ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

3 ans environ.

J'aime bien que Claude vienne parler de ses soucis de santé dans le sujet "chats et autres amis poilus", ça prouve sa grande humilité et ça doit aussi être bon pour son moral.

:lol: Pour préparer ce genre d’intervention, il était nécessaire notamment de s’épiler là où certaines disent qu’elles se font ou se font faire le maillot. Les imprimés de l’hosto ne parlaient pas de maillot mais de short. Restons précis. :mrgreen: Donc je me suis taillé un short.

Dois-je préciser que j’ai utilisé pour la première fois en 71 ans une crème dépilatoire dans mon jardin personnel. Quelle bizarre sensation que de toucher et de rencontrer une peau de grenouille.
.
Tu vois MM cette ‘aventure’ ne dépare pas dans un topic appelé ‘Chats et autres amis .... poilus’. :lol: :lol: :lol:

:lol: :lol: :lol: :lol:

:lol: Et puis bon pour une femme, tout le monde sait comment s'appelle cette partie de notre anatomie ? alors pas de raison de ne pas adapter la situation à une version masculine.

L'ai un doute là ! tu t'es vraiment épilé ? parce que le crème dépilatoire c'est pas vraiment une épilation :geek:
Essaie une vraie épilation, tu nous raconteras la différence 8-)

La crème des épilations, c'est celle que font les Arabes sous les aisselles.
L'année où j'étais en Tunisie, une voisine était choquée parce que (à l'époque) je gardais un joli minou bien noir
sous les bras.
Elle m'a dit:" Tu veux je te fais le sucre?".
Sachant que les femmes se fabriquent un caramel épilatoire au miel et au citron.
On fait une boule (refroidie, je vous rassure!) qu'on étale sur la zone et qui arrache les poils quand on tire dessus.
On refait la boule et on refait l'opération. Quand la boule est réussie, c'est facile et ça laisse la peau toute douce.
A la fin, la boule est franchement dégueu car bien empoilée. :lol:
Donc, ma voisine attaque une aisselle. Elle n'a jamais pu faire l'autre tellement c'est hyper sensible là-dessous
et que ça fait un mal de chien atroce et pourtant, je n'ai jamais été chochotte.
A côté de ça, les jambes, c'est un régal. :lol: c'est dire!

Super, dame Plume, on reste bien dans les clous, je veux dire en rapport avec le topic sur les amis poilus.

:lol: :lol: :lol: :lol:
...j’ai failli réveiller monz’homme dormant à côté, avec vos histoires de poils ....tellement j’ai ri !!!
Cette après midi, nous nous sommes retrouvés sur une ...plage pleine de gens « à poil « ...sans beaucoup de poils !!!! :lol: :lol: :roll: :roll:

Quand je pense que des histoires de plumes, de dames poules ou de demoiselles poulettes se sont égarées dans ce topic réservé aux poilus de toutes sortes !

Quoi? Nous sommes bien des amis poilus, non? :P

:D

Grande nouvelle! Notre Loki, vieux chat récemment adopté, n'est pas un chat, mais un chien.
Qui veut bien se promener…avec nous.
Bon, d'accord, nous pensons qu'il se sent peut-être plus en sécurité, de peur de rencontrer notre noiraud Coyote,
vu leur étripage du début.
Pourtant, quand il était en transit chez le véto, il n'y avait pas de Coyote et il ne sortait que pendant le repas
des employés sur la terrasse…
Donc, maintenant, je promène le chien, puis je le rentre et promène le chat.
Ça m'occupe… :mrgreen: :lol:

Ce n'est pas rare du tout qu'un chat accompagne ses maîtres durant leur balade quotidienne. Ma Dora faisait des kilomètres avec nous. Et j'en ai connu plusieurs autres qui allaient promener des copains...

.Gatto reste souvent avec moi quand je fais le tour de la maison, le tour du proprio,
pour vider le bac d'épluchures, pour voir si un sanglier a laissé des traces et pour zyeuter de près les oliviers, etc.

Je sais, j'en ai eu aussi mais ils sortaient aussi tout seuls. Celui-ci ne sort qu'accompagné.

Comment donc le sais-tu ? :lol:

Heu…oui…parce que nous ne l'avons jamais vu sortir seul. Ni quand la porte était ouverte, ni par la chatière.
Je veux dire que nous ne l'avons jamais vu dehors sans l'avoir vu sortir.
Soit il est derrière la portière à mouches: il nous entend arriver, il miaule et on doit l'appeler pour qu'il sorte.
Soit il est au fond de la maison: si on veut le faire sortir, on doit l'appeler vers la porte ou de dehors
et il se décide alors à sortir.
Quand il est dehors, s'il ne nous voit plus, il miaule!
Par contre, il sait rentrer tout seul, quand il prend la frousse pour un bruit. :lol:

De l'art des enfants et des animaux de nous faire mentir…

Ce matin, Loki a piaffé derrière la porte, alors qu'il faisait encore nuit et il a foncé dehors
où il est resté un grand moment.
Et toc. :lol:

Au moins tu ne nous caches rien.... :lol: :lol:

J'adore les histoires, celles qu'on me raconte et celles que je raconte, avec tout plein beaucoup infiniment de détails. :lol:

Et pour continuer, ce matin, Monsieur a fait pareil.
Faut croire que c'est un lent, très lent, très très lent, à prendre des habitudes.
Ce que je trouve curieux et rigolo: quand on l'accompagne dans sa promenade explorative,
il miaule presque tout du long… :?:
D'inquiétude ou bien? On sait pas mais on n'a jamais vu ça.
Notre Pépère, pourtant vieux et adopté lui aussi, ne faisait pas ça.
Faut dire qu'il était arrivé tout seul et qu'il connaissait donc sans doute déjà le territoire.
Mais bon, faut dire aussi que Pépère était un chat hors du commun côté intelligence.

Je trouve très intéressante l'observation de la vie des chats, comme celle de nos deux poules, d'ailleurs.

Si vous vous intéressez aux chats, allez voir
http://www.canalvie.com/famille/animaux ... -1.1768708

Pépère était un croisé mais en avait toutes les caractéristiques.
Pour moi, pas question d'acheter un chaton. Mais j'avoue que si un Scottish Fold me tombait sous le nez…
"Hey! Plume, tu rêves! Je te rappelle qu' un chaton comme ça vaut dans les 8 ou 900 euros". :o

Scottish Fold. Hum !
C'est un chat avec les oreilles couchées vers l'avant.

La mutation génétique à l’origine de leurs petites oreilles a des répercussions sur l’ensemble de leur squelette : ils ont notamment des problèmes d’arthrite.

« Les gens réclament ces chats car ils craquent pour leurs petites oreilles. Mais malheureusement, c’est un exemple de plus qui montre que le physique de leur animal est plus important pour eux que leur qualité de vie » regrette Gudrun Ravetz, le président de l’association vétérinaire britannique.

Selon 30 millions d'amis.

Notre Minoï nous suivait aussi en balade, parfois on la chassait quand on allait dans les bois d'en face car il fallait traverser la route.
Un jour il y a eu la rencontre d'un chien qu'elle a vu à la dernière minute, je suppose qu'elle était distraite par l'environnement qu'elle ne connaissait pas.
Elle est partie dans des grandes broussailles et hop dans un arbre, on a jamais pu la faire redescendre. On a continué la balade - qui commençait à peine - et rentrés à la maison ... personne.
On est donc repartis à sa recherche, heureusement elle était reste dans le coin.

Elle miaulait beaucoup en nous suivant, un miaulement un peu inhabituel, restait quelquefois un peu en arrière puis arrivait sur nous au triple galop. C'était très drôle.
Prinçou, le chat du voisin m'a déjà suivie aussi, il miaule tout pareil.
Même si c'est agréable, je n'aime pas trop quand ils suivent comme ça, où alors pour un petit tour pas trop loin. J'ai la crainte qu'ils se perdent s'ils sont obligés de fuir devant un danger.

Scottish Fold. Hum !

Oui, c'est un chat qui peut avoir des problèmes de santé: arthrite et pbs d'oreilles.
Mais on ne l'ai pas choisi pour sa bouille. On ne l'a pas choisi du tout, puisqu'il vagabondait et s'est installé chez nous.
Après, nous avons craqué pour son caractère vraiment très particulier.

Il a fini par un cancer aux oreilles. Cortisone et tout et tout.
Certains leur font couper les oreilles :shock:
Pour finir, Pépère était tellement fatigué qu'il avait du mal à marcher.
Il ne mangeait presque plus.
Et puis il se grattait les oreilles en envoyant du sang partout.
On a fini par décider de lui abréger la vie. D'après le véto, il avait au moins 12ans.

Voilà ce que j'ai écrit sur lui. Tout est dit, notamment sur le manque qui, pour moi a été très étonnant.

Pépère

D’où sortait-il ?
Sans doute abandonné au bord de la grand-route
comme bien d’autres.
Un beau jour il a été là,
à l’orée de la cour,
posé, attentif,
ne semblant pas souffrir d’un œil bien amoché.
Espérant calmement
qu’on lui donne à manger.
Il s’est installé parmi nous
sans que personne ne trouve rien à redire,
même pas le chien, les chats ou les poules.
Intelligent, tranquille, doux,
tolérant, diplomate, pacifique,
tendre, sage…

Pendant deux ans, il a mené sa petite vie paisible,
en émerveillant la nôtre.
Jusqu’à ce que, n’en pouvant plus,
ses yeux nous supplient de l’aider
à en finir avec la vie.

Ah ! Pépère…
Sept kg de paix et d’amour.
Un concentré d’humanité
capable de faire fondre les cœurs les plus froids,
et de creuser dans le mien un manque inguérissable.

Mais … étais-tu vraiment un chat ?

Bravo !