Il faut écouter quoi ? tout ? Pas le temps. C'est trop pour le peu de goût que j'ai des goguettes précédentes que tu nous as fait écouter.
Meunon! J'ai dû m'emmêler les pinceaux. Bien sûr, loin de moi l'idée de tout vous faire écouter.
Moi-même je n'ai pas ouvert ce lien.
MMay et ton "peu de goût pour les Goguettes".
Ça me fait penser à une de mes copines qui "a peu de goût" pour les infusions autres de celle de verveine…
des infusions qu'en fait elle en connaît pas. Elle a goûté une fois, du bout des lèvres une infusion d'estragon et beurk.
J'ai émis l'hypothèse (comme pour tout le reste), qu'elle avait un comportement très classique, conventionnel
et donc, elle n'aime que ce qu'on lui a appris à connaître. Aucune curiosité pour ce qui est étranger et même de la méfiance.
Elle a acquiescé en me rappelant qu'elle avait été élevée en pension par des religieuses pour lesquelles il n'y avait qu'une seule vérité.
J'en ouvre de ces yeux :shock: !!!
On est à des mille et des mille de se ressembler. Heureusement, on partage des choses et on s'aime bien…
…en s'étonnant l'une de l'autre!
Peut-être que toi, MMay tu aimes les choses plus classiques? Moi, j'aime aussi et beaucoup ce qui est de l'ordre de l'amusement créatif.
Et côté bec, comme je dis souvent, il est ouvert à 360°!
En y repensant hier soir, toc! Je me souviens avoir trouvé dans les papiers de ma mère, des chansons écrites par mon père
- parti de la maison quand j'avais 2ans1/2- sur des airs connus des années 40. Un goguetier lui aussi!
Même moi, jadis, il m'est arrivé de m'y amuser!
En fait, je crois qu' on ne fait pas ça pour faire beau mais pour dire des choses sur un autre mode, celui de la récréation
et pour amuser la galerie… en commençant par soi-même!
Un peu comme des gamins qui disent "Alors on serait… et on ferait…". Finalement, ça n'a aucune prétention.
Et pour moi, ça n'a rien à voir avec mes années d'écriture dans la Gaz des Jardins: j'écrivais à toute berzingue en me marrant, presque en état d'hypnose,
mais après, je passais des plombes et des plombes à travailler mon texte pour faire en sorte qu'il n'en reste que l'essentiel, donc éliminer le superflu, changer des mots, réécrire…
Je n'oserais jamais dire, ni penser, que j'avais fait du travail d'orfèvre… mais je m'étais bien régalée!