Sur le terrain de Claude, jardiniais et casaniais.

[Claude]

J’ai deux amandiers adultes et un tout jeune. Les adultes étaient peu productifs
et l’un d’eux ne se réveille pas. Pas de fleurs cette année. Il couvrait mon vieil abri. Voir ma photo.

La tronçonneuse va s’en mêler.
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[ege]

mais c'est que tu es pire que le pdt argentin et le long musclé réunis!

[Claude]

D’ailleurs ces 2 beaufs évitent de passer prendre un café chez moi. Tu penses que je leur fous les socoches ? Faut dire que je peux ne pas être aimable, même si cela m’en coûte. Mais les gredins sont des gredins.

Hier en voulant solder mon abattage, il me restait du houppier de l’arbre abattu avec un tronc de 15 cm quand même mais toujours accroché au chêne, en position quasi verticale. Donc après ébranchage, je m’attaque au dit tronc et v’la que la tronçonneuse finit par rester coincée par compression. Bûcheron de pâque aux tilles.

Donc j’éteins, regarde le désastre et ces 2 morceaux qui restent debout contre le chêne, la tronçonneuse plantée, et vais boire un godet puis prolongeant la pause, je jette un œil sur une chaîne d’info. Là pas de nouveau nouveau.

Quand je sommes reviendu sur le chantier, miracolo, la tronçonneuse était à terre et les deux morceaux de tronc faisaient les morts par terre. Le temps avait travaillé pour moi. Comment le remercier ?

Suis-je pour autant le maître du temps !?

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Bon je bavasse. Là je fais une pause pour boire un peu d’eau. Mes petites cellules ont soif. Et le broyeur a besoinndecsecrafeaichir. Le bois de chêne vert c’est pas de l’herbe verte de l’année.

[ege]

ni du choix de benne verte ou du verbe de l'année, hervé!

[Marc]

D’ailleurs ces 2 beaufs évitent de passer prendre un café chez moi. Tu penses que je leur fous les socoches ? Faut dire que je peux ne pas être aimable, même si cela m’en coûte. Mais les gredins sont des gredins.

Hier en voulant solder mon abattage, il me restait du houppier de l’arbre abattu avec un tronc de 15 cm quand même mais toujours accroché au chêne, en position quasi verticale. Donc après ébranchage, je m’attaque au dit tronc et v’la que la tronçonneuse finit par rester coincée par compression. Bûcheron de pâque aux tilles.

Donc j’éteins, regarde le désastre et ces 2 morceaux qui restent debout contre le chêne, la tronçonneuse plantée, et vais boire un godet puis prolongeant la pause, je jette un œil sur une chaîne d’info. Là pas de nouveau nouveau.

Quand je sommes reviendu sur le chantier, miracolo, la tronçonneuse était à terre et les deux morceaux de tronc faisaient les morts par terre. Le temps avait travaillé pour moi. Comment le remercier ?

Suis-je pour autant le maître du temps !?

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Bon je bavasse. Là je fais une pause pour boire un peu d’eau. Mes petites cellules ont soif. Et le broyeur a besoinndecsecrafeaichir. Le bois de chêne vert c’est pas de l’herbe verte de l’année.

deux ou trois coins de chêne pour débloquer la tronço....ou la scie, je ne vois pas d'autre solution...

[Brigitte]

Mais Marc Claude a dit
" Quand je sommes reviendu sur le chantier, miracolo, la tronçonneuse était à terre et les deux morceaux de tronc faisaient les morts par terre. Le temps avait travaillé pour moi. Comment le remercier ?"

Et cela finit bien pour lui...n'est ce pas ?

[Claude]

Merci.
Brigitte est une bonne lectrice.

[Claude]

En passant à loilpé devant un miroir, je me suis demandé :

«
Mais où va le ventre
quand on le rentre ?
 »

Voilà un sujet qu’il est mystérieux, pas vrai ?
Et pas de réponse dans les médias, tous des vendus.

[Marie_May]

Mio tronçonne depuis des années, il a été bucheron, reboiseur et tout et tout.

Ben, ça ne l'a pas empêché de se laisse prendre l'autre jour, en dépit de la corde placée où il faut, de la réflection à la nordique, et de l'habitude. Il s'est fait coincer le bras entre le tronc et l'échelle par un arbre qui s'est fendu en deux en tombant - et il aurait pu être bien plus amoché qu'il ne l'a été. Et il était tout seul, comme un grand qui pense être à l'abri des erreurs - et qui ne l'est pas.

Il est rentré penaud. Mais il se console avec les jolies infirmières qui lui rendent visite tous les jours.

[ege]

parie qu'il l'a fais exprès le bougre!

[Claude]

Sécurisation d..un sentier glissant et raide dans le sous-bois.
Puis tamisage deh la terre grattee pour garnir nos plates-bandes.
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[Claude]

Derrière deux boutures de sureau vieilles de qq mois,
sur la gauche, l’on aperçoit un jeune frêne dégingandé.
C’est le frêne pour lequel j?ai scié un petit chêne vert
qui lui prenait le couvert et l’ensoleillement. Ce qui
explique la branche qui se fait la malle.
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[Claude]

Avec les pluies persistantes de mars, le jardin est d’un vert bien vert. Il y’a tellement de fleurs et de floraisons différentes que aurais du mal à en faire la liste. Les châtaigniers toujours en pot grandissent.
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Lors des visites de madame à St Laurent, je visite les ripisylves du Var.

Aujourd’hui j’y ai transplanté un sureau (une bouture qui avait pris dans ma terre) … et des boutures de saule (variété à jolie tige rouge) faites sur place. Souci « technique », ce saule présente déjà des chatons (fleurs mâles) donc il faut éliminer ces floraisons … La photo :

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[Claude]

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Deux arbres trop proches. Un assez grand olivier paraissant petit dans l’ombre d’un arbousier très grand.
Avec l’injonction de se prémunir contre les incendies, je me suis décidé à rabattre l’arbousier.
Je n’en menais pas large en haut de mon échelle. Un lundi éprouvant.
Et demain un fouillis de feuillage à broyer … :cry:
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[Marc]

tu te prépares un désert ! abattre est-il bien la solution ? pas convaincant...

[plumee]

Avec l’injonction de se prémunir contre les incendies, j

Si j'en crois mon bon sens mais mon peu d'expérience, les incendies démarrent au pied des arbres, dans les broussailles sèches…
N'aurais-tu pas pu simplement, si tes arbres vivaient en bonne entente, n'élaguer que jusqu'à une certaine hauteur mais garder le couvert du sol?

[Claude]

Le désert
??
Ça me déplairait beaucoup.
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Il ne reste que deux mètres de tronc et une touffe de jeunes branchouilles du grand arbousier. Il est situé en contrebas. Il a perdu 4 bons mètres. L’olivier ne sera plus dans son ombre.

[Claude]

Avec l’injonction de se prémunir contre les incendies, j

Si j'en crois mon bon sens mais mon peu d'expérience, les incendies démarrent au pied des arbres, dans les broussailles sèches…
N'aurais-tu pas pu simplement, si tes arbres vivaient en bonne entente, n'élaguer que jusqu'à une certaine hauteur mais garder le couvert du sol?

Il y a aussi les incendies qui se propagent par les houppiers, ce sont des. Feux rapides.

[Claude]

Avec l’injonction de se prémunir contre les incendies, j

Si j'en crois mon bon sens mais mon peu d'expérience, les incendies démarrent au pied des arbres, dans les broussailles sèches…
N'aurais-tu pas pu simplement, si tes arbres vivaient en bonne entente, n'élaguer que jusqu'à une certaine hauteur mais garder le couvert du sol?

En effet, un feu de broussailles s’en prend d?abord aux buissons et plantes basses. Mais depuis quelque temps, d?autres feux sont d?actualité. Ce sont les incendies qui se propagent par les houppiers, sautent d?arbres en arbres. Il s’agit de feux rapides et plus agressifs, c?est le genre d’incendies qui inquiètent de + en +.

Nous sommes dans le Sud,b dans des zones à risques. Les règles officielles—celles préconisées par la métropole niçoise— prescrivent de laisser un espace de 3 mètres entre 2 arbres. Et si je comprends bien, il s’agit d’une distance entre deux houppiers ! Pas entre 2 troncs.

Même en désertifiant plus, j?aurais du mal à respecter à la lettre cette règle.

Tout cela, la confusion, l’embarras entraînés par des demandes formelles difficiles à mesurer et satisfaire, les abattages (ou rabattages) déjà faits, puis voir la tranche colorée et vivante des troncs coupés de ma main (au fond de moi, je les sens saccagés, et saccagés par moi) …… oui, tout cela me contrarie car ma lutte contre la chaleur, et contre le dérèglement climatique passait et passe par un accroissement du végétal. Depuis longtemps, je m’efforce de tapisser mes murs de lianes et de plantes retombantes. Végétaliser et chlorophyller les murs et verdir les zones minérales, cela est dans le conflit conflit avec la prévention contre les incendies.

J'avais écrit au maire de la commune à ce sujet.Je ne m’attendais pas à recevoir de réponse.

[plumee]

En effet, un feu de broussailles s’en prend d?abord aux buissons et plantes basses. Mais depuis quelque temps, d?autres feux sont d?actualité. Ce sont les incendies qui se propagent par les houppiers, sautent d?arbres en arbres. Il s’agit de feux rapides et plus agressifs, c?est le genre d’incendies qui inquiètent de + en +.

:shock: :shock: :shock: Végétation plus sèche? Plus de vent? Moins d'animaux pour entretenir le sol?

[Claude]

Plume.

Les sécheresses qui sont de plus en plus fréquentes sont l’élément clé de deux choses,
primo, des déclenchements plus nombreux
mais secondo, des catastrophes plus fortes, plus violentes, moins facilement contrôlables et controlées. .

Depuis qq temps, l’on parle de « mega-feux ». Cela a à voir avec le dérèglement climatique … lui-même lié au grand réchauffement. Il agit sur 2 paramètres, la fréquence et l’ importance.

Récemment l’un d’eux à sévi à Los Angeles et a duré longtemps. Le feu gagnait parfois du terrain à la vitesse d’un cheval. Sauf erreur de ma mémoire, concernant l’importance de l’incendie catastrophique de Los Angeles, il était question d’une sécheresse historique (au moins 6 mois sans pluie) combinée à un vent local sec et puissant venant des montagnes. À noter que la longue période de sécheresse avait été précédée de pluies abondantes qui avait favorisé le développement de la végétation basse, laquelle desséchée devenait un combustible excellent.,

Plume.

Ici en juillet 2017, nous avons eu droit à un grand incendie de collines de l’arrière-pays niçois. J’avais vécu il y a 7 ans un après-midi d'arrosage. Et subi l.arrosage (en rouge):des Canadair. Je vous en avais parlé.

[Claude]

Cette photo prise aujourd’hui alors que j’ai rabattu à deux mètres de hauteur le tronc du bel arbousier et n’ai pas fini de dégager les débris de l’arbre me fait repenser à Chichinette. Je me souviens qu'elle m’avait demandé de vous montrer, de lui montrer, à quel point mon terrain est escarpé. Cette photo en donne une idée. Boilà ma Réponse à Chichi. Pauvre camarade !

De ma maison, j’ai une vue assez plongeante ! N’est-il pas ?
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Un gros morceau de tronc ( il doit faire au moins 100 kilos) a atterri sur notre compteur d’eau (repérable à sa porte blanche). Pas grave.

J’avais réussi la chute de ce gros morceau. Il était tombé dans la direction voulue : j’avais d’abord tronçonné sur environ un tiers du côté de la chute voulue ; puis avoir enfoncé la lame de tronçonneuse de deux tiers du tronc et l'avoir retirée pour pouvoir enfoncer les bouts en forme de coin ( servant à arracher des clous ) d’un gros marteau dans cette dernière fente profonde. Il a suffi de taper deux fois la panne du premier marteau avec un second pour entendre un crac ! " et voir le tronc basculer dans la bonne direction. :lol:

Satisfait d?avoir réussi mon projet, mon contentement s’est teinté de regret devant l’arbre que je venais de meurtrir, et en découvrant la beauté du cœur tranché de l’arbre couleur jaune ocre rougeoyant.

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[Brigitte]

Et bé en effet c'est très pentu chez toi....tu as de l'obstination pour ce terrain, heureusement !

[ege]

oui, mais il doit avoir une belle vue de son balcon

[Claude]

Notre contrebas jusqu’à la route, vu du haut.
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Mon dernier broyât. On devine de quoi ?
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