ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Hier, 43 mm de pluie à Nice. Ce matin, neige visible sur les sommets.

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Passage au champ
dans le jardin dit "lasagnes à ma façon".
Sur cette grosse couche de broyâts la vie végétale donne des signes positifs.
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Engrais vert.
Les lentilles semées tardivement y ont bien poussé… .
… Et les dernières tomates ont bien froid.

Petites vacances à la montagne. Village à 1000 m dans le 04. Temps ensoleillé et mois de décembre assez doux.
Promenades.

Je suis retourné voir les alisiers blancs avec leurs petits fruits bien rougis (alises).
Et cet autre arbre dont je.ai oublié le nom.
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Cliquer sur les photos ! ;)

On glane en se promenant.
Pommes de pin et branches oubliées de résineux (pins) par les forestiers qui nourriront le poêle
et fines branches de feuillus ramassées pour les passer au broyeur et destinées à pailler notre jardinet.
Puis la nuit arrive vite.… Too soon, too soon.

J'ai cette chanson rengaine dans la tête.

Speak low … when you speak love …
Our summer day …

Un Aulne Claude il me semble.

Aulne mais lequel ?

Outre l'aulne glutineux (Alnus glutinosa), on trouve en France, surtout dans les Alpes, l'aulne blanc (Alnus incana). Il diffère de l'aulne glutineux surtout par son écorce, lisse et grise, alors que celle de l'aulne glutineux est très crevassée.

Plus aucune feuille. Mais des chatons verts et des strobiles noirs (strobile=mini "cône")

L'aulne, le même.
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L'écorce est lisse et grise, non crevassé. il doit s'agir d'un aulne blanc.
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Étonnante rencontre.
À la mi-décembre j'avais soulevé un parpaing oublié sur mon terrain et découvert un orvet engourdi. Je m'en étais saisi avec la main gauche et constaté que le reptile était en plein repas, la gueule ouverte sur le corps d'une limace bien trop grosse pour lui. J'ignore la fin de cette orgie. Je m'étais contenté de reposer le glouton dans son coin repas puis de remettre en place le parpaing.
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Broyage de branchettes de saules, d'alisier, de buis et de genet prélevées dans les bois.
Récupération d'aiguilles de mélèzes rousses accumulées par la pluie et le vent de la montagne.

Et juste après, sans transition,
ces broyats et ces aiguilles sont éparpillés sur le sol pour couvrir la terre du jardinet.
L'effet visuel est bon. C'est beau.

En allant à Courchons, un hameau perché en hauteur,
une belle vue sur le Lac de St André.
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Tout au fond de la vallée, le Verdon qui alimente le lac.
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Du gui resplendissant.
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Sur un vieil arbre enseveli par d'énormes boules de gui
et donc mal portant. Proche du dépôt de bilan.
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État actuel du jardinet. Le pied des 4 fruitiers et les plates-bandes bénéficient
d'une couverture de broyats fins (de branchettes), de feuilles mortes,
et d'aiguilles de mélèzes (couleur rousse).

Joli comme tout...

Une vache aux yeux rougis (?) et deux veaux intimidés mais curieux.

Nous avons roulé loin hier. Et aperçu une peinture de mineurs en train de jouer du pic
sur ce pont tronqué. Devinez-vous où cette rencontre a eu lieu.
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C'était dans la ville de Jean Giono à proximité de la gare qui jouait un rôle
dans cette histoire ancienne. Cette peinture de mineurs au travail
et les mannequins poussant une benne
rappellent le passé minier de Gaude au Nord de Manosque où était extrait de la lignite,
ce combustible fossile très polluant entre tourbe et houille.

;)

En passant un pont sur l'Asse, encore un coucher de soleil flamboyant pour cette fin d'année.
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Rangement d'une stère de bois en bûches de 50. Ah ! Le bois de chauffage.Ça te chauffe avant d'avoir gratté une allumette.

Dans moins d'une heure, les gens de notre méridien auront changé d'année. En attendant je me demande si 2019 est un nombre premier ou pas . :D
Bonne année !

non car divisible par 3 ;)

Bonne année :D

La photo
pour le bando!

Broyage de branches d'alisier blanc, de buis et de saule.
Premier incident technique. Inquiété par le changement de bruit de mon broyeur,
j'arrête puis ouvre le capot pour constater que la vis centrale s'est desserrée et découvrir que le grand plateau tournant branle.

et quand ça branle dans le manche, la semaine sanglante n'est pas loin!

Quand la Commune de Paris fut écrasée dans le sang …
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Refrain a écrit :
Oui mais !
Ça branle dans le manche,
Les mauvais jours finiront.
Et gare ! à la revanche
Quand tous les pauvres s’y mettront.
Quand tous les pauvres s’y mettront.

Premier incident technique. Inquiété par le changement de bruit fait par le broyeur, j'arrête puis ouvre le capot pour constater
que la vis centrale s'est desserrée et découvrir que le grand plateau tournant branle.

:roll: Comme on disait autrefois "le bon marché est toujours trop cher" ?

plumee a écrit : ↑

03 janv. 2019, 07:24

Premier incident technique. Inquiété par le changement de bruit fait par le broyeur, j'arrête puis ouvre le capot pour constater
que la vis centrale s'est desserrée et découvrir que le grand plateau tournant branle.

:roll: Comme on disait autrefois "le bon marché est toujours trop cher" ?

Aujourd'hui, une rondelle maintenant le bouton de remise en marche après une interruption forcée est tombée.
Faut dire que je malmène la pauvre bête laquelle est juste calibrée pour des clients qui l'achètent s'en servent deux fois et l'oublient dans un coin.

:lol:

Plate-bande prête pour le printemps prochain
avec 2 ollas (distribution d'eau très lente) et couvert de broyats.
Une belle couche !
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Bonne idée… ça me donnerait presque envie de m'y remettre.
Seulement quand j'aurais fini de cuver le gros rhube/sinusite qui fait qu'à pas vouloir me lâcher.
Après une petite gastro, tu vois l'état de la jardinière? :(

Presque pareil, rhume avec petite fièvre (38°5) et maousses éternuements. Le température clemente de ce mois de janvier à la montagne était trompeuse. Surtout que je finissais de broyer, le soleil couché, jusqu'à la nuit, jusqu'à ne plus rien voir ! Et nous avons mis du temps à mettre en service le petit poêle à pétrole. Pas malin le jardiniais.

De plus, nous sommes remontés à la montagne samedi, soit 2 heures de route aller, autant au retour, pour retrouver le portable de Madame.

Mais le jardiniais a ramené deux bottes de tailles de saules prélevées dans le lit du Verdon, de quoi tenter des boutures mais aussi se lancer dans la vannerie. Espoir quand tu nous tiens.