Re: mars au jardin.
Posté : 07 mars 2014, 18:14
Dans Tambouille je disais avoir doublonné mon long compte-rendu de visite chez moi de Xyla et Brigitte mais ?????
Et donc:
Virée de jardinières (mis aussi sur jardinage en mars)
Donc , mardi, Xeela (qui devait récupérer des semences de pdeterre et d'échalotes de Jardin'enVie - "J'ai commandé TOUT ÇA ??? Mais je suis folle!"- )
et Breegeette - que je m'évertuais à appeler Béatrice, et va savoir pourquoi - ont débarqué chez moi
et aussi Modesteene et Mr.Il faut savoir que Modestine n'est jamais effrayée pour lever la patte dans l'instant, avec la chance d' un Mr Mod prêt à l'accompagner au bout du monde.
Plus mes fils/belle-fille/petite fille et ce fut encore une belle tablée. J'avais fait un cocido espagnol très plumeesé, une salade sauvage et une crème renversée au caramel + un gâteau façon baptême de Floradiane. J'entends rire d'ici ceux qui sont au parfum… :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: pour les autres dont Brigitte, allez voir sur le topic "Baptême rosier Floradiane", au 19 septembre (si je n'ai pas bouffé la date en arrivant ici.
Donc, je démarre un gâteau, recette Clea, à l'orange et aux épices provençales de Xyla, un mix qu'elle utilise pour le salé mais qui m'avait fait un moëlleux, goût pain d'épices délicieux.
Au moment de monter les blancs, je m'aperçois que mon four est occupé par ma crème renversée qui en a encore pour un moment. :o Horreur et damnation! La levure chimique est déjà dans la pâte, donc, je devrais enfourner dès les blancs montés mais le four est à 150°, trop bas pour elle. Je fonce chez Plumix, mon voisin, branche son petit four, revient au pas de charge pour être prise dans un dilemne: monter les blancs de suite et enfourner mais le four ne sera pas assez chaud (lui non plus) ou attendre un peu et la levure risque bien de n'être plus qu'un souvenir dans ma pâte. Je transige. Résultat, j'enfourne dans un four qui me semble pas vraiment à la hauteur :? . Je craignais le pire, ce fut le pire. :( :( :( D'autant plus que j'avais un peu loupé le temps de fin de cuisson. Speedy Plumee se préceepeete. Cata: le gâteau est raplapla, lourd, genre disque pour sportif et bien cuit. Trop cuit, enfin, quoi, disons le tout net: brûlé.
Quand j'en cause, Modestine déclare qu'elle adore les gâteaux râtésbrulés. J'ai sorti mon exploit sur la table. Sachons avaler l'échec jusqu'à la lie. :mrgreen:
"Le GOÛT est très bon", m'a t'on dit et on n'avait pas l'air de se fiche de moi.
Et surtout, cela nous a permis de nous remémorer la soupe au pistou désormais légendaire. :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
Un jour, il faudra que j'écrive un recueil d'épisodes cuisiniers catastrophiques ou/et franchement hilarant.
Après le repas, pendant que mon fils nous jouait du Brassens à la guitare, échanges de graines, visite des jardins et plants et boutures pour nos deux jardinières en goguette.
Smack smack, au revoir et on se promet des retrouvailles en pleine saison, quelque part.
Aussi braves gens, oyez, oyez, si vous habitez par ici ou pas trop loin (région de Valence), ou loin mais motivés, faites vous connaître.
Je prie déjà Saint Ratage, au cas où ça se fasse chez moi.
Et donc:
Virée de jardinières (mis aussi sur jardinage en mars)
Donc , mardi, Xeela (qui devait récupérer des semences de pdeterre et d'échalotes de Jardin'enVie - "J'ai commandé TOUT ÇA ??? Mais je suis folle!"- )
et Breegeette - que je m'évertuais à appeler Béatrice, et va savoir pourquoi - ont débarqué chez moi
et aussi Modesteene et Mr.Il faut savoir que Modestine n'est jamais effrayée pour lever la patte dans l'instant, avec la chance d' un Mr Mod prêt à l'accompagner au bout du monde.
Plus mes fils/belle-fille/petite fille et ce fut encore une belle tablée. J'avais fait un cocido espagnol très plumeesé, une salade sauvage et une crème renversée au caramel + un gâteau façon baptême de Floradiane. J'entends rire d'ici ceux qui sont au parfum… :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: pour les autres dont Brigitte, allez voir sur le topic "Baptême rosier Floradiane", au 19 septembre (si je n'ai pas bouffé la date en arrivant ici.
Donc, je démarre un gâteau, recette Clea, à l'orange et aux épices provençales de Xyla, un mix qu'elle utilise pour le salé mais qui m'avait fait un moëlleux, goût pain d'épices délicieux.
Au moment de monter les blancs, je m'aperçois que mon four est occupé par ma crème renversée qui en a encore pour un moment. :o Horreur et damnation! La levure chimique est déjà dans la pâte, donc, je devrais enfourner dès les blancs montés mais le four est à 150°, trop bas pour elle. Je fonce chez Plumix, mon voisin, branche son petit four, revient au pas de charge pour être prise dans un dilemne: monter les blancs de suite et enfourner mais le four ne sera pas assez chaud (lui non plus) ou attendre un peu et la levure risque bien de n'être plus qu'un souvenir dans ma pâte. Je transige. Résultat, j'enfourne dans un four qui me semble pas vraiment à la hauteur :? . Je craignais le pire, ce fut le pire. :( :( :( D'autant plus que j'avais un peu loupé le temps de fin de cuisson. Speedy Plumee se préceepeete. Cata: le gâteau est raplapla, lourd, genre disque pour sportif et bien cuit. Trop cuit, enfin, quoi, disons le tout net: brûlé.
Quand j'en cause, Modestine déclare qu'elle adore les gâteaux râtésbrulés. J'ai sorti mon exploit sur la table. Sachons avaler l'échec jusqu'à la lie. :mrgreen:
"Le GOÛT est très bon", m'a t'on dit et on n'avait pas l'air de se fiche de moi.
Et surtout, cela nous a permis de nous remémorer la soupe au pistou désormais légendaire. :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
Un jour, il faudra que j'écrive un recueil d'épisodes cuisiniers catastrophiques ou/et franchement hilarant.
Après le repas, pendant que mon fils nous jouait du Brassens à la guitare, échanges de graines, visite des jardins et plants et boutures pour nos deux jardinières en goguette.
Smack smack, au revoir et on se promet des retrouvailles en pleine saison, quelque part.
Aussi braves gens, oyez, oyez, si vous habitez par ici ou pas trop loin (région de Valence), ou loin mais motivés, faites vous connaître.
Je prie déjà Saint Ratage, au cas où ça se fasse chez moi.