Nos sols et nous

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plumee
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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 28 juin 2020, 16:47

Notre Dame d'en Haut paille avec de la paillette de chanvre et non de lin, ainsi que je l'ai dit dans mon Jardingo.
En dehors du fait que c'est facile à utiliser et que "ça fait propre", si vous l'utilisez, qu'avez-vous trouvé comme avantages
et comme inconvénients?
En dehors du fait qu'il est signalé comme cher.
Merci.

Marc
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Re: Nos sols et nous

Message par Marc » 28 juin 2020, 17:04

plumee a écrit :
28 juin 2020, 16:47
En dehors du fait qu'il est signalé comme cher.
Merci.
Le paillage ne devrait pas coûter ...
Le meilleur paillage que je connaisse c'est de la fougère sèche broyée. Parce qu'en même temps que cela protège le sol, il enrichit celui-ci en engrais naturels.
J'en trouve parfois (il faut le temps d'y aller) en hiver (elle est sèche) et la ramasser en bordure des chemins forestiers, mais pas ailleurs.

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Re: Nos sols et nous

Message par Plumix » 28 juin 2020, 17:41

Qu'il soit bien clair qu'ici la paillette de chanvre est utilisée pour pailler, et non pour fumer! (au sens de fumure, bien sûr, amis jardiniers!) :lol:

Claude
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Re: Nos sols et nous

Message par Claude » 28 juin 2020, 19:17

Merci, il fallait le dire.

.

:lol:

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 28 juin 2020, 19:47

Le paillage ne devrait pas coûter ...
Le meilleur paillage que je connaisse c'est de la fougère sèche broyée. Parce qu'en même temps que cela protège le sol, il enrichit celui-ci en engrais naturels.
J'en trouve parfois (il faut le temps d'y aller) en hiver (elle est sèche) et la ramasser en bordure des chemins forestiers, mais pas ailleurs.
Entièrement d'accord avec toi sur le paillage qui ne doit pas coûter.
Mais il est vrai que le terrain de la Dame est tellement pauvre qu'il y a rarement de l'herbe valable pour le paillage.
La fougère? Je n'en ai jamais vu par ici.
Et puis, s'il faut faire des km en voiture pour aller en chercher… hein.

Ma Dame d'en Haut, qui habite à la campagne, mange bio et pense avoir une certaine conscience écologique,l
emmène ses cendres de bois à la déchett'… :shock:
Elle faisait de même avec ses herbes indésirables jusqu'à ce que je m'en aperçoive, le manifeste :o :o :o
et lui parle de compostage.
Mais depuis, je ne vois aucun tas de compost chez elle (ça ne doit pas faire propre…), ni d'épluchures déposées sur le sol…
Par contre, j'ai vu des ronces débroussaillées par un pro, entassées dans des grands sacs, très certainement pour partir
à la déchett'.
Ma voisine, elle, brûle…Tiens! Je me demande ce qu'elle fait de ses déchets de cuisine…?

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Re: Nos sols et nous

Message par Claude » 29 juin 2020, 00:24

Je parle souvent de compostage à des quidams. C’est désespérant. C’est comme postillonner sur un violoncelle. l faudrait peut-être une campagne publicitaire …… comme la rengaine télévisée sur les précautions à prendre en période coronavirienne.

.

Il faudrait que les écoles utilisent un composteur et apprennent le compostage aux élèves. Ça devrait être au programme. Encore faudrait-il que toutes les écoles aient vraiment de la place.

.

Je ne suis pas d’accord avec toi quand tu rejettes l’idée de se procurer et de transporter de la matière à composter venue d’ailleurs. Je l’ai fait, je le fais encore à l’occasion d’une sortie. Comme certains ramènent de leur promenade en forêt un sac de pommes de pin pour le feu ou qq bouts de bois pour le feu, mon coffre contient souvent un fagot de branchettes à broyer ou un sac de feuilles mortes que mes promenades m"ont offert. Sauf si tu ne te promènes jamais bien sûr.

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Re: Nos sols et nous

Message par Marc » 29 juin 2020, 10:00

Plumee, tu devrais proposer à tes voisins de récupérer les déchets verts pour le composter chez toi....et vois leur réaction...
Lorsque je parle de paillage, il n'agit pas seulement de ça, il faut considérer que c'est aussi une méthode d'apport, les insectes et la pédofaune se chargent de tout transformer et de l'incorporer en moins d'une saison.
Les mauvaises herbes, dès lors qu'elles n'ont pas encore grainé, peuvent être compostées ou être laissées sur le sol.

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Re: Nos sols et nous

Message par Claude » 29 juin 2020, 10:19

Oui demande leur leurs sacs de déchets végétaux à jeter. C’est sans doute la meilleure façon de faire comprendre »entre les lignes » l’intérêt du compostage.

Je suis l’abonné d’une dame du voisinage pour ses tailles et sacs d’herbes (je prends tout même avec graines). Toujours en gros sacs. Et si ça marche bien pour mon compostage, l’exemple que j’espère donner, dans son cas n’est pas payant puisqu’elle se trouve trop vieille (?) pour ce travail dit-elle, ou plutôt, pensè-je pour changer d’habitudes. Ah ! Les habitudes et la routine !!!

Il m’est arrivée de ramener 400/500 litres de végétaux dans mon kangourou.

.

Mon sol comprenant beaucoup de sable, j’ai lutté contre le drainage excessif en incorporant de l’argile.
.
;)

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Re: Nos sols et nous

Message par Marc » 29 juin 2020, 11:18

Oui, tout est pratiquement compostable dans les végétaux. L'humification est le fondement d'un bon sol, elle retient l'eau et évite le lessivage entraînant les éléments nutritifs dans les écoulements pluviaux.

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 20 juil. 2020, 10:44

Oui, je sais, Chichinette, c'est le troisième endroit où je mets ça, mais je cherche à ce que le maximum
de copains entendent ça:
https://www.franceinter.fr/emissions/l-ete-comme-jamais
sur "faire son potager en paresseux.

où j'ai entendu Didier Helmstettler, avec qui j'ai un peu correspondu l'an dernier.
Un ingénieur agronome fauché dans la cinquantaine par un grave infarctus et qui a trouvé moyen
de continuer à potager en déroulant (faisant dérouler) sur une prairie brute de grosses balles de foin.
Emission très sympa où j'ai encore appris plein de choses fondamentales et pratiques.
Je vous conseille.

(CLD ;) )

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 03 août 2020, 18:26

Dans le dernier livre de Didier Helmstetter, que je viens de commencer

https://www.jardins-ici-on-seme.fr/post ... 58#preview

j'ai appris l'importance notamment des gros vers de terre (anéciques) sur la fertilité du sol.
Ce sont ceux qui bossent verticalement.
Le jour, ils sont dans les profondeurs, là où il ne fait que 12° et où il fait bien humide.
La nuit, ils remontent en surface pour manger…de l'herbe et en profitent pour lâcher
leurs cacas (les tortillons dits turricules), qui enrichissent le sol (minéraux + azote).
En circulant, ils aèrent le sol et permettent aux pluies de s'infiltrer profondément.

Je comprends maintenant pourquoi le pré (qui est de nature plutôt pauvre) était caffi de turricules
après les grosses pluies d'automne mais pas nos potagers: ces bébêtes avaient tout simplement là de quoi manger!
En paillant à la paille depuis des années, allées comprises, j'avais considérablement réduit le magasin
de légumes versicole.
Et donc, je comprends pourquoi le sol se compactait de plus en plus, même en étant couvert.
Sans savoir tout ça, mais sur les propos d'un jeune permaculteur qui m'avait dit que la paille
n'était pas l'idéal car trop de carbone, j'avais enlevé toute la paille (sauf autour des fraisiers pour que les fraises restent propres) et l'avait remplacée par du foin dont je remarque que la couche diminue vite.
Il y en a qui doivent s'en mettre plein la panse en se rattrapant de la disette!

J'attends donc la suite et en attendant, je réfléchis grave à la reprise en main de ma manière
de traiter mon sol.

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Re: Nos sols et nous

Message par Claude » 03 août 2020, 21:21

Les mots paillis et pailler sont de la même famille que paille. Mais il y a souvent des disputes, des dissensus dans les meilleures familles.
Paillons sans paille !
Pour commencer, les « mauvaises herbes » dans les allées.

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 05 août 2020, 15:14

Paillons sans paille !
Pour commencer, les « mauvaises herbes » dans les allées.
Heu… tu veux dire: "Laissons les mauvaises herbes dans les allées?"?

Depuis des années, je regardais déjà les "mauvaises herbes" comme des "indésirables" à cet endroit là
mais je nettoyais mes allées + carton + paille ou sciure.
Maintenant, la Plume a la Flemme. Donc, je laisse.
Dont du chiendent qui veut absolument s'immiscer dans les parcelles de culture.
Mais il est vrai qu'avec ces temps hyper secs, je me disais qu'il valait mieux du chiendent que du tout nu.
Si en plus, ça donne à manger aux gros verts des profondeurs, nos alliés de la fertilité,
hein…?
Depuis que j'ai commencé à lire l'Alsacien sur foin, même lui (le chiendent des allées), je le regarde d'un autre œil.

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Re: Nos sols et nous

Message par Marie_May » 05 août 2020, 19:16

Oui, mais non, pas trop. Le chiendent, comme le liseron, sont des perfides envahisseurs. Chez moi c'est plutôt le liseron (ça vous étonne, hein ?...) qui aurait tendance à s'étaler dans les allées. Mais si on le laisse là, il se glisse illico sur les planches de culture ; et j'aime mieux l'herbe, au moins elle ne va pas gêner les cultures aussi vite. Alors zou ! j'extirpe (ce que je peux, parce que pour extirper tout le liseron, il faut vraiment se lever tôt avec les racines qu'il a.)

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Re: Nos sols et nous

Message par Claude » 05 août 2020, 19:36

J’avais mal formulé.
Je pensais que les adventisssses soient arrachėes avant de les laisser sur place !

Quant aux gros vers des profondeurs, ce sont des vers verts, de beaux et bons agents de fertilité.

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Re: Nos sols et nous

Message par Marie_May » 05 août 2020, 19:49

Oui, on arrache et on laisse sur place - à condition qu'il n'y ait pas de graines. Ça garde la terre au frais. Et les gros vers, comme les petits d'ailleurs, aiment bien le frais et les racines de chiendent et de liserons, et leurs feuilles quand elles trainent sur le sol.

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 05 août 2020, 20:01

Une petite idée du bonhomme et de sa pratique

https://www.potagermagazine.com/chaine- ... lmstetter/

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 06 août 2020, 14:20

Ceci est un doublon avec mon jardingo, suite à question de Patricia.

Dans Le potager du paresseux, Didier Hemstetter, célèbre jardinier sur Youtube, propose une méthode de jardinage peu orthodoxe. Très intéressant, ce livre n'est pourtant pas à mettre entre toutes les mains et nécessite un minimum de paresse. Découvrez dans quels cas sa lecture est recommandée !

Les livres sur le jardinage ne manquent pas ! Pas plus que les méthodes…

Le potager du paresseux tente de rendre compte d’une expérience personnelle : celle de produire, de manière très simple, quoique peu orthodoxe, des légumes de qualité « plus que bio AB », sans aucun travail du sol, sans engrais, sans compost, sans pesticides et sans buttes. En un mot : des légumes de qualité, en quantité appréciable, mais avec un minimum d’efforts. Un strict minimum même ! Il a pour ambition, accessoirement, d’aider son lecteur à y voir un peu plus clair dans la jungle des méthodes, dont certaines peuvent vous laisser perplexes. Parfois, à juste titre.

Ce livre vous sera utile dans les cas suivants :

si vous craignez que jardiner devienne une corvée
si vos activités ne vous laissent guère de temps libre pour un tel loisir
si vous n’avez plus la force physique pour effectuer certains travaux
si vous pensez que, comme loisir, il y a plus épanouissant, plus rigolo, plus instructif que bêcher, biner, piocher, désherber… pour, peu de temps après, tout recommencer !
si vous espérez récolter des légumes et des fruits frais en abondance
si vous exigez des légumes sains, produits sans engrais et sans pesticides et que vous voulez les produire vous-même pour être sûr de leur qualité
si vous avez envie de les croquer à pleines dents et si vous voulez retrouver le vrai goût des produits dans vos assiettes
si vous ne voulez pas investir dans de l’outillage et des motoculteurs coûteux sans être sûr de les utiliser longtemps
si vous avez déjà tenté une expérience de jardinage mais qu’elle a vite tourné court
si vous souhaitez vraiment « faire quelque chose » concrètement, à votre niveau, pour la planète, contre le réchauffement climatique
si vous avez envie de faire plaisir en invitant vos proches à partager un repas goûteux (et non pas coûteux !)
si vous pensez qu’il est important que vos enfants sachent comment il est possible de produire une partie de sa nourriture en respectant l’environnement, en contribuant au maintien de la biodiversité…
s’il vous arrive d’imaginer que votre jardin puisse être une terre d’aventure, de découverte, de réflexion, de questionnement, de contemplation, voire de méditation… bref, de pur plaisir, grâce notamment à l’usage intensif du transat que vous y ferez
si vous avez envie de comprendre comment fonctionne votre potager, ce qui s’y passe vraiment, plutôt que d’admettre religieusement ce que raconte tel gourou, ce que prône telle méthode, ce que dit tel guide…

Dans tous ces cas, vous devriez jeter un coup d’œil sur cet ouvrage, pour voir si cette méthode vous parle.

En revanche la lecture de ce livre est déconseillée dans les cas suivants :

si vous êtes convaincu qu’on n’a rien sans rien (donc sans effort, sans sueur, bref, sans souffrance)
si vous pensez qu’il est plus sage de ne rien changer et de continuer « à faire comme les anciens ont toujours fait », « comme vous ont appris vos aïeux », comme le veut la tradition
si votre fierté, votre honneur, c’est que votre terre soit toujours propre, et que vous pensez que c’est ce qui vous vaut l’admiration des autres jardiniers
si vous craignez ce que pensent vos voisins de chacun de vos gestes
si vous êtes toujours convaincu que ce qu’il est convenu d’appeler le progrès passe par de nouveaux pesticides, par toujours plus d’engrais, et que, sans cela, point de salut
si vous faites une confiance aveugle et illimitée aux experts, aux spécialistes, aux ingénieurs
si innover, faire autrement ou essayer n’est vraiment pas votre truc ; voire si, sans vos vieilles habitudes, vous êtes stressé
si avoir du temps rien que pour vous, sans obligations, cela vous effraie…
si votre jardin, c’est finalement avant tout pour vous occuper le corps et l’esprit, pour vous muscler, pour ne pas avoir à réfléchir, pour vous défouler peut-être…

Dans ces cas, et peut-être dans quelques autres, ne vous énervez pas pour rien. Ce n’est pas bon pour votre santé. Evitez de le lire !


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Re: Nos sols et nous

Message par jluc » 07 août 2020, 11:55

J'ai très vite fait mon choix ;)

Marie_May
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Re: Nos sols et nous

Message par Marie_May » 07 août 2020, 23:36

Un cas supplémentaire : si on a l'impression que c'est une pub de plus pour un livre de plus.

plumee
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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 17 août 2020, 07:50

Chez moi, avec les adventices selon le Didier H.

https://www.jardins-ici-on-seme.fr/view ... 33#p109233
Un cas supplémentaire : si on a l'impression que c'est une pub de plus pour un livre de plus.
Tu avais raison, MMay, c'était une pub piquée sur internet et non ma prose.
Oublié de le signaler. Scusa me.

Claude
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Re: Nos sols et nous

Message par Claude » 17 août 2020, 09:30

Comment faire pour que le lecteur sache que JE CITE QQ CHOSE ?


Une solution est de penser à activer le bouton « CITATION ».


Maintenant j’explique ………





Attention, j’écris en ce moment même, et je vais cliquer sur le QUATRIÈME BOUTON
puis glisser au milieu
un copié/collé.

.
.
.
.
Une solution est de penser à activer le bouton « CITATION ».
Voilà c’est fait, le lecteur saura que ce n’est pas MA PROSE.


Le 4° est juste après B et I et U ……… voilà :
3D44D869-3D07-48F8-9FB4-62A5B35DD450.jpeg
(53.48 Kio) Téléchargé 218 fois

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Re: Nos sols et nous

Message par Chichinette 11 » 17 août 2020, 19:08


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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 18 août 2020, 10:07

Merci Claude de ta sollicitude.
J' utilise ton processus depuis toujours pour citer une phrase du forum à laquelle je réponds.
Sinon, je trouve bien plus simple d'écrire tout bêtement le nom de la source, titre du livre ou film ou autre.

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Re: Nos sols et nous

Message par plumee » 21 août 2020, 16:38

L'humeur de la Plume ce matin et sa réflexion au sujet des gros vers de terre si importants pour le sol.

https://www.jardins-ici-on-seme.fr/post ... &f=7&t=109

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