ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Claude a écrit : ↑

13 mai 2020, 09:31

Très probable, Chichi, merci.
Voici le site qui a fini de me convaincre : https://jardinage.ooreka.fr/plante/voir/448/margousier
Melia azedarach

Arguments :
Primo. Le feuillage qui fait penser au frêne. Un feuillage d’aspect un peu « mou ».
Et secondo, les grappes très aérées de petits fruits couleur de miel (ça colle avec mon souvenir des Melia adultes d’une rue niçoise ; je parle de « souvenir » car les miens sont encore trop jeunes).
J’aime bien l'idée d’un bois assez précieux et que ça grandisse vite ! Je le verrai peut-être porter ses fleurs étoilées. ;) :lol:

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Les feuilles de ce Melia seraient un bon insecticide et un bon fongicide :arrow: selon cet extrait :
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« Wikipedia » a écrit : Toutes les parties de l'arbre sont toxiques en raison de leur teneur en azadirachtine. Les feuilles sont utilisées comme un insecticide naturel[2] souvent associé au stockage d'aliments. La simple présence d'un tapis de branches feuillues de Melia dans une serre constitue un excellent répulsif à insectes.
De la même façon, la présence d'un Melia dans une zone permet de réguler naturellement la quantité d'insectes en cas de pullulation. On peut également réaliser un purin de feuilles (ou mieux de graines moulues) qui après avoir mariné 24 heures dans l'eau et auquel on aura ajouté un « mouillant » (type savon noir) constitue un excellent insecticide (contre pucerons, chenilles, mouches mineuses, aleurodes, araignées rouges) et antifongique (contre l'oïdium, fusariose, rouille). La rémanence est de 4 à 7 jours.[réf. nécessaire]

Tina nous a fait des cadeaux : sur la photo, plusieurs sortes de haricots cultivés à …… Madagascar !
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ah oui, c'est là qu'il y a le haricot kilomètre", tu vas chez ton primeur et tu lu dis:
"s'il vous plait, mettez moi 2,50 m de haricot, oui, du vert"

Hier soir, je suis tombé sur de petites (courtes, j’adore) vidéos d'expériences faites par un physicien confiné avec trois bouts de ficelle. Ça vaut le temps passé.

Par exemple comment enrouler un câble, une ficelle sans que ça s’emmêle. Pour cela, il utilise un savoir-faire connu par les marins et que j’ignorais. Comme disait un certain Jean F. ce soir j’aime la marine ……

https://www.lemonde.fr/sciences/article ... 50684.html

Et si je goûtais demain les feuilles mucilagineuses de mon petit tilleul ?
Je me souviens tout à coup avoir lu que c’est agréable à manger.

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Un bel orage est en cours. Je débranche.

Orage nocturne.
Aujourd’hui, maçonnerie sur mon plan de travail.
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Fleurs des champs : glaïeul, mauve, centranthe, echium, … et Gatto.
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Les ornithogales, une première pour nous, cuites rapidement, avaient un bon goût de chou.

Puis, seconde première pour moi, les feuilles tendres de notre jeune tilleul avaient un goût de salade avant de révéler leur curieux côté mucilagineux (j’avais l’impression de mâcher une sorte de gel).

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Après les dernières pluies, tout est bien vert.
J’aime bien le panorama visible au niveau de la confluence de l’Esteron et du Var
avec les écharpes de nuages posées sur les montagnes des Préalpes.
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Au loin, en forme de canine, le Péléré, la montagne de Gus.

Moi pas voir la canine. ;)

Le haut de tes photos seraient bandeautable.

Voici la canine un peu usée … par Gus.

comment, c'est Gus qui l'a usée!

Mont st André ou Mont Péléré pour les gens d'ici,(ne me demandez pas pourquoi je n'en ai aucune idée).
Altitude 700m,le village de Bonson qui est juste en dessous est à 500m.
Ce qui est étonnant c'est la diversité de la flore qui se trouve là haut alors que la surface du sommet ne doit pas faire plus de 1000m².
et la vue y est grandiose.

Gus. Ça me donne une idée de promenade.

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Aujourd’hui, quelques averses.
Maçonnerie. J’ai entamé les finitions : enlever les bavures.
Le maçon a mal travaillé, il y a beaucoup de bavures !

Sous la pluie. Vue plongeante sur notre cerisier chargé de cerises que seuls les oiseaux pourront grignoter.
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Beau temps de retour. Moral en berne.

ben alors?

La seule chose apte à faire remonter le moral, ce fut de pouvoir monter sur mon mur.
Pour la première fois.
Et d’y faire un pas sans qu’il s’écroule. ;)

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il a fait quoi le passant?

Suite.

Transport de parpaings sur un sentier risqué (un sentier de contrebandier). Ces parpaings sont nécessaire pour l’érection (non, vous n’y êtes pas), je précise, la construction d’un nouveau mur.
Où ça ? On dira : ce mur est au-delà du mimosa pour situer l’action.

Mais pour y accéder, il faut quasiment faire un circuit tout autour de la maison. Ce qui introduit beaucoup de suspense et d’incidents. Dans les passages difficiles, les parpaings affolés ne demandent qu’à s'échapper.

La preuve en image :
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Ça me rappelle quelque chose...
Mais c'était avec du compost, moins facile à ramasser....
Mio refait ses sentiers tout les deux ans - quand il n'est pas trop pris ou trop fatigué. Cette année c'est Beau-fils (euh... gendre) qui a repris le boulot. Il faut entretenir les sentiers pour pouvoir transporter avec moins de soucis.

Fais gaffe Claude, il serai dommage que tu te retrouves en vrac comme tes parpaings.

En effet. Il vaut mieux rester en bon ordre qu’en vrac. L’image est parlante mais pas du tout attirante.
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Ce matin de jour férié, ascension de parpaings en brouette.
:P
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Contre le cerisier,
je me suis enfin décidé à installer la moitié de l'échelle
de 8 mètres que mon père m’avait donnée. Ascension donc.
Tout en haut, avec la tête à plus de 5 mètres,
les branches avec beaucoup de cerises rosissantes
Restent encore hors de portée, elles sont à 7 et 8 mètres de hauteur. Ce cerisier flirte déjà avec les 9 mètres.
:o

Sur notre grand cerisier, les branches basses ont été laissées tranquilles de façon à ce que les cerises soient pour nous. Tandis que les oiseaux se servent en haut. C'est un cerisier de plus de 50 ans, que nous avons plantés à notre arrivée ici avec notre fille et sa petite pelle.
Depuis il y en a plusieurs autres moins hâtifs, et un cerisier jaune qui était ici avant nous, que nous avons dégagé des ronces et qui donne en dernier de délicieuses cerises jaunes au goût unique.

Dans les passages difficiles, les parpaings affolés ne demandent qu’à s'échapper.

Aussi, tu n'es pas raisonnable de tant charger ton sac à dos…pfff…

un cerisier jaune qui était ici avant nous, que nous avons dégagé des ronces et qui donne en dernier
de délicieuses cerises jaunes au goût unique.

Ne sont-ce point des Napoléon, absolument divines? Mais qui sont rouges et jaunes.
Avec un hic: vite habitées car un peu tardives.

https://www.pepinieres-gromolard.com/fr ... oleon.html

Notez le nom du pépiniériste!

On risque de se sortir du chez nous et des chantiers qui nous font de l’œil si l’on reste sur place. D’autant que madame Claude n’est sortie qu’une fois depuis la mi-mars. Faut voir.
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Notre cerisier a été planté dans les premières années du siècle, presque 20 ans.
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Bon, je vais « reprendre le volant » de Super Brouette pour une énième ascension. Le mur monte !
Il servira de lieu de stockage des déblais du futur chantier d’agrandissement, nivellement du sentier qui passe au%-dessus de la maison.

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À midi, nous avons goûté des fleurs et des feuilles de capucine !

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