ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Aïe ! Aya yaille ! Merci Chichi, c!est vrai que ça pousse ce dru. On en voit beaucoup par ici. Cela fait partie de nos paysages.

Je vais en chercher pour servir de tuteur, et depuis qq temps j’en broie bcp pour le compost.

Sur les bords du Var. Voilà du pyramidal.
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Cette pélite, cette pierre me fait penser aux tablettes de chocolat que je n’ai pas !
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:lol:

tu sais, on progresse toujours : la tablette s'est transformée en boite de chocolat en poudre !

Ça y est !
Je me rappelle à quoi me fait penser cette grande tour pyramidale photographiée au bord du Var et publiée avant-hier.
Je pense à la Tour de Babel.

Que tu as bien connue :lol:

Pour en revenir aux cannes de provence et te persuader d'aller arracher celles que tu as plantées au bord du Var, regarde une toute petite partie des embacles que ça peut créer.

Chichi. Les autorités locales paraissent apprécier le développement de véritables pans de forêt faits de ces cannes dans le lit du Var dont les variations brutales de débit emportent tout au passage. Je suppose que ces cannes résistent mieux aux arrachages par les eaux torrentueuses et participent au dépôt de meilleur substrat que la pierraille roulée par le fleuve. Alors que la largeur du courant dépasse rarement la dizaine de mètres, la largeur du lit se mesure carrément en centaines de mètres. Près de chez moi, ça frise les 300 mètres.
Je te ferai des photos. Hum! Il me faudrait un hélico !

Bof, après tout c'est votre problème. Ici, ils essayent de faire la chasse aux cannes sèches, cassées, mal gérées qui fichent le camp à chaque grosse inondation et finissent à chaque fois à Fleury d'Aude parce que plus loin ça peut pas, c'est la mer.

J'ai été sidérée cette année là de voir les centaines de mètres de plages envahis par ces embacles. Le maire de cette commune n'en peut plus d'avoir à gérer ces dégâts à chaque grosse inondation car il n'a aucune aide financière du département ni surtout des communes traversées par l'Aude et d'où proviennent toutes ces cannes que personne n'a canalisé.

Tes photos sont spectaculaires, Chichi.

Nos plages sont souvent « embaclėes », encombrées après des crues comme sur tes photos. La mer rejetant ces débris sur le rivage. Mais les dépôts de cannes ne sont pas prédominants. L’on voit beaucoup de branches qui étaient probablement des branches déjà cassées et des arbres entiers quand la crue est exceptionnelle comme celle qui nous a traumatisés.

En amont, les troncs et grosses branches sont souvent regroupés en agrégats, monticules. On voit parfois les traces d’engins ayant participé à ces entassements. Je n’en connais pas la raison. J’imagine que l’idée Est de créer des îlots favorables à la vegetalisation dans le lit même des cours d’eau.

Hé bé…en effet, c'est spectaculaire.
Ça m'a fait souvenir des propos de ma moman au sujet de l'encombrement des bois:
Elle disait "Pendant la guerre, t'inquiète que les bois étaient plus que propres".
Depuis, ils ne sont plus nettoyés, ni par les chèvres que menaient les mémés, ni par les humains pour leurs déplacements à pied,
ni pour le chauffage au bois, car en plus, les coteaux ardéchois sont pentus et peu accessibles à des engins.
Je vois revenir ça à tout allure…

Pareil ici, des arbres entiers déracinés, des traces des engins qui ont regroupé le plus possible en énormes tas tous ces végétaux morts mais il n'est pas difficile de comprendre la raison de ces tas.
Il y a deux bonnes raisons :
- empêcher les troncs d'arbre de partir dans la mer, un tronc entre deux eaux est très dangereux pour les bateaux
- ils les préparent pour les charger en camions et les évacuer ailleurs, souvent vers des plateformes de compostage et ça en fait des m³ ...

Les monticules dont je parle sont en position stationnaire depuis des lustres. Les évolutions d’engin sont anciennes. Le sol sous ces amas devient un substrat plus fertile et c’est peut-être voulu !

Avec la fin des grosses chaleur, les pieds de courgettes qui faisaient la sieste et dont les feuilles se couvraient de taches blanches (oïdium ? ) repartent et produisent des feuilles neuves bien vertes et même de jeunes courgettes. Jusqu’à quand ?
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jusqu’à épuisement ! j'en ramasse aussi et pourtant je n'arrose plus depuis longtemps.

Grognement. Ralentissement —peut-être conjoncturel— du bio en France.
Un peu moins de conversions combiné à des retours au conventionnel.
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https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html

faut dire que le bio industriel est quand même de pire en pire, les mêmes produits surtransformés mais sans pesticides c'est juré, les mêmes plants F1, avec de jolis fruits, tous pareils, bien gros, et des clients qui ne veulent que des pommes bien rondes et sans tache et des oignons ou des aulx qui viennent hors saison du chili, d'argentine ou de chine!
à quoi bon un bio comme ça?

J’ignore s’il est pire (le bio industriel). Je suis peu client de ce dernier. J’espère que le ralentissement évoqué cessera.

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Hier, longue journée de pluie. Vidange aujourd’hui des soucoupes et plateau pleins d’eau. Faut pas noyer les racines des plants empotés.

Apres la séance d’acupuncture de madame, pour bibi ce fut 15 minutes de bain de mer. Revigorant.
Nous étions seuls sur la plage.

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Une dizaine de boutures (de 30 à 40cm) de noisetiers
plus 2 de figuiers plantés dans la ripisylve LC
…… au niveau de la limite de petites crues.

Dehors, grand nettoyage du chez nous, travail rendu difficile par l’humiditė et la présence de moustiquaille.
Efforts en vue du passage de tous les enfants et petits-enfants. On est dans l’ exceptionnel. :o

Quelques choux achetés en godets replantés hier après-midi par madame qui va mieux. Elle adore désherber. Moi j"emporte ce qu’elle arrache. Mais elle n’a pas de présence quotidienne dans le jardin. C?est par épisodes.

L’acupuncture semble lui convenir après plus de 20 séances ! Je suis le chauffeur attitré. Parfois je profite du déplacement jusqu’à Nice pour me baigner. L’eau de mer —les gens l’ignorent souvent— refroidit très lentement. On a plus froid en sortant de l’eau. Quant à la fraîcheur de l’eau, elle réveille, revigore, incite à bouger…… J’aime nager, sentir le corps encore capable de faire, et de ressentir l’absence de pesanteur.

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:mrgreen:
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Bon, je vais broyer du figuier (ce sont des tailles fraîches), et peut-être de l’olivier (hélas, c’est du très sec qui n’a pas été broyė en son temps, au bon moment). Et nettoyer le virage.
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Hier j’ai enfin reçu ma dernière commande : 5 jeux de lames de broyeur ! GO !

"mieux vaut broyer un figuier que du noir" disait toujours mon pote le philosophe irlandais O'livier, un gars très sec lui aussi!


5 lames? c'est comme le fameux rasoir, il y a la lame pour la précoupe, qui tire le poil, la deuxième pour couper à la base, la troisième qui repère les poils planqués, la quatrième -la fameuse' qui coupe les poils en quatre dans le sens de la longueur et la 5° qui clôt la colonne!

Il faut trouver lame sœur, une affaire qui marche au poil...

Mon broyeur, dès la mise en marche s’est mis à fumer. Exit ?
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Journée passée à tenter de démonter un autre broyeur identique, plus ancien, que j’avais mis à l’écart à cause de l’ impossibilité de démonter les couteaux. Cette impossibilité m’avait servi de leçon : depuis je glisse une goutte d’huile sur le filetage des vis de serrage des couteaux avant chaque remontage.
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Mais aujourd’hui, penché sur le plus vieux broyeur, je me suis retrouvé incapable de desserrer la vis centrale, celle de l’axe du plateau circulaire rotatif. Je voulais échanger ce plateau rotatif grippé pour le remplacer par le plateau du broyeur plus récent qui m’avait lâché aujourd’hui. Trop rouillé ! Va me falloir commander un 3ème broyeur bas de gamme.

À part ça, la vie s’écoule.