ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

J’ai vidé, renversé ce broyât « composté sans air », l’odeur n’est pas agréable, la couleur brun moyen. Qu’en faire ? Puis-je le verser dans mon composteur avec le compost en cours sans gâcher tout mon travail ?

Pas de substances non recommandables là-dedans… donc, je ferai.

le faire sécher et le mettre en paillage....ou alors, poubelle !

Tu as fait du purin de broyât. :?

le faire sécher et le mettre en paillage....ou alors, poubelle !

M'enfin, Claude, qu'est-ce que tu as contre ce produit végétal?
Poubelle? :shock:

Plume,

Tu ne te tromperais-pas d?interlocuteur ?

Il me semble, dame plumeuse, que cette remarque est destinée à Marc lequel est l’ auteur de la citation.

Dans le lit d’un cours d’eau, pousse une foule de petits arbres. Certains sont visiblement les rameaux de tronçons de saules ou de peupliers échoués, plus ou moins enterrés ou ensablés qui ont développé des racines. Il s’agit de grosses boutures réussies donc.

:mrgreen:

Il m’arrive d’être là main verte, le jardinier de ces jeunes arbres, et de les élaguer de leurs jeunes et prolifiques branchettes du bas.

Peupliers et saules se développant en « cépėe » et ont naturellement l’aspect d’une boule fort jolie au demeurant, je favorise l’apparition d’un futur tronc en réduisant le nombre de départs venant de la souche pour favoriser la tige la plus épaisse et verticale dont j’éclaircis le bas. Sachant qu’une crue fera moins de dégâts si la prise au flux d’eau est moindre.

Je ne sais pas ce qu’un pro aurait à redire à ces mesures. Et vous ?

:?:

Avant :

Après : Quant aux tailles, je sais quoi en faire.

Plume.

Moi, mettre du compost même =« raté »= à la poubelle !? Nonmêçavapas !

Gamin, je suivais mon oncle, véritable agriculteur, partir avec une serpe et une barre à mine...en vélo, il allait dans des prés, près de la rivière, coupait et épointait à la serpe de longs rejets de peupliers puis, de loin en loin, faisait de profonds trous avec sa barre à mine et enfonçait le rejet épointé, c'est tout, le peuplier démarrait le plus souvent au printemps suivant....
Ce que tu décris Claude, je le vois couramment sur les bords de Loire ou du Cher. Au gré des crues, des années sèches, les bancs de sable (très dangereux) se déplacent ou s'immobilisent parfois plusieurs années, entraînant des branches ou carrément des arbres entiers qui se calent sur le fond et, les alluvions et le sable s'accumulant, les arbres, la plupart du temps des saules, des aulnes ou des frênes s’enracinent et poussent très vite....Finalement, le tout forme une île....qui peut être arrachée quelques années plus tard. Ou non. Certaines îles subsistent grâce aux arbres depuis plusieurs décennies, d'autres ont modelé le cours du fleuve et restent là depuis plusieurs siècles....

Légalement, je ne suis probablement pas dans les clous mais je m’en fiche un peu. Je suis peut-être dans le domaine public. Lequel semble laissé à lui-même. Et j’y jardine à ma façon. Avec parfois le bénéfice de matière à pailler……

Sur un petit terrain libéré par un nouveau tracé de route, j’avais planté un noisetier (réussi) et fait des tentatives de plantation de jeunes chênes (ratées bien sûr) puis —avec obstination— de glands dont le dernier pousse bellement (Score : 1-0). Je suis nettement moins fort que le héros de Giono (Score : 1—100 000).

Voilà pour ma main verte. :mrgreen: il m’arrive également de planter des tronçons ……

:arrow:

Contre l'incendie, ici, on nous demande des espaces conséquents entre les arbres (3 m entre leurs houppiers)
et la taille des branches basses (jusqu’à 2 mètres de hauteur), et des débroussaillements.
Seule concession : des bosquets de 15 m. de diamètre ! :oops:

Ces recommandations, j’ai du mal à les comprendre vu que les schémas sont faits sur terrain plat. :lol: :lol: :lol:

Autrefois il n'y avait pas des chèvres qui broutaient dans la garrigue ??? Ceux qui pondent de telles mesures devraient relire Manon des sources !!!

Je broie beaucoup en ce moment avec mes 2 broyeurs à 100 euros dont j’apprécie la petitesse des fragments, la finesse du broyât (propre aux broyeurs à disque rotatif équipé de couteaux et prévus pour des tailles fraîches). Dans attente d’une commande de 8 lames neuves (le prix à encore augmenté). Bon, j’ai fait qq progrès en matière d’affûtage mais il vaut mieux ne pas trop compter dessus. ;)

Traditionnellement, chez moi le broyât devenait compost. Actuellement, je m’en sers de paillis pour recouvrir le sol de mes coins potager. Je me demande si d’autres paillent avec du broyât !
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:?:

Chez moi, le broyat est stocké dans un petit abri ouvert pour la litière des toilettes.
Il m'arrive rarement d'en épandre ailleurs mais ça peut, par exemple dans une jardinière.
Ailleurs, je préfère mettre des "mauvaises herbes" de désherbage.

Cette année, tout mon broyat sera utilisé pour de futures planches de fraisiers. Je l'ai épandu et arrosé avec du purin d'ortie presque pur. Effet désherbant assuré, sauf pour le liseron et la potentille rampante. En automne, s'il pleut (!), je grelinerai pour les extraire au mieux.....

Je me demande si d’autres paillent avec du broyât !

J'ai dit mille fois que je ne m'en servais que pour "pailler" et je ne suis pas la seule.

D'ailleurs il faut composter le broyat pour qu'il devienne "engrais", tu le sais bien, Claude. On parle de ça depuis des années.

MM, j’oublie vite et bcp de choses. Alors pardonne.

Conseils pratiques.

Avec chaque petit broyeur électrique bas de gamme à disque rotatif équipé de couteaux,
est livré un « poussoir » en plastique dont je n’ai jamais trouvé un usage pertinent.
Je préfère avoir une gamme de tronçons de branche avec des formes diverses
pour pousser le végétal à broyer. Certains sont irréguliers, bosselés pour mieux accrocher.
Parfois un tronçon terminé par un depart de fourche
ou un tronçon creux de canne de Provence font très bien l’affaire.
On s’ adapte au végétal que l’on broie.
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[attachment=2]C89C72B6-42E1-43F2-B2AD-436D94E10C11.jpeg[/attachment]
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Quand des feuilles arrivent ã ressortir intactes, l’on peut enfoncer le rameau
en lui appliquant des rotations reguliēres. C’est souvent le cas avec de la canne de Provence,
du saule ou du genêt. Les feuilles ressortent en petits bouts.
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[attachment=1]7C556AFB-FD6A-47AF-B743-ABC51672A899.jpeg[/attachment]
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L’on a intérêt à ajouter une poignée de terre et de terreau de temps en temps.
Quand la sécheresse sévit, j’arrose le broyât dans sa gamète avec 1 litre ou 2 d’eau …
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"J’arrose le broyât dans sa => gamète"

Et tu fais quoi avec une gamate ? :lol:

des bêtises !

Merdum!

J’ai voulu ce matin corrigé une coquille qui m’avait échappée hier soir,

en rajoutant de la « balise » ———> s’adapte s’adapte

……… cela a tout perturbé,

les photos qui étaient heureusement intercalées au bon endroit dans le texte

ont filé en fin de texte.

Marc et Chichi peuvent (seuls ?) s’en rendre compte.

Marc et Chichi peuvent (seuls ?) s’en rendre compte.

Moi, je n'ai vu que la "gamète" :lol: , mais comme le mot "gamate" était long à monter jusqu'au cerveau, je n'ai pas réagi de suite.

Et c'est quoi donc une gamète/gamate ?

les gamètes sont des cellules reproductrices, mâle ou femelle....une gamate est une auge, une vieille marmite, servant à faire le mélange, dans le cas de l'auge c'est du ciment...

ok, merci pour la gamate, je ne connaissais pas.

On emploie aussi le mot "gamate", à la place de "gamelle", sans doute pour signifier que la nourriture servie
a tout l'allure d'un ciment. :lol:

Çause compost chez les "Chats et autres animaux poilus" !!!

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