ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Houlala !

Mio est comme toi, il aurait proposé le coup de main. Mais, est-ce que toi aussi tu évites toujours de le demander ?

Je ne sais pas, je préfère donnerou aider. Et je n’aime pas être débiteur mais l'âge me fait …… mûrir.

Rires

C'est un fait bien connu, les hommes ont horreur de demander, pour Chichinet j'ai l'impression que ce serait déchoir.
Alors que nous les filles, on n'a pas ce genre d'amour propre et ça ne nous pose pas de problème de demander notre chemin, à un vendeur de bricolage ou autre où se trouve tel rayon, de l'aide quand on n'arrive pas trop à faire quelque chose ...

Ce n'est pas une critique, c'est comme ça, nous sommes différents.

Elle a très bien parlé notre Chichinette.
Je vois que nous avons la même expérience. :D

La même ici aussi :mrgreen: c'est tellement mieux de galérer :shock:

Je pense qu'il y a quelque chose de génétique, là- dedans.
Dans mon cas personnel, après un gros travail en thérapie pour apprendre:
1° A dire non à ce qui ne me convient pas.
2° A demander de l'aide.
Je conclue, dans le premier cas, à un certain succès (si je reste vigilant à mon premier réflexe qui est d'accepter!)
Dans le deuxième cas,c'est plus complexe;autant j'arrive parfois à accepter l'aide qu'on me propose, autant j'ai toujours beaucoup de mal à demander!
Ah ma pauv'dame, on est bien peu de chose! :roll:

Je pense qu'il y a quelque chose de génétique, là- dedans.

Mais oui....je connais des femmes qui réagissent de même !

2° A demander de l'aide....

pour les hommes, ça vient, avec l'âge.... :mrgreen:

ben faut comprendre, un homme, à force de demander un truc à une dame, et de se prendre un rateau, ben, il hésite!

Quoiqu'en ce moment, avec toutes les feuilles qui tombent, c'est bien pratique, un rateau :lol:

Bon, je vois que ces messieurs, à quelques exceptions près, soufrent du même mal... Est-ce que ça va m'aider à accepter, je me demande.... :lol:

J'ai planté deux actinidia, l'un pour remplacer un décès et un de plus que prévu. Ma plantation est terminée. J'ai mis des feuilles au pied, de la paille et du broyat. Et sur les conseils de la pépiniériste, j'ai protégé les bourgeons avec du carton. Je ne suis pas sûre que ce soit nécessaire, mais je fais comme on me dit. Mio a installé des poteaux et des fils de fer en hauteur - à peu près à la hauteur du sommet de mon crâne, ça me promet de jolies égratignures. Mais pour cueillir les futurs kiwis, ce sera nickel.

J'ai aussi commencé à débarrasser la petite plate bande, qui est inclue dans la terrasse sous la fenêtre de la cuisine, de toutes les cochoncetés genre lierre rampant, potentille, herbes gêneuses en tous genres. Je vais y planter un Kalmia que je viens de recevoir. J'aime bien, ça me rappelle la maison sur la colline pas loin de New York où ma sœur à vécu longtemps. Il y avait des kalmia sauvage partout. Les Américains les appellent des laurier de montagne - et ma sœur disait "laurier rose" - et je lui rétorquais que ça n'en était pas... et on se chamaillait là-dessus. C'est fini, elle n'est plus là pour défendre son point de vue. Je vais donc planter un kalmia devant ma maison en espérant qu'il veuille bien m'agréer.

J'ai aussi entouré deux pieds de cardon avec du carton, comme m'a dit Plumee.

Pendant ce temps-là, Mio a fini de rapporter le bois - 500 kg hier, 500 kg aujourd'hui. Reste plus qu'à le fendre. Est-ce qu'il va se faire aider par son gendre ? Réponse à Noël. Mais à mon avis... niet.

Bon, je vois que ces messieurs, à quelques exceptions près, souffrent du même mal... Est-ce que ça va m'aider à accepter, je me demande....

:lol:

Plumix a écrit : ↑

20 nov. 2020, 18:31

Quoiqu'en ce moment, avec toutes les feuilles qui tombent, c'est bien pratique, un rateau :lol:

Tu m’enlèves la remarque que j’avais sur les lèvres. J’arrive trottoir.
Ége semble ne pas apprécier les râteaux, mais comment fait-il pour ratisser, je me demande. Ratisse-t-il ?

J'ai oublié de dire que j'ai rentré les poivrons (pendus par les racines dans le jardin d'hiver avec leurs feuilles et tout) et les citronniers (derrière le canapé, le seul endroit un peu clair de la pièce commune). Je les mettrai peut-être dans la véranda demain.

J'ai oublié de dire que j'ai rentré les poivrons (pendus par les racines dans le jardin d'hiver avec leurs feuilles et tout)

Crotte et crotte et crotte de bique d'Ardèche évidemment:
j'ai taillé ras mon beau plant de piment Rocotillo et laissé en terre, alors que j'aurais pu le déterrer comme toi
et le pendouiller dans ma Tour.
Mais je savais point… ou alors j'avions zoublié… :roll:

Que fais-je ménant?

Tu prends ta lampe frontale, enfiles bottines et doudoune et tu sors réparer ton oubli.

Heuuuu, si elle l'a rasé ... :?

j'essaye de voir ce que ça donne avec un voile d'hivernage! et ceux que j'ai arrachés je les ai mis dans le compost (celui que je viens de finir, avec dessus une bonne couche de feuilles diverses), debout, les racines dans le compost, les tiges à l'air et le couvercle presque fermé.
vous dis ce que ça donne

Eh ben... je l'ai échappé belle.
Je rangeais mes pots de fleurs fragiles sur l'étagère du jardin d'hiver. Pour faire de la place, je poussais de ci et de là les pots, les mettais en quinconce, les changeais de place pour que tout entre. Je me trouvais sur les marches en pierre qui mène à l'une des sorties sur l'extérieur - et sur lesquelles marches se trouvaient aussi bon nombre de gros pots. Pour aller un peu plus loin de la main sur l'étagère, j'ai mis un pied sur une table en marbre pour m'appuyer et repousser le pot que j'avais dans les main. Et voilàtypas...
... que je me retrouve par terre, avec le pot sur l'estomac, tandis que trois gros pots de l'escalier s'étaient carapatés ... Plus de table, Marie-May emberlificotée au milieu des bouts de marbre et du pied en fonte, le derrière écrasant les tomates pas mûres qui attendaient jusque là sagement de tourner rouge sur la tablette, incapable de se relever sans enlever d'abord le panier plein de pommes de terre (Bintje si vous voulez tout savoir) tombé sur le pot, puis le pot où une grande succulente s'était fait la malle avec sa terre que j'avais sur le pantalon et les chaussettes, les bouts du joli pot en terre cuite cassé (merde...!) dans lequel le ginjembre de fifille avait déjà un air penché... (maintenant il a un air cassé - re-merde !) et quelques morceaux de plantes diverses (pointes de mon petit agave, heureusement pas fichées, rosettes de je ne sais quelle succulente, bout de pélargo...
Une fois extirpée du fatras, je suis allée raconter ma chute à mon Mio - en lui demandant instamment de ne pas me rappeler que l'escabeau est dans le coin du congélo, pas loin. En fait j'étais bien contente d'avoir réussi une si belle chute sans rien me casser, et avec juste une petite coupure à la main. Quelle aventure !

Tati en aurait fait un film
Buster aussi

Fais attention ... on peut s'accidenter gravement dans les escaliers !

tu as sauvé ton ménisque !

Quelle accroc bath.

Et pas trop de courbatures suite à cette mésaventure ?