Donald’s Rock ‘nd Roll Circus : trumperie du jour

[Marie_May]

1,8 millions hier...

[Marc]

Intéressant et symptomatique...

[ege]

non, je ne la ferai pas: elle à ..... dans l'aile!

[ege]

pour parler crument, ce faux con de trompe, l'a mise bien profonde à l'europe!
qui va cracher au bassinet: 750.000.000.000 pour le pétrole et le gaz de schiste, 450.000.000.000 de plus pour l'investissement et, c'est à peine murmuré, la promesse de se fournir en armes chez les yankees et fédérés!

et en plus, il fait semblant d'être magnanime avec ses 15% au lieu de 30
bien joué le donald!

[ege]

eh ben, ça vous a coupé la chique ce que j'ai dit?

faut rajouter la somme des achats d'armes: 600 milliards en 3 ans!!!

[Claude]

Je voulais poster cette image dans le topic « Photo du jour ».

Ce rassemblement de Chefs d’État peu portés sur la démocratie
…… et l’énorme parade militaire chinoise
sont —partiellement— une réponse aux fanfaronnades et aux agressions commerciales
de L’affreux Donald.

:(
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[ege]

faut reconnaître qu'il n'y a pas énormément de variété dans l’habillement de ces messieurs, à part le col mao du compère chi je ne vois que la couleur de la cravate et le chapeau du suecarno au fond!

et ils ont tous des groles noires!! avec un costard bleu!!! quel manque d"élégance!

[Claude]

Ils ont l’air rudement contents au premier plan et au milieu.
Du genre « On l’a bien eu ! »

[ege]

vaut mieux pas qu'on sache ce qu'il y a comme projection sur l'avenir dans ces caboches!!

[Claude]

Oh ! Y a surement plein de choses dans ces grosses têtes comme : « Ma chaussure me fait mal », « je n’ aurais pas dû reprendre 3X des frites », ou des choses plus intimes olé de lé, et « Je suis le Roi et qu’est-ce que c’est jouissifi».

Mais Ège, pourquoi vanter l’option « ne pas savoir ». Hein
?

[ege]

ça pourrait me couper l’appétit, et ça, s'est sacré!

[Claude]

Je ne pouvais pas publier le texte ci-dessous dans « Mon coup de gueule ».
Il serait bien calibré pour « Un coup dans ma gueule. »
Honnêtement c’est l’effet qu’il m’a fait.
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Chasse aux sorcières L’administration Trump ordonne au FBI de dresser une liste des «extrémistes» américains

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Sous couvert de lutte contre le «terrorisme intérieur» et contre la mouvance «antifa», le ministère de la Justice ouvre la voie à la répression d’opinions dissidentes. Avec le soutien de l’appareil sécuritaire et de la délation citoyenne.
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ParFrédéric Autran
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Dans un paysage politique délibérément saturé par l’administration Trump, le mémo adressé jeudi 4 décembre par la ministre de la Justice, Pam Bondi, est passé presque inaperçu. Il marque pourtant un tournant majeur dans la répression programmée de la dissidence anti-Trump, maquillée en lutte contre le «terrorisme intérieur» et la mouvance «antifa». Envoyé aux procureurs généraux et aux forces de l’ordre du pays, ce document de six pages constitue le plan d’exécution de la directive présidentielle NSPM-7, signée par Donald Trump le 25 septembre. Si cette dernière avait déjà inquiété les défenseurs des libertés civiles, le mémo Bondi franchit un cap : il transforme une déclaration politique en feuille de route opérationnelle pour traquer l’opposition au Président.

Le texte ordonne au FBI de «compiler une liste de groupes ou entités engagés dans des actes pouvant constituer du terrorisme intérieur». La définition retenue est d’une ampleur vertigineuse. Elle vise des positions relevant habituellement du débat démocratique : «opposition à l’application des lois sur l’immigration», «vues extrêmes en faveur de l’ouverture des frontières», «adhésion à une idéologie de genre radicale», mais aussi «antiaméricanisme, anticapitalisme ou anti-christiannisme», sans oublier «l’hostilité envers les vues traditionnelles sur la famille, la religion et la moralité».

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Cette énumération kafkaïenne transforme des opinions politiques légitimes en indice de dangerosité terroriste. Une nouvelle porosité entre dissidence et menace sécuritaire qui horrifie le journaliste d’investigation Ken Klippenstein, premier à révéler le mémo. «Au début, je me suis dit que ce texte ciblait la gauche. Mais quand on voit ces soi-disant indicateurs de terrorisme, on comprend que cela vise en réalité quiconque n’est pas un partisan de Donald Trump», a-t-il dit le 8 décembre dans une interview au média Democracy Now.

Liste dressée sous trente jours

Le mémo Bondi se présente certes comme un dispositif de droit commun. Pam Bondi assure – bien qu’en note de bas de page – que le gouvernement n’a pas l’intention de «surveiller des activités protégées par le premier amendement», et elle enjoint les procureurs à poursuivre «les infractions fédérales les plus graves et les plus facilement démontrables». Mais derrière ces précautions, la bascule se lit à la fois dans la rhétorique saturée de références idéologiques et dans la sophistication de l’arsenal répressif déployé.

Dans les quatorze jours suivant la publication – soit le 18 décembre –, toutes les agences fédérales doivent remettre au FBI leurs dossiers liés à la mouvance «antifa». Sous trente jours, le FBI doit «établir une liste des groupes ou entités impliqués dans des actes pouvant constituer du terrorisme intérieur», la transmettre au procureur général adjoint et élaborer une stratégie pour «perturber et démanteler l’ensemble des réseaux d’activité criminelle».

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Mais un autre volet pourrait s’avérer plus explosif encore : la mobilisation de la société contre ceux que le gouvernement juge extrémistes. Pour accélérer cette chasse aux sorcières, aux relents maccarthystes, le FBI est ainsi sommé de renforcer ses lignes de dénonciation téléphoniques et numériques, d’élargir son réseau d’informateurs capables de témoigner lors d’éventuels procès, et d’instaurer un «système de récompense en espèces» pour toute information menant aux «leaders» de ces prétendus groupes terroristes intérieurs.

Assassinat de Charlie Kirk

Ken Klippenstein ne cache pas son inquiétude : «C’est en quelque sorte un système de primes pour récompenser la dénonciation des opinions anti-Trump.» La dimension rétroactive du mémorandum accentue encore le basculement. Pam Bondi exige que le FBI rouvre cinq années de dossiers, remontant jusqu’à l’administration Biden, pour y déceler des éléments exploitables. De quoi revisiter manifestations ou campagnes militantes qui, jusqu’au retour de Donald Trump au pouvoir, relevaient pleinement de la libre expression constitutionnelle.

Pour Andrew Bakaj, directeur juridique de Whisteblower Aid et défenseur de lanceurs d’alerte ayant dénoncé Trump, la menace est limpide. «Nous pouvons tous convenir que la violence est inacceptable et doit être punie avec toute la rigueur de la loi, mais ce n’est pas ce que fait ce mémo», insiste-t-il, rappelant que le ministère de la Justice dispose déjà de tout l’arsenal nécessaire contre le terrorisme intérieur. «Au lieu de cela, ce mémo cherche expressément à redéfinir la dissidence politique contre le président comme du terrorisme intérieur», ajoute cet ancien agent de la CIA.

Cette offensive de l’administration Trump trouve son origine dans l’assassinat en septembre de Charlie Kirk, activiste ultraconservateur proche du président. L’auteur présumé semble avoir agi seul, possiblement motivé par son opposition aux positions anti-transgenres de Kirk. Mais l’administration a instrumentalisé ce meurtre pour déclencher une guerre contre la nébuleuse «antifa», pilotée en particulier par Stephen Miller, conseiller de Trump. «Avec Dieu pour témoin, nous allons utiliser toutes les ressources dont nous disposons pour identifier, perturber, démanteler et détruire ces réseaux et rendre l’Amérique à nouveau sûre», martelait-il peu après la mort de Kirk.

«Surveillance dangereuse et intrusive»

Ce mémo de Pam Bondi n’est donc pas un simple document bureaucratique : c’est le programme d’un virage sécuritaire dirigé contre des opinions politiques. Il aligne 25 dispositions juridiques susceptibles d’être activées contre les cibles, mêlant crimes graves et actes non violents de désobéissance civile. Parmi elles : «résister ou entraver des officiers fédéraux» ou «manifester avec l’intention d’obstruer le cours de la justice». A ce titre, presque toute protestation contre les opérations d’expulsion menées ces derniers mois par la police migratoire (ICE) pourrait être criminalisée comme un acte terroriste.

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L’ironie est cruelle : l’administration qui dénonce l’«antifascisme» comme une menace terroriste a gracié dès son premier jour la quasi-totalité des émeutiers du 6 janvier 2021, auteurs de l’assaut contre le Capitole visant à empêcher la certification de la victoire électorale de Joe Biden face à Trump. Les lois utilisées pour poursuivre ces insurgés sont aujourd’hui brandies contre ceux qui contestent les politiques migratoires ou défendent les droits des minorités.

«Ce n’est pas un crime de critiquer le Président, c’est le droit constitutionnel sur lequel notre nation a été fondée il y a 250 ans», rappelle Andrew Bakaj. Pourtant, le mémo Bondi, ajoute-t-il, «ouvre la voie à une surveillance dangereuse et intrusive, à une application sélective de la loi et à la répression de la dissidence politique à l’échelle nationale». Au sein de l’administration Trump, certains ont comparé l’assassinat de Charlie Kirk à un nouveau «11 Septembre». La réponse semble en effet calquée sur ce modèle. «Comme tous ceux qui ont vécu le 11 septembre s’en souviennent, le gouvernement ne réfléchit pas toujours de manière rationnelle dans de tels moments, c’est le moins qu’on puisse dire, conclut Ken Klippenstein. Et nous voici donc confrontés à une nouvelle guerre contre le terrorisme, sauf que cette fois-ci, des millions d’Américains pourraient en être la cible.»

[Marc]

Trump est un bon élève ! McCarthy va pouvoir dormir en paix !

[ege]

eh bé, il "en avait' avant de devenir le papet cacochyme dispensateur de conseils dans le poste!