ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

pardon, son praince!

Ce qui est bien connu, les contes traditionnels l'attestent, quand la toute belle jeune fille embrasse un crapaud ou une grenouille sur le bec, aussitôt, le batracien se transforme en prince charmant puis ils se marient et font une flopée de petits têtards.
Mais comme il y a toujours un mais, à cause des dérèglements climatiques produits par l’élévation des températures, plus rien ne se passe comme avant, quand c’était mieux, et la belle jeune fille s’est aussitôt transformée en batracien. Non seulement elle est devenue grenouille mais elle a changé de genre. De ce fait, le regard énamouré des deux prétendants s’est mué en indifférence. Voici comme se terminent désormais les histoires de baguette magique à l’heure de jourd’hui.

coucou

Ben…? J'ai ENCORE pas envoyé? :roll:

Bref, j'adore les musaraignes et je suis navrée quand j'en découvre une tuée par un de mes chats, alors qu'ils ne les mangent
pas.

Claude a écrit : ↑

25 mars 2023, 22:03

Non seulement elle est devenue grenouille mais elle a changé de genre.

rigoles pas claude, mais les changements de T° ont aussi cet effet là sur certaines populations de poissons et de batraciens!

https://duckduckgo.com/?q=temp%C3%A9rat ... 5-1&ia=web

J’avais bien ces changements là coincés dans un des cagibis de ma mémoire.

Ajoutes-y les transformations induites par l’absence d’un genre dans une population de (çertains) animaux, histoire decrééquilibrer les choses . Me rappelle plus lesquels.

crois en moi, je suis pour tous les genres L,G,B,T,Q, et tutti quanti..

plus il y en a plus il y a de fun!

Qu’est-ce qu’il est propre !

Qu’est-ce qu’il est propre !

Passé au Miror tous les matins.

de la son regard courroucé

On aperçoit souvent ce genre de transport d’oliviers séculaires dans notre Sud.
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Une photo qui me met en rogne. :evil:

ce sont souvent nos voisins méridionaux de droite et de gauche, transalpins et trans pyrénéens, qui se débarrassent de leurs arbres ancestraux mais peu adaptés et rentables pour une agriculture industrielle et extensive, et ce pour "un pognon de dingue" comme dirait manu pas rêva!
comme dirait un ancien philosophe, "il suffirait qu'on n'achète pas pour que ça ne se vende pas"!

Si les proprio voulaient seulement s'en débarrasser, pourquoi simplement, ne les coupent-ils pas?
Et ensuite, arrachent les souches?
C'est sûr que les vendre entiers, c'est plus simple et ça coûte moins pour eux en travail et en énergie.

plumee a écrit : ↑

29 mars 2023, 18:03

Si les proprio voulaient seulement s'en débarrasser, pourquoi simplement, ne les coupent-ils pas?
Et ensuite, arrachent les souches?
C'est sûr que les vendre entiers, c'est plus simple et ça coûte moins pour eux en travail et en énergie.

mais pourquoi les abattre si tu peux les vendre? un tout petit =500 €, un plus gros, 999 €

Je prends des risques. Quand j’ai vu ce camion rouler devant moi, j’ai accéléré pour pouvoir le dépasser, prendre du champ, m’arrêter, me poster sur un rond-point. Tout ça pour alimenter notre conversation. Rire !

Heu……………………ça me laisse muette. :lol:

claude, tu as réussi, tu lui as cloué le bec!

claude, tu as réussi, tu lui as cloué le bec!

:shock: :evil: :lol:

Photographier les formes et les teintes des nuages m’intéresse toujours autant tant me démange ce besoin de saisir et de m’approprier un instant, une beauté fugace, et le sentiment qu’ils ont vu naître. Vous vous déplacez, votre regard est happé par une découverte mais quelque chose gâche la rencontre, des éléments étrangers s’imposent dans le cadre de votre viseur. C’est incroyable la quantité de panneaux, de poteaux, de câbles, de goudron ou de béton qui viennent soudain gâcher un spectacle. Pas besoin d’éoliennes ou de moulin à vent pour connaître cette contrariété. Une simple ligne téléphonique devient comme une verrue sur un joli nez. Ces artefacts, normalement, vous ne les percevez pas, ils sont notre quotidien, notre environnement. Vous ne les voyez qu’au moment d’une rencontre particulière quand leur présence devient gênante pour votre photographie.

Alors on avance ou l’on recule, on cherche un meilleur belvédère (quel joli mot pour désigner le point dépourvu d’ édifices humains) et parfois quand on a enfin trouvé le meilleur endroit, les nuages ont mué, le spectacle a évolué. On le trouve dégradé. Et l’on hésite. L’image vaut-elle encore le coup ?

C’est un peu le cas de mon image de nuées colorées par le coucher de soleil du 3 avril aux portes de Manosque. Nous roulions, nous quittions la ville. Ce qui avait attiré mon regard en direction de l’Est c’est qu’ au milieu de nuages colorés qui accompagnent la disparition du soleil j’ai aperçu un grand bout de nuage blanc, d’un blanc pur et plus lumineux que les autres, preuve qu’il naviguait à une altitude nettement supérieure à celle des nuages en demi-teintes de bleus et de gris.
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Quand j’ai pu le débarrasser des dizaines de poteaux et panneaux, un ou deux kilomètres plus loin, le nuage blanc avait rapetissé !

Plus loin, plus tard le regard dirigé vers l’Ouest.
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Mon griottier ce matin.
Encore une "belle" journée qui s'annonce.