Pour rire ou sourire, un peu de détente
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Merci more !
La traduc :
Thank you beaucoup !
La traduc :
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
cette année, le père noël est entré en récession, je l'accuse de faire partie de cette cohorte de gens qui organisent l'austérité et en plus, il se garde pour lui toutes les...liquidités...
http://img15.hostingpics.net/pics/616967P1240715.jpg
photo prise dans un petit village de Touraine, Crissay sur Manse...
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
:lol: :lol: :lol:
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
:lol: :lol: :lol:
Super, Marc...!
Super, Marc...!
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
:lol: :lol: :lol:
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
t'as pas honte de mettre ça alors que je suis perclue de courbatures :lol: :lol: :lol:
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
:lol: :lol: :lol:
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Fanfare -->
Cliquez sur les musiciens pour lancer chaque instrument.
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Si vous avez un petit coup de blues, ou si vous voulez passer 5 min. (10?) à rire de bon cœur, allez sur le site
https://www.facebook.com/TheMarkcomGroup?ref=stream
que Muscari a mis dans un autre sujet.
Merci Musc...
Bon sang, ça fait du bien...!
https://www.facebook.com/TheMarkcomGroup?ref=stream
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Merci Musc...
Bon sang, ça fait du bien...!
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Ça ne fonctionne pas …… sans s'inscrire !?
J'ai pô envie d'être sur FB.
J'ai pô envie d'être sur FB.
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Je ne suis pas sur FB, ça fonctionne sans s'inscrire. Il y a plein de pages FB très chouettes libres d'accès.
Quand on arrive en bas de page, attendre un peu que la suite s'affiche, il y en a encore.
Quand on arrive en bas de page, attendre un peu que la suite s'affiche, il y en a encore.
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Par contre, elle sait toujours écrire.....
Dans un de ses cours consacrés aux mécanismes cérébraux impliqués dans la lecture, Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France, citait cet extrait de Feu pâle, de Vladimir Nabokov : "Nous sommes absurdement accoutumés au miracle de quelques signes écrits capables de contenir une imagerie immortelle, des tours de pensée, des mondes nouveaux avec des personnes vivantes qui parlent, pleurent, rient. (…) Et si un jour nous allions nous réveiller, tous autant que nous sommes, et nous trouver dans l’impossibilité absolue de lire ?"
Comme c'est en général la règle dans les études de cas, on n'aura que ses initiales. Institutrice américaine de quarante ans, M. P. a eu la douleur de faire de l'hypothèse de Nabokov sa réalité. Racontée le 7 janvier dans la revue Neurology, son histoire commence un jeudi d'octobre 2012, en classe, devant ses jeunes élèves de maternelle. Comme tous les matins, l'enseignante doit faire l'appel. Mais à sa grande surprise, la liste de présence dont elle se sert tous les jours est couverte de signes mystérieux auxquels elle ne comprend goutte. Ainsi qu'elle se le rappelle, la feuille "aurait pu aussi bien être couverte de hiéroglyphes". Les notes qu'elle a préparées pour faire sa classe s'avèrent elles aussi incompréhensibles... M. P. rentre chez elle ce jeudi et, au cours des 48 heures qui suivent, elle éprouve de nouvelles difficultés : elle a du mal à trouver ses mots et sa réflexion est ralentie. Le samedi, sa mère l'emmène aux urgences.
C'est un accident vasculaire cérébral (AVC) qui a causé tout cela. M. P. ne s'est rendue compte de rien mais, dans son cerveau, une petite zone située dans la région occipito-temporale gauche s'est déconnectée et elle restera hors service toute sa vie. On la connaît sous le nom d'aire de la forme visuelle des mots (AFVM) et c'est elle qui est responsable de l'identification visuelle de l'écrit. Cette désactivation n'interrompt pas l'accès au reste des aires cérébrales impliquées dans le langage. M. P. comprend ce qu'on lui dit, parle normalement mais elle ne peut plus lire. En revanche, elle sait toujours écrire ! Les neuroscientifiques parlent d'alexie (incapacité à lire) sans agraphie (incapacité à écrire) ou bien d'alexie pure. Les cas sont très rares et le premier que la littérature scientifique recense est un cas français, décrit en 1892 par le neurologue Jules Dejerine.
M. P. croit d'abord que la zone lésée s'est juste remise à zéro et qu'avec les outils qu'elle connaît bien, elle va pouvoir réapprendre à lire. Et elle ne veut pas laisser sa passion pour les mots écrits s'envoler sans se battre. Mais la porte est fermée et pour de bon : M. P. ne peut pas faire du "b-a ba", tout simplement parce qu'elle ne "voit" ni les "b", ni les "a". Le message que ses yeux lui envoient à la vue des lettres arrive bien à son cerveau mais il ne passe pas la douane des mots. Toutefois, M. P. est tenace. Elle s'aperçoit qu'un autre sens que la vue peut venir à sa rescousse et c'est probablement ce qui fait la beauté de son cas, si l'on met de côté l'ironie cruelle qu'il y a à voir une spécialiste de l'apprentissage de la lecture frappée d'alexie.
Sa roue de secours, M. P. va la trouver dans... le geste. Ses yeux ne lui sont pas d'une grande aide mais sa main a encore la mémoire des lettres tracées. En voyant un mot, l'enseignante ne reconnaît pas la première de ses lettres. Alors, elle se met à dessiner avec le doigt toutes les lettres de l'alphabet, jusqu'à ce qu'elle arrive à celle dont elle voit la forme sans savoir le nom. L'exemple donné dans l'étude est celui du mot "mother" (mère en anglais). M. P. utilise son astuce pour les trois premières lettres, "m", "o" et "t", puis elle complète le mot d'elle-même. Les auteurs de l'article précisent d'ailleurs que, dans son travail de rééducation, M. P. a de vagues réminiscences à la vue de certains mots, des "émotions qui semblent appropriées". Ainsi, à la vue du mot "dessert", elle s'exclame : "Oh, j'aime ça !" En revanche, en voyant le mot "asperge", elle explique ne pas vouloir le déchiffrer car quelque chose en lui la dérange.
Malgré tous ses efforts, malgré la "béquille" qu'elle a trouvée pour déchiffrer, très laborieusement, quelques mots, M. P. ne relira plus jamais de manière automatique et fluide. Elle a dû abandonner son métier et travaille désormais à l'accueil d'un centre sportif. Lire une histoire aux enfants, comme elle le faisait dans sa classe, est la chose qui lui manque le plus, plus encore que dévorer un ouvrage pour elle-même. Et elle a l'intention d'écrire les mémoires d'une institutrice qui ne sait plus lire.
Pierre Barthélémy (suivez-moi ici sur Twitter ou bien là sur Facebook)
Dans un de ses cours consacrés aux mécanismes cérébraux impliqués dans la lecture, Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France, citait cet extrait de Feu pâle, de Vladimir Nabokov : "Nous sommes absurdement accoutumés au miracle de quelques signes écrits capables de contenir une imagerie immortelle, des tours de pensée, des mondes nouveaux avec des personnes vivantes qui parlent, pleurent, rient. (…) Et si un jour nous allions nous réveiller, tous autant que nous sommes, et nous trouver dans l’impossibilité absolue de lire ?"
Comme c'est en général la règle dans les études de cas, on n'aura que ses initiales. Institutrice américaine de quarante ans, M. P. a eu la douleur de faire de l'hypothèse de Nabokov sa réalité. Racontée le 7 janvier dans la revue Neurology, son histoire commence un jeudi d'octobre 2012, en classe, devant ses jeunes élèves de maternelle. Comme tous les matins, l'enseignante doit faire l'appel. Mais à sa grande surprise, la liste de présence dont elle se sert tous les jours est couverte de signes mystérieux auxquels elle ne comprend goutte. Ainsi qu'elle se le rappelle, la feuille "aurait pu aussi bien être couverte de hiéroglyphes". Les notes qu'elle a préparées pour faire sa classe s'avèrent elles aussi incompréhensibles... M. P. rentre chez elle ce jeudi et, au cours des 48 heures qui suivent, elle éprouve de nouvelles difficultés : elle a du mal à trouver ses mots et sa réflexion est ralentie. Le samedi, sa mère l'emmène aux urgences.
C'est un accident vasculaire cérébral (AVC) qui a causé tout cela. M. P. ne s'est rendue compte de rien mais, dans son cerveau, une petite zone située dans la région occipito-temporale gauche s'est déconnectée et elle restera hors service toute sa vie. On la connaît sous le nom d'aire de la forme visuelle des mots (AFVM) et c'est elle qui est responsable de l'identification visuelle de l'écrit. Cette désactivation n'interrompt pas l'accès au reste des aires cérébrales impliquées dans le langage. M. P. comprend ce qu'on lui dit, parle normalement mais elle ne peut plus lire. En revanche, elle sait toujours écrire ! Les neuroscientifiques parlent d'alexie (incapacité à lire) sans agraphie (incapacité à écrire) ou bien d'alexie pure. Les cas sont très rares et le premier que la littérature scientifique recense est un cas français, décrit en 1892 par le neurologue Jules Dejerine.
M. P. croit d'abord que la zone lésée s'est juste remise à zéro et qu'avec les outils qu'elle connaît bien, elle va pouvoir réapprendre à lire. Et elle ne veut pas laisser sa passion pour les mots écrits s'envoler sans se battre. Mais la porte est fermée et pour de bon : M. P. ne peut pas faire du "b-a ba", tout simplement parce qu'elle ne "voit" ni les "b", ni les "a". Le message que ses yeux lui envoient à la vue des lettres arrive bien à son cerveau mais il ne passe pas la douane des mots. Toutefois, M. P. est tenace. Elle s'aperçoit qu'un autre sens que la vue peut venir à sa rescousse et c'est probablement ce qui fait la beauté de son cas, si l'on met de côté l'ironie cruelle qu'il y a à voir une spécialiste de l'apprentissage de la lecture frappée d'alexie.
Sa roue de secours, M. P. va la trouver dans... le geste. Ses yeux ne lui sont pas d'une grande aide mais sa main a encore la mémoire des lettres tracées. En voyant un mot, l'enseignante ne reconnaît pas la première de ses lettres. Alors, elle se met à dessiner avec le doigt toutes les lettres de l'alphabet, jusqu'à ce qu'elle arrive à celle dont elle voit la forme sans savoir le nom. L'exemple donné dans l'étude est celui du mot "mother" (mère en anglais). M. P. utilise son astuce pour les trois premières lettres, "m", "o" et "t", puis elle complète le mot d'elle-même. Les auteurs de l'article précisent d'ailleurs que, dans son travail de rééducation, M. P. a de vagues réminiscences à la vue de certains mots, des "émotions qui semblent appropriées". Ainsi, à la vue du mot "dessert", elle s'exclame : "Oh, j'aime ça !" En revanche, en voyant le mot "asperge", elle explique ne pas vouloir le déchiffrer car quelque chose en lui la dérange.
Malgré tous ses efforts, malgré la "béquille" qu'elle a trouvée pour déchiffrer, très laborieusement, quelques mots, M. P. ne relira plus jamais de manière automatique et fluide. Elle a dû abandonner son métier et travaille désormais à l'accueil d'un centre sportif. Lire une histoire aux enfants, comme elle le faisait dans sa classe, est la chose qui lui manque le plus, plus encore que dévorer un ouvrage pour elle-même. Et elle a l'intention d'écrire les mémoires d'une institutrice qui ne sait plus lire.
Pierre Barthélémy (suivez-moi ici sur Twitter ou bien là sur Facebook)
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
C'est bouleversant et terrifiant.
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
je regardais ma bibliothèque et j'essayais d'imaginer ce que pourrait être ma vie sans les livres........... l'horreur :?
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Et la transmission des livres ?
Cela remplit une pièce sans parler des pièces où y en a moins.
Même si les héritiers sont des lecteurs, je ne crois pas qu'ils s'embarrasseront de tout ça.
Et les bibliothèques n'en veulent quasiment pas. Faut que ça ait l'air du neuf.
Pffffttt !
L'AVC est la maladie que je crains le +
Devenir un légume après avoir essayé :mrgreen: . d'en faire pousser ! :mrgreen:
Cela remplit une pièce sans parler des pièces où y en a moins.
Même si les héritiers sont des lecteurs, je ne crois pas qu'ils s'embarrasseront de tout ça.
Et les bibliothèques n'en veulent quasiment pas. Faut que ça ait l'air du neuf.
Pffffttt !
L'AVC est la maladie que je crains le +
Devenir un légume après avoir essayé :mrgreen: . d'en faire pousser ! :mrgreen:
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Vous avez vu le titre de ce topic ! Hein ?
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Pas drôle du tout, et moi aussi, Claude, ça me terrifie !!
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
On peut retrouver l'article de P. Barthélémy
ainsi que les commentaires :
—> http://passeurdesciences.blog.lemonde.f ... plus-lire/
ainsi que les commentaires :
—> http://passeurdesciences.blog.lemonde.f ... plus-lire/
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Claude :lol:Devenir un légume après avoir essayé :mrgreen: . d'en faire pousser ! :mrgreen:
Tu me fais penser à Alexandre Jollien ou Philippe Pozzo di Borgo (qui a inspiré le film Intouchables), ces belles personnes à qui je dis chapeau bas messieurs,
car capables de faire de la dérision avec leurs lourds handicaps. Des exemples d'humanité.
L'un comme l'autre auraient tout à fait été capables de sortir ta phrase.
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
J'ai écouté avec plaisir P. Bergé interviewé par Maïtena Biraben dans l'émission Le supplément sur Canal. Il parlait du vieillissement, du suicide des personnes âgées 'à travers sa mère et lui-mm) et de cette terrible traitrise qu'est l'AVC…… d'une fazçon que je partage. (J'avais raté le début) Une beau moment de télé.
Peut-être ici : http://www.canalplus.fr/c-divertissemen ... id=1001125
Peut-être ici : http://www.canalplus.fr/c-divertissemen ... id=1001125
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Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Un moment de grande drôlerie. François Morel aujourd'hui à la fin du 7/9 de F-I :
http://www.franceinter.fr/emission-le-b ... e-a-outils
http://www.franceinter.fr/emission-le-b ... e-a-outils
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
Je ne connais pas l'Ardèche et je le regrette. Cette vidéo m'a donné l'envie d'y aller faire un tour, un jour. Et ce que dit la chanteuse me parle aussi.
http://www.kizoa.fr/slideshow-maker/d75 ... d%C3%A8che
http://www.kizoa.fr/slideshow-maker/d75 ... d%C3%A8che
Re: Pour rire ou sourire, un peu de détente
viens quand tu veux, tu seras la bienvenue :D