernière, la seule que j'ai vraiment aimée, avec le "starship enterprise" (sais pas comment ça s'appelle en français, avec Mr Spock) de mon enfance naturellement, c'est "Trepalium" (= torture en latin, a donné "travail" en français), une mini série française passée rapidement sur arte et vite déprogrammée, si vous tombez dessus, je vous conseille.
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Re: radio/télé
Starship enterprise c'est Star trek en français.
J'ai vu Trepalium en son temps. La série est sortie il y a plusieurs années, me semble-t-il. Pourquoi dis-tu qu'on l'a vite déprogrammée ? on l'a passée en entier, je crois.
C'était original comme idée, d'autant qu'il n'y a pas souvent de film français de science fiction. Mais je me souviens surtout de beaucoup de grisaille.
J'ai vu Trepalium en son temps. La série est sortie il y a plusieurs années, me semble-t-il. Pourquoi dis-tu qu'on l'a vite déprogrammée ? on l'a passée en entier, je crois.
C'était original comme idée, d'autant qu'il n'y a pas souvent de film français de science fiction. Mais je me souviens surtout de beaucoup de grisaille.
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Re: radio/télé
en effet, toutes les couleurs sont passées, un peu sépia comme ambiance et les voitures sont celles des années 60-70, Floride par exemple.
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Re: radio/télé
Hier soir, j’ai regardé 3 docus sur la période 39-45. À voir si l’on a des lacunes sur le rôle de De Gaulle et comment il avait réussi à s’imposer face à Churchill et Roosevelt qui le détestait ; et si l’on ignorait comme moi l’histoire de la collaboration. J’ai découvert (avec des films d’époque) les individus qui s’illustrèrent méchamment à cette époque, Pétain, Darlan, Laval, Dunand, Déat, ……… Interessant de voir tout cela aujourd’hui. Voir les défilés de miliciens, de Collaborationnistes (Plus radicaux encore que les Collabos). À revoir si replay, France5.
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Re: radio/télé
Comment as-tu fait pour ignorer jusqu'à maintenant l'histoire de la collaboration, Claude ?
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Re: radio/télé
Je me posais la même question.
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Re: radio/télé
Je n’avais jamais écouté et vu certains de ces personnages sinistres !!! Ces documents d'époque étaient souvent inédits pour moi. Il faudra vous faire à l’idée que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre et que je ne suis pas aussi savant que vous.
;)
;)
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Re: radio/télé
Il faut voir les ces miliciens, ces fascistes en uniformes, se mettre à genoux, marcher au pas.
Une séquence m’a encore plus interpelé quand J’ai cru reconnaître les Arènes de Cimìez en ruines. Elles étaient totalement remplies par les fascistes du SOL, ou Service d’Ordre Légionnaire, groupe paramilitaire.
J’ai souvent traversé les Arènes.
Une séquence m’a encore plus interpelé quand J’ai cru reconnaître les Arènes de Cimìez en ruines. Elles étaient totalement remplies par les fascistes du SOL, ou Service d’Ordre Légionnaire, groupe paramilitaire.
J’ai souvent traversé les Arènes.