ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Encore une image de saison, prise par petit fils.

Quel boulot !
Je suis admirative...

Tu peux, Singe.... Ce lierre pousse sur un pilier qui est situé au bord du sentier qui monte à nos maisons. L'araignée avait tissé un lonnnnng fil depuis le bout de la maison de notre fille jusqu'à ce pilier avant de faire sa gigantesque toile. Petit-fils en a fait une vidéo tellement il était étonné...

Est-ce que petit-fils a surpris l’auteure de cette belle chose ?
•
L’on dit que ces fils, toutes proportions gardées ont la solidité de l’acier !
•
Cette semaine, j’ai revu le film d’horreur Arachnophobie. On aime avoir peur. Hum !!!

Non je pense qu'il ne l'a pas cherchée. Sa grand-mère n'en est pas folle, de ces arachnides, alors je ne l'ai pas aidé à chercher. Tout le monde n'a pas la chance d'avoir pour grand-papa un observateur-entomologiste distingué.

Renaissance ....

Ce sont les vieux buis plus que centenaires qui poussent au bord d'un ruisseau qui se jettent dans le Lot, l'Amarou. Quand nous sommes arrivés ici, et que nous avons pris cette route secondaire pour monter vers la maison que nous allions acheter (sans le savoir encore), je me souviens de m'être extasiée sur cette forêt de buis mêlée de châtaigniers qui poussaient le long de la route, dans cette combe très resserrée.
L'an passé, il ne restait des buis que des branches couvertes de mousse, c'était un peu lugubre... mais beau tout de même.

Les voir revivre c'est une vraie joie, même si je sais que la "forêt" qu'ils constituaient ne va pas se reformer avant un autre siècle, car ils sont terriblement lents à pousser.

Ceux qui poussent près de la maison reprennent bien aussi. Mais là, pas de mousse sur les branches, il va donc falloir les couper, ce qui est un gros boulot.

Pyrales ?

Oui. Mais elles sont allées se faire prendre ailleurs.

Quand est-ce que je vais aller ramasser mes haricots ? Il tombe encore des cordes ce matin. C'est lassant...

les pyrales ont dégusté cette année, les conditions climatiques leur ont été très défavorables!

Trompèèè-te de la renommée...
Vous êtes bien mal embouchées....

Les dernières récoltes d'été

A baver d'envie ! J'adore les trompettes de la mort, qui une fois séchées sont fabuleuses dans les sauces !
Dans mes chez moi, je n'ai pas ...
:roll: :roll:

En fait, j'ai encore l'espoir de voir mûrir des haricots et rougir des poivrons. Pour les tomates, j'ai rentré les vertes. Et pour les framboises, on ira les manger sur place, je crois.

Singe, les trompettes sont difficiles à trouver. C'est grâce à ma voisine Adrienne que j'ai appris à les dénicher et à trouver des coins.

Waouh ! La belle récolte.

J'adore les trompettes de la mort, qui une fois séchées sont fabuleuses dans les sauces !
Dans mes chez moi, je n'ai pas ...

Itou et itou.ois
Je me souviens d'une époque lointaine où je créchais en campagne iséroise, près des bois.
On y allait après le boulot. On posait la voiture, on entrait dans le bois.
50m après, on s'asseyait à terre et on remplissait des cagettes.
Sniff… sniff.
Pour moi, un des meilleurs champignons au niveau saveur et parfum, sinon LE meilleur.

A cette époque c'est du sérieux les récoltes chez toi.

Une tit' question : les tomates de fin octobre/début novembre c'est sympa mais il ne faut pas attendre la bonne saveur de l'été, c'est pareil pour les haricots verts ?

Non, je trouve qu'ils sont encore bien gouteux. En revanche, après toute cette pluie, les framboises... bof! Quant aux tomates, j'ai pris l'habitude de faire couffider les petites de toutes formes au four lentement, avec des herbes et de l'ail et puis de les conserver dans des petits bocaux pour l'hiver. Traitées comme ça, elles ont beaucoup de goût.

Astucieux.

Nous rattrapons le temps perdu par les ennuis de santé et les jours de pluie. Nettoyer le bord de route où les pervenches s'étalent et recouvrent les iris. Tailler la vigne vierge qui en prend à son aise. Rentrer du bois coupé sous le hangar, rentrer les fragiles dans la véranda... j'en rentre de moins en moins. Mare des gros pots à monter et à descendre. Cette année, encore, j'ai sorti les pélargos des jardinières de la terrasse pour les replanter dans un grand pot où ils passeront l'hiver dans le jardin d'hiver. Et j'ai roulé le gros laurier rose dans le bureau où il n'a pas tellement de lumière, mais ... tant pis.
J'ai quand même rentré les pélargoniums du balcon avec leur jardinière - pas d'escalier à descendre - mais l'an prochain, je ne sais pas si je recommencerai. Pourquoi se crever ? On peut mettre des fleurs annuelles, c'est tout aussi joli. Et puis le rosier grimpant prend de plus en plus de place, on ne voit plus les jardinières de la route.

Dès que nous sommes rentrés, pour le thé, il s'est remis à pleuvoir. Thé, gâteau et bouquin devant le feu avec le sentiment du devoir accompli....
Oh je n'ai pas fini, il reste la serre à nettoyer - et le jardin... et le terrain sous la route où je veux faire quelques plantations et où il faudrait ratiboiser les ronces qui ressortent le nez, tout comme les orties.

j'en rentre de moins en moins. Mare des gros pots à monter et à descendre.

T'as ben raison mon colon.
Le papa à Plumix, à Dijon, chaque année, déterrait ses pélargos et les suspendait à la cave, les pieds nus. Je l'ai fait une fois, ça marchait très bien.
Je n'en ai plus qu'un dont le pot file à la cave, à deux mètres de lui, après ratiboisage des tiges,
Ici, les pélargos ne sont pas chez eux: ce sont des soiffards qui n'aiment ni la sécheresse, ni la chaleur, ni le vent.
Depuis deux ans, sur le passage au sommet de l'escalier qui descend à ma terrasse,
je plante des pourpiers dans une longue jardinière.
Très jolies couleurs, changées chaque jour par des plantes qui ne craignent rien.

Et toi, tu en as de la neige Marie_May ?

Pas à notre hauteur, mais nous sommes allés hier manger chez une copine et on en a trouvé en montant la colline. Pas beaucoup, juste un peu dans les fossés et les coins ombreux. Mais sur l'Aubrac, c'est tout blanc.

que vivent les trompettes, miam, miam

Ça y est, les feuilles tombent... j'ai rempli pratiquement le composteur. Et il y en a encore des tonnes. Vais passer la tondeuse sur celles du noyer.
J'ai coupé les rameaux de la vigne vierge qui s'étend partout si on ne la réglemente pas un brin.