ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Dans la série des gestes qui échappent, notre marchand de café sur le marché nous raconte:

Un jour, son beau-frère vient chez lui et ils décident d'aller faire une longue balade en moto.
Au moment de se payer un coup à boire, le beau-frère:
"Zut! J'ai oublié mon porte-monnaie!".
Qu'à cela ne tienne, notre Christian sort le sien et paie tout le long de la journée:
essence, repas…
Au retour, Christian trouve dans son porte-monnaie une clé, qu'il regarde, ébahi.
"Mais! dit le beau-frère, c'est ma clé!"
Et c'était aussi son porte-monnaie…
car ils avaient le même. :lol:

Rires 😝

:D

Trois cousines ont passé trois jours chez moi.
L'une d'elle s'est léchée les babines avec le bleu de chèvre.

Donc, le samedi au marché, je dis au fromager:
"Ma cousine s'est régalée avec votre bleu de chèvre.

Plumix
"Sauf que c'était elle qui l'avait apporté".

Le fromager
"D'autant plus qu'on n'en a plus depuis un moment".

Waouh ! Le bock.

La honte mais pour qui ?
pour Plumetis sucré aux fraises
ou pour le commerçant qui n’a jamais reçu de compliment pour son bleu quand il en avait.
?

Pour personne parce qu'on a tous bien rigolé.
Nous avons la chance d'avoir deux fromagers qui ont de la bouteille et ont autant d'humour
l'un que l'autre.
Il est vrai que je les avais déjà félicités pour leur bleu de chèvre.

c'est quoi, le chleu de brèves?

C'est un journalo de la Marine.

?

ben non, un bleu de chèvre! facile pourtant!

Exceptionnellement, j’avais compris la contrepèterie
mais pasla riposte de Plumette : ça coince. ;)

c'est quoi, le chleu de brèves?

Claude, tu ne pouvais pas comprendre, j'ai confondu chleu et chti! :oops: :oops: :oops: :roll:
Quant à la Marine, c'est la blonde du chnord.

J’avais bien fait le pari que le gars était un gars de la Marine mais séché sur le mot « journalo «.
Ta confusion avec ch’ti me rappelle les miennes, je commets des bourdes du mm genre. Pour toi, je sais que c’est un effet des HE mais pour moi, hein ?

Anecdote touchante, que j'ai peut-être racontée mais Chichinette nous le dira et si oui, vous verrez la suite.

Donc, notre voisin ponctuel (terrain + hangar agricole) a vécu des années au Gabon où il abattait des arbres gigantesques.
Il allait aussi à la chasse mais pas aux papillons. Je sais plus si même, s' il ne participait pas à la chasse à l'éléphant… :o
Donc, il nous raconte qu'un jour, il longeait une plage avec, devant lui un cerf magnifique.
Le chasseur allait tranquillou pour ne pas effrayer la bête.
Au moment où il s'apprête à tirer "le cerf s' est retourné et m'a regardé droit dans les yeux. J'ai baissé mon fusil
et après, je n'ai plus jamais chassé".
Dernièrement en rigolant, il dit à Mick que pour un ancien chasseur défroqué, il en vient maintenant
à sauver les guêpes de sa piscine. :P

Il m'est arrivé la même chose en pêche sous-marine, avec une murène.

Mmmmmm… je me vois ou m'entends raconter ça quelque part… :?

Le regard peut être une arme chose terrible.
Qu’est-ce qu’il y a derrière la puissance du regard ?

Jolie histoire

Qu’est-ce qu’il y a derrière la puissance du regard ?

Un être, ni plus, ni moins.

Quand on se rappelle du titre d’un topic perdu dans la masse des topics,
pour le retrouver,
il suffit d'écrire ce mot ou les mots du titre dans la zone dédiée à la Recherche.
Attention. L"intelligence de cette fonction est limitée, elle ne sait rien du singulier et du pluriel.
Donc si tu recherches « fleur » tu ne ramènes pas les messages contenant « fleurs ».
.
Anecdote : C’est ce que j’ai fait, oh ! Plumage de l’Ardèche profonde.

Mais c'est exactement ce que j'avais fait, mon petit loup.
Je tombais bien dans le sujet mais sans y avoir accès.
Je viens de re -nessayer par la recherche et cette fois, ça marche!

Donc, ce petit garçon accompagnait son papa, lors d'une de mes premières interventions
jardinage avec l'université populaire. C'était il y a 5 ans et il en avait 8.
Nous nous rencontrons souvent à la Halle Bio le samedi matin où le papa fait ses courses avec ses trois enfants, vu que maman travaille.
Il y a 5 ans, au cours d'une de ces rencontres, nous avons appris que le fiston, depuis la visite,
repérait toutes les feuilles abandonnées:
"Papa! Papa! Arrête-toi, y' a des feuilles!".
Ce petit garçon m'avait marquée parce qu'il m'avait attentivement regardé vider devant eux
mon seau de toilette à litière et il avait remarqué que ça ne sentait quasiment pas.

Bref, deux ou trois ans après, toujours en rencontre à la Halle Bio, nous apprenons que ce petit garçon s'est passionné pour les boutures de rosier dont il avait appris le processus chez nous.
Et cette année, nous apprenons que la passion dure toujours.
Du coup, je lui ai filé des rejetons et des boutures de rosiers anciens,
Il était aux anges.

Grand bonheur pour moi! :P :P :P

m'en rappelle de la photo!!

plumee a écrit : ↑

29 janv. 2020, 17:50

……… cette année, nous apprenons que la passion dure toujours.
Du coup, je lui ai filé des rejetons et des boutures de rosiers anciens,
Il était aux anges.

Grand bonheur pour moi! :P :P :P

Belle aventure. ;)

A partir du jardingo de Claude, sur la créativité que permet la contrainte.

Il y a fort longtemps, je vais à une conférence sur le développement personnel, fait par
Bernard Bertrand Montaud, auteur du livre "César, l'éclaireur"… que j'ai lu en deux jours.
Idem pour ma mère qui se déplaçait quasiment en lisant, en circulant dans mon appart de l'époque!
Chais pas comment et pourquoi j'étais là mais on a bien rigolé!

Le gars (l'auteur), ancien kiné, racontait son aventure de pleine déprime après séparation et sa rencontre au cours d'une promenade en pleine campagne, avec une vieille personne pas ordinaire qui lui fait voir la vie d'un autre œil, justement à partir de la richesse qu'on peut trouver grâce à une contrainte imposée par la vie quotidienne notamment.

Avant, il se trouve donc comme stagiaire dans une association, avec la proposition suivante:
un étendage vide et un sac de pinces à linge en plastique.
Objectif: s'occuper avec ça pendant une heure, sans s'arrêter. :shock:
Il paraît que la personne responsable avait l'art d'inventer des consignes pas piquées des hannetons.

Puis il attaque, je ne sais plus dans quel ordre mais, pour appliquer la consigne (il était là pour ça) et ne pas s'ennuyer, lui, l'hyper actif) il a inventé toutes sortes de manières de suspendre ces pinces à linge: toutes les unes à côté des autres, puis par couleur (par une, par deux, par………), puis avec des espacements, puis suspendues les unes aux autres…
bref, en jouant avec les formes et les couleurs, des trucs de plus en plus compliqués et délirants.
L'heure est passée sans qu'il s'en aperçoive.
Et il s'aperçoit alors que non seulement, il n'avait jamais eu l'idée qu'on pouvait faire tant de choses avec si peu, mais qu'aussi, il s'était pris au jeu et amusé comme un gamin.

Ce gars en est venu à créer une association qui proposait des ateliers de …(re) découverte de la richesse possible contenue dans une contrainte de vie quotidienne.

Ce gars nous avait bien fait rigoler en racontant un repas au restaurant avec son "Maître" qu'il supputait être un ascète. Lui, dit qu'il s'était commandé une salade, des épinards et de l'eau minérale, qu'il mangeait pendant que l'autre se régalait avec une entrecôte grande comme ça, accompagnée d' un bon canon de Bourgogne. :lol:

Meuh non tu t'es gourancée :D ce n'est pas Bernard Bertrand (livres ethnobotaniques etc) mais Bernard Montaud. C'est rigolo de les confondre.
Je ne me souvenais plus de l'anecdote ...

Mince alors! Aussi, il me semblait que quelque chose clochait…
Remarque, l'un jardine le sol, l'autre jardine les consciences.
Finalement, il y a le même boulot des deux côtés: défrichage, compostage,
plantations, soins, arrosage, partage… :D