Mon coup de gueule du moment

[Claude]

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[Claude]

Pas de commentaire. Il serait pris comme un commandement.
.

[plumee]

Inciter les gens à venir faire des emplettes un jour férié, c'est remettre en question des droits sociaux et de faire participer insidieusement ceux qui refuseraient...habituer à trouver normal de travailler un jour férié, un dimanche, c'est tout casser ce qui est acquis....

Mais, c'est qu'il a plus que raison notre Marc!
Comment se fesse-t-il que, moi, fille d'exploités, je n'y aie pas pensé?
Bon, pour se dédouaner, on peut aussi se dire que des travailleurs n'ont pas forcément la possibilité de faire leurs emplettes
en sortant du boulot (pour cause de trajet en voiture un peu long, de maison loin des commerces, de récupération des gosses etc…)
Quand je bossais, sortant épuisée et pressée de rentrer chez moi, je me sentais incapable de courser à la suite, sauf pour une ou deux bricoles
à une heure d'affluence, après avoir passé la journée copieusement entourée et engagée.
Je ressentais comme une détente, de laisser les gosses à la maison sous la garde de leur père et de pouvoir prendre tout mon temps
pour courser tranquille, tôt un matin férié, dans un magasin quasiment vide et charge mentale à zéro (presque!).
Eh oui, le bien-être de certains ne fait pas forcément celui des autres… (quelle lucidité la Plume! 👍 :lol: ).
Et puis, le travail étant maintenant ce qu'il est, et vu le nombre de chômeurs qui veulent travailler, on ne sait plus trop quoi penser,
mon ami.

[Marc]

Un droit comme celui-ci repose sur le temps de travail et le temps de repos....La durée du travail. Faire travailler des personnes (surtout des femmes) sous le fallacieux prétexte qu'il faut donner du boulot à ceux qui n'en ont pas, des jeunes qui sont en études notamment, quelle générosité !!! Si ça devait diminuer le chômage, ça se saurait !

[Marc]

Je publie ici un appel afin que le génocide du peuple Palestinien cesse :

Plus de 300 personnalités dont Annie Ernaux, Adèle Haenel, Xavier Dolan, Raphaël Pitti ou encore Elias Sanbar signent cette tribune pour exiger la protection des Palestiniens et la mise en œuvre du droit international.

La protection du peuple palestinien est devenue une urgence absolue. À Gaza, après quelques semaines de suspension, les massacres de masse ont repris, accompagnés d’un siège total et d’une famine généralisée ainsi que des déplacements forcés de populations ; au moins 53 000 Palestinien·es ont été tué·es suite aux opérations militaires israéliennes ; la bande de Gaza est dévastée et devenue inhabitable.

En Cisjordanie – y compris Jérusalem-Est – en dix-neuf mois, plus de 1 500 attaques de l’armée et des colons ont fait près de 962 morts et plus de 7 030 blessé·es palestinien·es ; plus de 40 000 Palestinien·es y ont été déplacé·es de force.

Cependant, alors que le peuple palestinien vit la pire période de son histoire, la légitimité de son combat pour la justice et l’autodétermination face à la volonté d’effacement dont il fait l’objet est réaffirmée par le droit international. Dans le prolongement de l’avis de la Cour internationale de justice (CIJ), l’Assemblée générale des Nations unies a exigé par son vote du 18 septembre 2024 la fin de l’occupation israélienne du territoire palestinien et le démantèlement des colonies avant le 18 septembre 2025.

Dès lors, la France et l’Europe doivent s’acquitter de leurs obligations. Elles doivent, comme le précise la résolution de l’ONU, « favoriser, conjointement avec d’autres États ou séparément, la réalisation des droits du peuple palestinien à l’autodétermination et s’abstenir d’entretenir des relations conventionnelles avec Israël dans toutes les situations où celui-ci prétend agir au nom des Palestiniens ou pour des questions les concernant ».

Il y a 80 ans se construisaient les bases d’une justice internationale avec la création de l’ONU, dont la Charte fondait les conditions de la paix. Les États membres adoptaient trois ans plus tard la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Marquons cet anniversaire par notre refus solennel que la loi du plus fort l’emporte sur le droit international en Palestine.

L’Assemblée générale de l’ONU a décidé le 3 décembre 2024 de la tenue d’une conférence internationale. Elle se tiendra du 17 au 20 juin 2025 à New York. Elle aura pour mission « d’examiner l’application des résolutions de l’Organisation des Nations Unies relatives à la question de Palestine ».

En préalable de cette conférence internationale sous l’égide de l’ONU, nous lançons solennellement un appel pour la protection du peuple palestinien et la mise en œuvre du droit international.

Nous, signataires de cet appel, sommes convaincu·es que c’est l’application du droit international qui garantira la protection du peuple palestinien en lui permettant de vivre enfin en paix et en sécurité. Pour cette raison, nous demandons à la France de reconnaître l’État de Palestine dans le cadre du droit à l’autodétermination du peuple palestinien.

De la même façon, nous sommes convaincu·es que seule la fin de l’occupation et l’arrêt de l’oppression du peuple palestinien permettront à Israël de connaître également la paix et la sécurité.

En conséquence nous demandons à la France et aux États membres de l’Union européenne d’appliquer sans tarder les mesures énoncées par la résolution votée par l’Assemblée générale des Nations unies le 18 septembre 2024.

Xavier Dolan, cinéaste réalisateur
Ken Loach, cinéaste réalisateur
Adèle Haenel, actrice
Reda Kateb, acteur
Roger Waters, auteur compositeur interprète
Blanche Gardin, actrice
Swann Arlaud, acteur
Yvan Le Bolloc’h, acteur
Annie Ernaux, romancière
Corinne Masiero, actrice
Robert Guédiguian, cinéaste
Ernest Pignon-Ernest, plasticien
Elias Sanbar, ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO
Edwy Plenel, journaliste
Fabien Gay, journaliste, directeur de publication de L’Humanité, sénateur de Seine Saint-Denis
Denis Sieffert, journaliste
Denis Robert, directeur de la rédaction de Blast
Alain Gresh, journaliste, fondateur d’Orient XXI
Catherine Tricot, directrice de la revue Regards
Thomas Vescovi, cofondateur de Yaani
Daniel Mermet, journaliste, fondateur de Là-bas si j’y suis
Rony Brauman, xx-directeur de Médecins sans frontières
Raphael Pitti, médecin urgentiste
Yanis Varoufakis, économiste
Marine Tondelier, secrétaire nationale des Écologistes
Olivier Faure, député de Seine-et-Marne, premier secrétaire du Parti socialiste
Olivier Besancenot, porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste
Manuel Bompard, député des Bouches-du-Rhône, coordinateur de La France insoumise
Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français
Aymeric Caron, député de Paris, président de Révolution écologique pour le vivant
Gisèle Jourda, sénatrice, présidente du groupe d’amitié France Palestine au Sénat
Richard Ramos, député du Loiret, Président du groupe d’amitié France-Palestine à l’Assemblée Nationale
Clémentine Autain, députée de Seine-Saint-Denis
Thomas Portes, député de Seine-Saint-Denis
Raymonde Poncet-Monge, sénatrice du Rhône
Elsa Faucillon, députée des Hauts-de-Seine
Johann Soufi, avocat et procureur, spécialisé en droit international
Monique Chemillier-Gendreau, professeure émérite de droit public
Ziad Majed, politologue, professeur universitaire et chercheur
François Dubuisson, professeur de droit international à l’Université libre de Bruxelles
Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO
Anne-Marie Eddé, professeure émérite à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Bertrand Badie, professeur émérite à l’IEP de Paris, chercheur au CERI
Didier Fassin, professeur au Collège de France
Sylvain Cypel, journaliste
Pascal Boniface, géopolitologue
Sophie Bessis, historienne et journaliste, secrétaire générale adjointe de la FIDH
Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT
Caroline Chevé, secrétaire générale de la FSU
Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT
Nathalie Tehio, présidente de la Ligue des droits de l’Homme (LDH)
Pierre Stambul, porte-parole de l’Union juive française pour la paix
Youlie Yamamoto, porte-parole d’ATTAC
Anne Tuaillon, présidente de l’association France Palestine solidarité (AFPS)

Voir la liste complète des signataires en cliquant ici.

[Claude]

Beau texte. Avec un manque.

Mais pourquoi avoir effacé le rôle du Hamas —pas un mot— dans l’enchaînement des atrocités,
et celui des diverses formations religieuses antagonistes mais associées
avec le gouvernement national-religieux israélien,
tous entretenant une connivence pour la guerre qui pèse sur tous les habitants de la région !

Oui, à la mise en avant de la Défense du Droit international, une belle formule…

[Marc]

D'abord il s'agit d'un appel signé par des femmes et des hommes d'opinions diverses et qu'il convient en ce moment d'enrayer puis d'arrêter un processus meurtrier conduit au génocide des Palestiniens que ce soit à Gaza, en Cisjordanie, à Jérusalem-Est.

Ensuite, un processus où les Israéliens colonisant un territoire où il faudra impérativement trouver un moyen pour une solution à deux Etats, donc Israël devra revenir à ses frontières antérieures à 1967 et permettre aux réfugiés Palestiniens (d’Égypte, de Jordanie, de Syrie, du Liban) de réintégrer leur territoire (400 villages rayés de la carte).
C'est donc sur du court, moyen et long terme qu'il faut appréhender cette question. La communauté internationale a historiquement une écrasante responsabilité, elle n'a pas fait ce qu'il fallait à ce moment là.

L'ONU va délibérer en conférence internationale du 17 au 20 juin 225 et il faut que les nations s'accordent pour la mise au point d'un accord permettent une issue pacifique.

Concernant le Hamas, ce qu'il ont fait en octobre, je le désapprouve complètement, c'est une évidence pour moi. Mais, si la communauté internationale avait eu plus de courage en 1948, nous n'en serions pas là. Cette guerre n'a pas démarré le 7 octobre, mais dure depuis plus de 70 ans.

L'histoire longue de cette région, faut-il le rappeler, s'appuie sur l'histoire coloniale, sur le massacre des juifs de la période nazie et, à mon avis, a été emmêlée dans les confrontations politiques de la fin de la guerre 39-45....

Voilà pour le moment.

[Claude]

Sur le Hamas, il est évident qu’il a été encouragé à sa façon par Nethanyaou qui ne voulait pas avoir à négocier avec l’Autorité palestinienne. Il s’est choisi son ennemi. Ça c’est pour le point d’histoite.

.

Le droit international n’existe pas pour les adorateurs du dieu unique. Tant que les forces religieuses des deux camps seront en place, la guerre ne cessera pas et reprendra sans cesse. C'est dans l’ADN monothéiste de préférer mourir « pour sa religion «  ou de l’imposer.

[Marc]

Plutôt que d'attraper le problème par les religions, ce qui fatalement divise, oppose, il faut se saisir du dénominateur commun : une place pour chacun et chacun à sa place sur un territoire où tout le monde accepte de vivre ensemble; on sait ce que donnent comme résultats la création d’États théocratiques. Les résultats dans l'histoire sont dramatiques. La vraie solution en Palestine est un seul Etat...mais là...

[plumee]

Marc

Ton message du 29 mai 13h56 qui dit de cliquer pour en savoir plus:
j'ai cliqué mais ça ne marche pas.

Ce matin, je me suis acheté un bob pour remplacer l'ancêtre qui commençait à faire vraiment miteux.
Dans un magasin de sport. Il me va très bien… sauf que: il semble, mais n'est pas en coton.
Encore une fois, je n'ai pas été assez attentive. Suite à quoi: il me tient la tête au chaud. :?
"Plume, tu m'agaces :evil: "

[Claude]

Il y a dans les causes profondes de ces affrontements incessants la nature monothéiste des religions. D’un côté un État juif avec un gouvernement de nationalistes religieux , et de l’autre des formations politico-religieuses islamistes. Ne pas le dire, c’est fausser la réalité et donc gâcher les chances d'une paix durable.

Nethanyaou et les groupes ultra religieux d’un côté, et les groupes religieux islamistes de l’autre sont à museler. Beaucoup de juifs et de musulmans ordinaires le savent.

[ege]

sondage express:

quel thème vous semble le plus intéressant, entre le bop qui tient chaud à la tête et les religions monothéistes qui se tapent dessus et nous échauffent la tête!

moi, j'ai choisi!

[Claude]

Le bop ?

:?:

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[plumee]

Le bop ?

Il a perdu son Be, le Lula?

[plumee]

Comme mon vieux bob défraîchi ne faisait pas assez d'ombre sur mes yeux fatigués à protéger, je lui ai acheté un remplaçant, dans un magasin de sport.
Parfait: élégant, bien ajusté, bien ombreux. Sauf que… je n'ai pas fait attention: il est en synthétique et donc il me tient chaud. :(
Lui sur ma tignasse, bravo!
Je le sais pourtant que je supporte mal tous les synthétiques. Rhalalalaalal… Plume! Encore une fois un manque de vigilance…
ou trop de confiance…Pfffff.

[Marc]

ça existe pourtant les chapeaux en coton ! Il faut te trouver un chapeau de paille !

[plumee]

ça existe pourtant les chapeaux en coton ! Il faut te trouver un chapeau de paille !

Bien sûr que ça existe les chapeaux en coton! Faut juste penser à vérifier quand tu es dans le magasin!

Chapeau de paille: J'en ai un. Ici, en altitude, c'est que si le soleil se cache, il est vite superflu. Le bob dans ta poche.
Pour moi, dans la petite sacoche en tissu où il y a déjà mon portable.Le papeau de paille, lui, occupe une main.
Alors, si mon toutou en occupe l'autre par sa laisse, je ne peux plus me curer le nez tranquillement.
Tu vois le problème?
J'aurais dû acheter un chapeau de paille pliant. :lol:
Ahhhh! Idée géniale: me l'accrocher à la ceinture, sur le derrière, à un mousqueton, non? ;)

[Marc]

..........
J'aurais dû acheter un chapeau de paille pliant. :lol:
Ahhhh! Idée géniale: me l'accrocher à la ceinture, sur le derrière, à un mousqueton, non? ;)

Une cordelette et lorsque le chapeau est inutile, placer en arrière.....et hop !

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[plumee]

Une cordelette et lorsque le chapeau est inutile, placer en arrière.....et hop !

Mais c'est qu'il a raison notre Marcounet! J'avions zoublié… comme tant de choses.
On dirait qu'une partie de ma cervelle est partie en vadrouille…
Et là, une grosse flemme se lève en moi et me dit: "Tu dois bien avoir de la cordelette dans ta commode à travaux, non?".
Allez! Allez! On se lève le schtroumfinou et on va voir.

[Claude]

Les choix de certains médias me fatiguent. Réfugié à l'intérieur à cause des chaleurs de l'après-midi, devant la chaîne en continu que je zyeute d’un œil distrait et usé, je note qu’on célèbre à l’excès la victoire des footeux du psg. Z’ont rien d’autre à montrer que le long voyage sur l’autoroute de deux cars bleus transportant les fameux joueurs bleus ! Et ça dure. Il y a même un suivi aérien de la progression interminable des cars. On ne perd aucune des secondes de cet événement. Quelle débauche de moyens.

Dans l’heure précédente, à mon réveil de sieste, on voyait des compte-rendu d’affrontements, des feux d’artifice, de hier soir. Dingue.

[Claude]

Waouh ! Les champs élyséens sont remplis de monde !
À vrai dire, ils sont parquės. On devine les barrières,
— Aurait-on peur qu’ils s’échappent ? —
Menon, sauf ceux qui utilisent leur téléphone à bout de bras
pour immortaliser la chose, la plupart sont souriants !

Je devine qu’il doit faire très chaud car pour ventiler,
un nombre incalculable de drapeaux sont agités.

:lol:

[ege]

et pendant ce temps les monothéistes continuent à se f.... sur la g....!
alors que nous on se marre à propos d'une cordelette! et hop sur le bob, le bop ou le blurb! :lol:

[Claude]

Les joueurs sont là, ils se passent une grosse amphore argentėe. Elle doit être vide, ils ont dû tout boire
en roulant. Ils sont en haut du bus ! On les voit bien mais je ne les reconnais pas, vu qu’ils ne fréquentent pas
les mêmes bistrots que moi. Ils envoient des bisous. Ça sent l’écurie. Beaucoup de mouvements de drapeaux bleus
non, rouges et bleus, pour chasser la fumée blanche. Il y a beaucoup de pollution dans cette ville et certains y sont tellement accros
qu’ils allument des sortes de torches.

C’est fini, je vais faire un tour au jardin pour y marquer des buts.

On, les miens seront moins glorieux. Mais ce seront les miens. :lol: :lol: :lol:

[Claude]

Apres avoir lu un long recensement des violences qui ont émaillé la fête,
je suis tombé sur ce passage dans Libé sous la plume de Mme J. Luyssen .… :o
.

«Quand on me demande ma plus grande peur, mais que je peux pas répondre les hommes un soir de match, donc je dis les serpents.»
Relayant une vidéo du journaliste Rémy Buisine, le compte Instagram féministe de @bonneamarier publie ces images, maintes fois diffusées depuis la finale de la Ligue des champions : scènes nocturnes et martiales de violences et de destructions, presque exclusivement masculines. Sous son post, comme un peu partout sur les réseaux, une litanie de commentaires de femmes affligées, effrayées, exaspérées. Et sur les images : des hommes violents dans les rues, violents chez eux, violents tout court.
……

[plumee]

une litanie de commentaires de femmes affligées, effrayées, exaspérées. Et sur les images : des hommes violents dans les rues, violents chez eux, violents tout court.……

Quand je vous dis qu'il manque à ces hommes le confrontement, la bagarre, la guerre et la chasse au diplodocus.