Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Je viens de finir, pour la troisième fois "La couleur des sentiments", sur les bonnes noires des années 60.
Toujours aussi effarée et émue.
Hier, j'arrivais au dernier chapitre à la sieste. Je voulais me garder la fin pour le coucher, mais j'ai pas pu.
Va falloir que je relise une quatrième fois…
Toujours aussi effarée et émue.
Hier, j'arrivais au dernier chapitre à la sieste. Je voulais me garder la fin pour le coucher, mais j'ai pas pu.
Va falloir que je relise une quatrième fois…
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Lu deux fois.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Oui, ou alors c'est un style particulier. Et moi je m'adapte à des styles tellement divers que ça ne me gêne pas plus que ça.
Cela dit, je me demande si on a lu le même livre, Chichi, parce que je ne vois pas du tout de grands passages suffoquants, ni dans les premières dix pages ni après. Quand à la ponctuation, il y a des points, des virgules partout, des paragraphes qui peuvent être parfois un peu longs mais pas du tout au début: elle décrit dans les dix premières pages comment elle tombe par hasard dans sa bibliothèque sur un livre de Céline dans lequel elle trouve une photo, ce qui fait démarrer l'histoire. S'il t'a fallu trois jours pour lire ça... N'essaie pas Proust...!
Cela dit, je me demande si on a lu le même livre, Chichi, parce que je ne vois pas du tout de grands passages suffoquants, ni dans les premières dix pages ni après. Quand à la ponctuation, il y a des points, des virgules partout, des paragraphes qui peuvent être parfois un peu longs mais pas du tout au début: elle décrit dans les dix premières pages comment elle tombe par hasard dans sa bibliothèque sur un livre de Céline dans lequel elle trouve une photo, ce qui fait démarrer l'histoire. S'il t'a fallu trois jours pour lire ça... N'essaie pas Proust...!
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Je viens de finir "Les perroquets de la place d'Arezzo". Mi figue-mi raisin.
Ecriture sympa sur une étude de mœurs. Je trouve que la part du sexe est vraiment trop importante, tout tourne autour en fait.
D'ailleurs l'un des personnage ressemble tout craché à DSK.
Ecriture sympa sur une étude de mœurs. Je trouve que la part du sexe est vraiment trop importante, tout tourne autour en fait.
D'ailleurs l'un des personnage ressemble tout craché à DSK.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Il paraît que Proust est très drôle.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Moi ? Lire Proust ? Y a pas de risque ! https://www.smiley-lol.com/smiley/heure ... le-lol.gif
Alorsse Marie_May, désolée de te contrarier encore une fois mais dès la deuxième page je relève une phrase de 16 lignes (preuve ci-dessous, juste après "Ça a débuté comme ça", cliquable si pas lisible en l'état) et 16 lignes d'affilée sans le moindre point, ben moi ça m'étouffe. Sans doute parce que je lis comme si c'était à voix haute, je ne sais pas.
Oui, je sais, il est indiqué 13 en bas de la page mais, et je n'avais jamais vu ça, le premier chapitre commence ... page 11 :o . J'avoue que je ne m'en étais pas aperçue avant.
Donc Patricia, le livre ne fait pas 324 pages :oops:
Alorsse Marie_May, désolée de te contrarier encore une fois mais dès la deuxième page je relève une phrase de 16 lignes (preuve ci-dessous, juste après "Ça a débuté comme ça", cliquable si pas lisible en l'état) et 16 lignes d'affilée sans le moindre point, ben moi ça m'étouffe. Sans doute parce que je lis comme si c'était à voix haute, je ne sais pas.
Oui, je sais, il est indiqué 13 en bas de la page mais, et je n'avais jamais vu ça, le premier chapitre commence ... page 11 :o . J'avoue que je ne m'en étais pas aperçue avant.
Donc Patricia, le livre ne fait pas 324 pages :oops:
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Oui, mais ce n'est pas comme ça partout dans les premières 10 pages.
Et puis, si tu relis ce passage, tu t'aperçois que c'est le ton de quelqu'un qui se parle à soi-même, qui débat avec soi-même, qui pense d'abord une chose et qui change de point de vue à mesure qu'elle se parle. Et qu'elle finit par dire que finalement c'est un début de roman qui a une raison d'être alors qu'elle avait d'abord fait la moue en lisant ce début.
C'est un style d'écriture. Quand Joyce Carol Oates se parle à elle-même ou qu'elle veut montrer que son personnage ne parle pas mais pense, elle met les mots en italique. Ça peut gêner aussi. Au début on se demande pourquoi, est-ce qu'elle veut souligner cette phrase, ou quoi?
Les écrivains ont leurs trucs. Quand on embarque avec eux, faut se laisser prendre. De toute façon, on risque pas grand-chose.
Et puis les virgules sont là pour régler la respiration, alors reprends ta respiration.
Ce bouquin n'est pas un chef-d'œuvre, mais il décrit les relations familiales et notamment entre personnes de même fratrie. Relations détériorées, évidemment. Ça arrive dans tellement de famille. Ça m'est arrivé aussi. Et pour certain c'est un fardeau de ne pas pouvoir reprendre contact. Et puis de ne pas avoir su reprendre contact - car brusquement c'est définitif, parce que la mort frappe trop vite.
Et puis, si tu relis ce passage, tu t'aperçois que c'est le ton de quelqu'un qui se parle à soi-même, qui débat avec soi-même, qui pense d'abord une chose et qui change de point de vue à mesure qu'elle se parle. Et qu'elle finit par dire que finalement c'est un début de roman qui a une raison d'être alors qu'elle avait d'abord fait la moue en lisant ce début.
C'est un style d'écriture. Quand Joyce Carol Oates se parle à elle-même ou qu'elle veut montrer que son personnage ne parle pas mais pense, elle met les mots en italique. Ça peut gêner aussi. Au début on se demande pourquoi, est-ce qu'elle veut souligner cette phrase, ou quoi?
Les écrivains ont leurs trucs. Quand on embarque avec eux, faut se laisser prendre. De toute façon, on risque pas grand-chose.
Et puis les virgules sont là pour régler la respiration, alors reprends ta respiration.
Ce bouquin n'est pas un chef-d'œuvre, mais il décrit les relations familiales et notamment entre personnes de même fratrie. Relations détériorées, évidemment. Ça arrive dans tellement de famille. Ça m'est arrivé aussi. Et pour certain c'est un fardeau de ne pas pouvoir reprendre contact. Et puis de ne pas avoir su reprendre contact - car brusquement c'est définitif, parce que la mort frappe trop vite.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Tu as l'air de penser que je n'ai pas compris ce qu'elle écrivait. C'est limite vexant. En plus, j'ai dit que j'avais bien aimé l'histoire.
Je sais bien que je ne suis pas cultivée mais je suis tout de même capable de comprendre un texte et je m'autorise le droit de ne pas aimer un style d'écriture (et de le dire). Désolée.
Je sais bien que je ne suis pas cultivée mais je suis tout de même capable de comprendre un texte et je m'autorise le droit de ne pas aimer un style d'écriture (et de le dire). Désolée.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Oh mais te fâche pas... je me suis juste autoriser le droit de te répondre sur le style, justement. Le reste est plutôt pour ceux qui ne l'ont pas lu.
On cause... c'est tout. Je ne voulais en rien te vexer.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
J'ai lu Proust il y a des années, j'avais bien aimé. Pour mes 50 ans j'ai reçu la collection dans la Pléiade, je ne peux même pas les lire tellement c'est écrit petit et puis est-ce que j'aimerai encore ?
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Jamais pu lire Proust au delà de 10 pages !!
Le style me rebute absolument !! Désolée, alors que c’est sûrement passionnant...
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
ADN de Yrsa SIGURDARDOTTIR (à vos souhaits :mrgreen: )
Policier bien ficelé, mais alors quelle horreur les crimes !
Ce serait le premier d'une série avec ses héros. Si elle poursuit dans l'horreur je ne la lirais pas. J'ai eu du mal à poursuivre la lecture et j'ai sauté des lignes de descriptions trop dures.
Policier bien ficelé, mais alors quelle horreur les crimes !
Ce serait le premier d'une série avec ses héros. Si elle poursuit dans l'horreur je ne la lirais pas. J'ai eu du mal à poursuivre la lecture et j'ai sauté des lignes de descriptions trop dures.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
J'ai un peu marre des situations abracadabrantesques,
des tueurs en série… de pas mal de polars.
des tueurs en série… de pas mal de polars.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
A propos de Proust,
Franchement, une fois qu'on a pris le temps de se plonger dans son univers et qu'on s'est habitué à ce fameux style aux phrases longuettes - il faut aussi du temps devant soi - ses descriptions des personnes qui l'entourent et des situations sont assez fascinantes - sinon passionnantes. Il se décrit aussi par personne interposée. Il y a beaucoup à prendre et à apprendre chez ce bavard qui n'utilise jamais un mot de travers ni en trop.
Certains sont rebutés parce qu'il décrit un milieu (le sien, la grande bourgeoisie riche dans lequel il vivait, et la noblesse du faubourg Saint-Germain) - en fait celui de gens de salons, qui ne fichent rien de leurs dix doigts et ont toujours quelqu'un derrière eux pour l'intendance. Et il n'est tendre avec personne, ni avec les ducs, ni avec leurs domestiques, ni avec les artistes qui fréquentent lesdits salons ni avec les gens du monde qui pètent plus haut que leur popotin, ni avec les demi-mondaines et autres cocottes.
Le truc c'est que tous ceux (que je connais) qui l'ont terminé ont envie d'y retourner un jour ou l'autre. Et quand on le relit, on y trouve des choses nouvelles qu'on n'avait pas pigé la première fois. Des situations psychologiques qui ressemblent bougrement à celles que nous vivons aussi.
Mais bon,
ça m'a pris un an à en venir à bout.
Cela dit, sa lecture n'est sûrement pas une obligation.
Franchement, une fois qu'on a pris le temps de se plonger dans son univers et qu'on s'est habitué à ce fameux style aux phrases longuettes - il faut aussi du temps devant soi - ses descriptions des personnes qui l'entourent et des situations sont assez fascinantes - sinon passionnantes. Il se décrit aussi par personne interposée. Il y a beaucoup à prendre et à apprendre chez ce bavard qui n'utilise jamais un mot de travers ni en trop.
Certains sont rebutés parce qu'il décrit un milieu (le sien, la grande bourgeoisie riche dans lequel il vivait, et la noblesse du faubourg Saint-Germain) - en fait celui de gens de salons, qui ne fichent rien de leurs dix doigts et ont toujours quelqu'un derrière eux pour l'intendance. Et il n'est tendre avec personne, ni avec les ducs, ni avec leurs domestiques, ni avec les artistes qui fréquentent lesdits salons ni avec les gens du monde qui pètent plus haut que leur popotin, ni avec les demi-mondaines et autres cocottes.
Le truc c'est que tous ceux (que je connais) qui l'ont terminé ont envie d'y retourner un jour ou l'autre. Et quand on le relit, on y trouve des choses nouvelles qu'on n'avait pas pigé la première fois. Des situations psychologiques qui ressemblent bougrement à celles que nous vivons aussi.
Mais bon,
ça m'a pris un an à en venir à bout.
Cela dit, sa lecture n'est sûrement pas une obligation.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Merci MM, je lirai peut-être un jour ou l'autre....
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Pour changer "Un clafoutis aux tomates cerises" de Véronique de Bure. Le journal d'une vieille dame de 90 ans, sur un an. C'est rafraîchissant et en même temps ça nous met le nez dans ce qui nous attend, ou pas.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
A lire "Et soudain, la liberté" La vie d'Evelyne Pisier et sa mère par Evelyne Pisier et Caroline Laurent. Evelyne est décédée avant que le livre ne soit écrit.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Je suis en train de lire le bouquin que Chichi nous a recommandé : le charme discret de l'intestin. On apprend plein de choses utiles et c'est plein d'humour ce qui ne gâche rien. Mes intestins fonctionnent très correctement mais c'est plutôt les rapports cerveau-intestin qui m'intéressent.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Y'a un rapport? :lol:mais c'est plutôt les rapports cerveau-intestin qui m'intéressent.
Ça me fait souvenir de ma belle-mère qui était alors en petit séjour à la maison, mes enfants étant petitous.
J'avais prévenu qu'en sortant du boulot un samedi midi, j'irai faire les courses de la semaine.
J'ai pris mon temps: c'était super agréable, une belle-mère (+ beau-père)
et mon mari se chargeant des enfants (dans les 3 et 5 ans?) pendant que j'œuvrais.
J 'avais enfin le temps de faire les courses seule, à mon rythme, sans stress.
C'était avant le portable.
Quand je suis rentrée, ma belle-mère s'était mis la rate au court-bouillon, m'imaginant morte ou je ne sais quoi.
Elle avait squatté les cabs pendant tout une heure. Ça m'avait ébahie!
C'était le sujet "du rapport cerveau/intestins" :lol:
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Ben oui, ton histoire le prouve.
Mais il n'y en a pas qu'un.
D"ailleurs les spécialistes considèrent les intestins comme un second cerveau, d'un tout autre genre mais tout aussi important.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Hé oui il s'en passe dans nos boyaux ! Et ce n'est pas toujours glorieux là dedans 8-)
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Je raconte ou pas ?
Bon on est entre nous ... paraît-il ...
La dame ... dont je tairais le nom :D a des intestins fainéants depuis ... hou là plus que ça ... en plus sa maman lui disait "et c'est comme ça, moi aussi c'est pareil ..." bref la dame très jeune à l'époque a cru que c'était normal et il a fallu qu'elle grandisse pour apprendre que non :o
Donc, bien plus tard, il en a coulé de l'eau sous les ponts, la dame et son chéri visitent un terrain avec vieille maison à retaper, un jour d'octobre 2011. En se baladant sur ce terrain, entre ronces et épineux, vlà t-il pas qu'un besoin impérieux se fait sentir ; qu'à cela ne tienne, il y a un petit coin tranquille là bas au fond. Je ne vous dis pas la surprise de la dame en voyant le résultat volumineux de son offrande à la nature qui n'en finissait plus :D et quel soulagement :lol:
Suite : la dame et son chéri reviennent sur place 3 ou 4 jours plus tard avec le monsieur de l'agence (qui n'était pas dispo la 1e fois), et rebelote, le même besoin impérieux ... et krotte, il y a un invité supplémentaire ! Elle trouve un autre coin discret et ... même résultat volumineux :o et quand je dis volumineux c'est pas peu dire :mrgreen:
Rapport cerveau/intestin ? à vous de conclure !
Bon on est entre nous ... paraît-il ...
La dame ... dont je tairais le nom :D a des intestins fainéants depuis ... hou là plus que ça ... en plus sa maman lui disait "et c'est comme ça, moi aussi c'est pareil ..." bref la dame très jeune à l'époque a cru que c'était normal et il a fallu qu'elle grandisse pour apprendre que non :o
Donc, bien plus tard, il en a coulé de l'eau sous les ponts, la dame et son chéri visitent un terrain avec vieille maison à retaper, un jour d'octobre 2011. En se baladant sur ce terrain, entre ronces et épineux, vlà t-il pas qu'un besoin impérieux se fait sentir ; qu'à cela ne tienne, il y a un petit coin tranquille là bas au fond. Je ne vous dis pas la surprise de la dame en voyant le résultat volumineux de son offrande à la nature qui n'en finissait plus :D et quel soulagement :lol:
Suite : la dame et son chéri reviennent sur place 3 ou 4 jours plus tard avec le monsieur de l'agence (qui n'était pas dispo la 1e fois), et rebelote, le même besoin impérieux ... et krotte, il y a un invité supplémentaire ! Elle trouve un autre coin discret et ... même résultat volumineux :o et quand je dis volumineux c'est pas peu dire :mrgreen:
Rapport cerveau/intestin ? à vous de conclure !
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
D'après moi, c'est plutôt le fait que la ... dame a dû s'accroupir. C'est beaucoup plus efficace.
Dans ce fameux bouquin, que j'ai acheté sur les recommandations de Chichi, soit dit en passant (comme je suis souvent ouverte aux idées de Chichi, soit encore dit en passant) l'auteur recommande d'avoir un petit banc à côté des toilettes. Le seul fait d'avoir les pieds un peu surélevés peut aider à la manœuvre...
Ou même de se pencher en avant.
C'est drôle que je lise ce bouquin alors que la dame que moi je connais n'a aucun soucis de ce point de vue.
Dans ce fameux bouquin, que j'ai acheté sur les recommandations de Chichi, soit dit en passant (comme je suis souvent ouverte aux idées de Chichi, soit encore dit en passant) l'auteur recommande d'avoir un petit banc à côté des toilettes. Le seul fait d'avoir les pieds un peu surélevés peut aider à la manœuvre...
Ou même de se pencher en avant.
C'est drôle que je lise ce bouquin alors que la dame que moi je connais n'a aucun soucis de ce point de vue.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Je l'ai lu aussi ce bouquin et tout comme MM la dame que connais n'au aucun souci d'évacuation.
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Re: Je bouquine, tu bouquines, nous bouquinons
Le blog "Géographie en mouvement" tenu pas 3 géographes publie
le texte de l'un d'entre eux, Gilles Fumet.
Il juge que les Français reprennent un peu la main sur leur alimentation et que l'on constate un retour du vegetal en ce XXI° siècle. Et d'ajouter que les 4 livres qu'il présente accompagnent ce mouvement.
Les éditions Plume de carotte publie un superbe ouvrage De mémoire de vergers écrit par Serge Schall.
Chez le même éditeur le même Serge Schall raconte un nouvel âge d'or du végétal dans Histoires de potagers.
Toujours chez Plume de carotte, il présente Le grand livre des ressources végétales. Quand les plantes nous aident à nous passer du pétrole, écrit par Bernard Bertrand.
Ce géographe conseille enfin L’herbier voyageur. Histoire des fruits, légumes et épices du monde écrit par Michelle Jeanguyot et Martine Séguier-Guis pour nous convaincre que le brassage des plantes n’est jamais achevé.
le texte de l'un d'entre eux, Gilles Fumet.
Il juge que les Français reprennent un peu la main sur leur alimentation et que l'on constate un retour du vegetal en ce XXI° siècle. Et d'ajouter que les 4 livres qu'il présente accompagnent ce mouvement.
Les éditions Plume de carotte publie un superbe ouvrage De mémoire de vergers écrit par Serge Schall.
Une géohistoire d’une « folie » des fruits avec de véritables exploits dus à des pratiques nouvelles (palissage, taille, greffes, traitements, soins) et des découvertes qui n’en finissent toujours pas: néflier du Japon, kiwi, nashi et des dizaines de fruits asiatiques qui s’annoncent avec le leadership chinois sur la planète.
Chez le même éditeur le même Serge Schall raconte un nouvel âge d'or du végétal dans Histoires de potagers.
Le «potager de plaisir» apporte le goût sur la table mais, aussi et surtout, du lien social car pour jardiner, il faut aller vers les autres, partager ses idées et ses récoltes dans quelque chose qui ressemble au potlatch des Indiens.… on ne se plaint pas de revoir la tétragone (qui vient de Nouvelle-Zélande et a nourri les marins de Cook perdus au milieu du Pacifique au XVIIIe siècle), la scorsonère, le pourpier, la poirée, le crosne, le cardon et « le tricard des potagers », le topinambour.
Toujours chez Plume de carotte, il présente Le grand livre des ressources végétales. Quand les plantes nous aident à nous passer du pétrole, écrit par Bernard Bertrand.
De la pétrochimie consommée en masse à l’origine d’une perte colossale de mémoire sur les végétaux, le livre raconte l’histoire des outils à l’origine d’une gestion des écosystèmes très durable pendant des millénaires. Qu’il s’agisse de s’habiller, s’abriter, se chauffer, se nourrir, s’outiller, se laver, se parer, faire sa lessive, se désaltérer, se soigner, écrire et pratiquer les arts, le végétal est la première ressource. Le pétrole a conduit le monde au gaspillage et au saccage de la planète. On fait le pari que les jeunes générations s’emparent du végétal avec autant d’enthousiasme que les savants de la Renaissance.
Ce géographe conseille enfin L’herbier voyageur. Histoire des fruits, légumes et épices du monde écrit par Michelle Jeanguyot et Martine Séguier-Guis pour nous convaincre que le brassage des plantes n’est jamais achevé.
L’humanité n’utilise que 5% de la biodiversité végétale avec 5000 plantes dans l’alimentation et 7000 dans la médecine. Autant comprendre que les ressources nouvelles sont devant nous. L’éditeur reprend une partie de l’Herbier de Montpellier, un ouvrage de premier plan pour le patrimoine mondial commencé en 1507 à la faculté de médecine de la ville éponyme.